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par Jacques Henry
Demandez à un prêtre s’il croit en l’existence de Dieu, il vous répondra sans hésiter par l’affirmative. Si vous lui demandez s’il est convaincu de l’existence du réchauffement du climat en raison de l’activité humaine, il pourra aussi répondre par l’affirmative puisque pour lui l’activité humaine peut avoir un effet néfaste sur l’harmonie divine du monde dans lequel évoluent les hommes. La question que vous pourrez alors lui poser pourra être la suivante : « si vous croyez en l’existence de Dieu vous avez donc des preuves et si vous pensez que l’activité humaine dérègle le climat vous avez donc également des preuves ». Au cours de cette conversation très courtoise vous aurez atteint une impasse. En trois questions simples en apparence, le débat est clos.
Cet exemple n’est pas caricatural. Il repose sur deux faits qui se confondent : la religion n’est pas une science puisqu’elle s’appuie sur le dogme de l’existence de Dieu. La « croyance » en l’effet du gaz carbonique sur le climat repose également sur un dogme qui n’a jamais pu être démontré depuis sa formulation au milieu des années 1970 : l’effet de serre du CO2. Cette nouvelle science du climat telle qu’alimentée par les rapports de l’IPCC et les grandes messes internationales dites COP-xyz n’est pas une science au sens strict du terme. Le parallèle entre le dogmatisme religieux et ce dogmatisme climatique ne s’arrête pas là. Les religions monothéistes ont toujours alimenté des conflits entre groupes humains, la nouvelle religion climatique ne manquera pas de faire naître également des conflits sociaux, économique, voire des conflits armés dans le but d’accaparer des ressources minérales nécessaires à la finalisation de la mise en application des mesures issues du dogme de l’effet de serre du CO2. Je pense notamment au cobalt, au lithium et aux lanthanides dont l’utilisation dans les technologies dites vertes est incontournable.
On peut se demander d’ailleurs si cette nouvelle religion climatique ne remplace pas dans l’esprit des êtres humains celle, multi-millénaire, adossée sur le dogme de l’existence de Dieu. Je n’ai rien contre les religions, chacun pense et fait ce qu’il veut, mais ce parallélisme est troublant. Certes il a fallu plusieurs siècles pour que la religion chrétienne s’impose en Occident mais avec les nouvelles technologiques de l’information il a fallu quelques décennies pour que l’ensemble des pays du monde se sentent responsables du climat … et du salut de leurs peuples. La pseudo-science du climat adossée au dogme de l’effet de serre est devenue la nouvelle religion contemporaine, pas du tout celle qu’avait imaginé André Malraux. De même que les Grecs et les Romains ont imaginé des dieux à leur image, de même les nouveaux dieux du climat sont des fonctionnaires internationaux qui imaginent que l’homme peut exercer une influence sur les phénomènes naturels pourtant difficilement prévisibles en faisant preuve d’une outrecuidance frisant le délire pour oser prévoir des températures planétaires globales dans 50 ou 100 ans. Sans une certaine croyance quasiment religieuse il est difficile d’imaginer de telles extravagances.
Cette fausse science conduit tout naturellement à des débordements qu’un étudiant en thèse n’oserait même pas envisager. Des administrations respectables comme la NASA ou la NOAA « trafiquent » les données météorologiques d’une manière honteuse pour qu’elles soient conformes au dogme de l’effet de serre. C’est tout simplement scandaleux. Mais c’est la mode, une mode qui remonte paradoxalement aux mœurs moyenâgeuses qui condamnaient au bûcher celles ou ceux qui osaient contester les dogmes religieux. Giordano Bruno a été brûlé pour avoir contesté le géocentrisme car puisque Dieu était au centre du monde et que Dieu siégeait à Rome alors la Terre devait se trouver au centre du monde et être éventuellement plate. De nos jours des scientifiques de réputation mondiale sont voués aux gémonies parce qu’ils contestent l’effet de serre. Tout cela va mal se terminer. En effet, sous l’impulsion des organismes onusiens les gouvernements décident progressivement de mesures démagogiques pour sauver le climat. Toutes ces mesures reposent sur le dogme de l’effet de serre du CO2. Par conséquent il faut réduire les émissions de ce gaz. Les catastrophes que généreront ces mesures sont pour l’instant difficiles à quantifier. Ce qui est certain c’est l’appauvrissement généralisé des populations doublé d’une chute de l’activité économique. Cette situation ne pourra qu’engendrer de graves troubles sociaux. De toute évidence ces conséquences sont occultées par les partisans de l’effet de serre mais un jour ou l’autre les peuples leur demanderont des comptes.
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