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par Louis Doutrebente.
Le groupe Hayat Tahrir al-Cham, encore considéré par les États-Unis comme terroriste, deviendra-t-il un allié de l’Occident pour éviter qu’Assad et que ses alliés russes et iraniens ne remportent la guerre syrienne ? Une approche que semblent valider les services secrets britanniques et turcs et certaines personnes influentes à Washington.
Des indiscrétions diplomatiques explosives ont fuité dans la presse.
Jonathan Powell, ancien directeur de cabinet de Tony Blair et entretenant des liens troubles avec MI6 – l’agence britannique de renseignement – pousserait le groupe djihadiste Hayat Tahrir al-Cham (HTC) à établir une coopération étroite avec les pays occidentaux. Ce groupe, issu du Front al-Nosra, contrôle une grande partie de la province d’Idlib. Une solution qui permettrait à Washington et à ses alliés européens et turcs d’empêcher que le président réélu Bachar el-Assad ne finisse par reconquérir l’ensemble du territoire national.
Cependant, la campagne de dédiabolisation de ce groupe ainsi que de Mohammed al-Joulani, son fondateur et dirigeant, ne semble pas pour le moment fonctionner auprès de l’administration Biden. Celle-ci refuse de retirer HTC de la liste des groupes terroristes. Mais cette qualification sera-t-elle suffisante pour empêcher toute collaboration ?
Réponse dans ce nouveau focus de Lignes Rouges.
source : https://fr.sputniknews.com
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