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par Gérard Luçon.
Je pense que tout le monde se souvent de ce vieil adage « qui ne dit mot, consent ».
Dernièrement l’Organisation mondiale de la Santé a planché sur la notion de consentement pour les 6-17 ans, et dans le document qui a été pondu nous trouvons ce paragraphe :
Le consentement implicite, au titre duquel les parents sont informés d’une vaccination imminente, au moyen de la mobilisation sociale et de la communication, une lettre leur étant parfois directement adressée. Par la suite, la présence physique de l’enfant ou de l’adolescent, que ses parents l’accompagnent ou non à la séance de vaccination, est considérée comme un consentement implicite. Cette pratique se fonde sur le principe de la faculté de refus (opt-out) et on attend implicitement des parents ne consentant pas à la vaccination qu’ils fassent en sorte que leur enfant ou leur adolescent ne participe pas à la séance en question. Ils peuvent, par exemple, ne pas le laisser se rendre à l’école quand une journée de la vaccination y est organisée. Les procédures de consentement implicite sont fréquentes dans nombre de pays. Mais lorsque les enfants se présentent aux vaccinateurs sans leurs parents, il est difficile d’établir si ces derniers ont effectivement donné leur consentement. Les pays sont donc encouragés à adopter des procédures visant à garantir que les parents ont été informés de la vaccination et l’acceptent. On ne dispose pas de données complètes sur la question de savoir si l’approche des pays en matière de consentement a changé ou évolué ces dernières décennies.
Je vous suggère de le lire le plus attentivement possible, en pesant les termes employés, car nous atteignons un sommet de « dégueulasserie », personnellement j’ai retenu ce qui suit, en gras et italique, avec ce petit commentaire préalable : dans la Convention d’Oviedo (seul instrument juridique contraignant international pour la protection des droits de l’Homme dans le domaine biomédical) on parle de consentement éclairé … pas implicite !!! (source Convention d’Oviedo)
Le consentement implicite, au titre duquel les parents sont informés d’une vaccination imminente, au moyen de la mobilisation sociale et de la communication, une lettre leur étant parfois directement adressée. Par la suite, la présence physique de l’enfant ou de l’adolescent, que ses parents l’accompagnent ou non à la séance de vaccination, est considérée comme un consentement implicite. Cette pratique se fonde sur le principe de la faculté de refus (opt-out) et on attend implicitement des parents ne consentant pas à la vaccination qu’ils fassent en sorte que leur enfant ou leur adolescent ne participe pas à la séance en question. Ils peuvent, par exemple, ne pas le laisser se rendre à l’école quand une journée de la vaccination y est organisée. Les procédures de consentement implicite sont fréquentes dans nombre de pays. Mais lorsque les enfants se présentent aux vaccinateurs sans leurs parents, il est difficile d’établir si ces derniers ont effectivement donné leur consentement. Les pays sont donc encouragés à adopter des procédures visant à garantir que les parents ont été informés de la vaccination et l’acceptent. On ne dispose pas de données complètes sur la question de savoir si l’approche des pays en matière de consentement a changé ou évolué ces dernières décennies.
Non contents de cela, il fallait bien que l’Union européenne donne des précisions sur les vaccins et les frontières, que l’étau se referme de plus en plus et de mieux en mieux !
Donc on aborde (dans le document mentionné plus bas) le problème des vaccinés simples, de ceux avec rappel, des tests PCR, en ne traitant pas du tout celui des non vaccinés qui se présentent aux frontières ou à l’embarquement dans un aéroport …
Aussi un dispositif a été prévu (il est déjà en service à certains postes notamment en Roumanie à Nadlac, Borș, mais il n’est pas « officialisé ») pour les non vaccinés partant en vacances en voiture, camping car, etc … et qui arrivent au poste frontière : soit vous êtes refoulé soit vous acceptez le « fast vaccin » de Jonson & Johnson, une seule injection sans rappel, et vous pouvez continuer tranquillement votre route …
Ce dispositif relève aussi du « consentement implicite » dans la tête des ces grands démocrates que sont nos dirigeants, car ils ont bien compris que nous ne nous vaccinons pas pour nous protéger d’un virus devenu quasiment inexistant, mais pour pouvoir partir en vacances et arriver dans le lieu où nous avons réservé et versé des arrhes !
Pour les vaccinés, le document laisse entendre qu’ils seront faciles à poster et à isoler, en cas de problème sanitaire…
Il est attirant, ce Nouvel Ordre Mondial, n’est-ce pas ?
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