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Quel rapport en effet entre l’affaire du Levothyrox [survenue en 2017 ; certains s’en souviennent douloureusement] et la campagne vaccinale anti-covid actuelle ?
Je vais encore obtenir la médaille du paranoïaque de service !
Pour un académicien conventionnel, une autorité sanitaire, un gouvernant acculturé ou un journaliste expert en médicament, il n’y a aucun rapport. Voire !
Selon le quotidien Le Monde (du samedi 29 Mai) et un de ses rédacteurs (incompétent en médecine mais écologiste certains jours ; mais pas trop…), le rapport d’expertise demandé par le Tribunal en 2018 accablerait l’industriel MERCK, le fabricant du Levothyrox dont il a changé la formulation chimique en 2017.
Mais MERCK est aussi numéro un mondial de l’industrie des vaccins.
Restons sur le Levothyrox pour le moment.
Ah ! Voilà donc un industriel des vaccins compromis dans une sombre affaire de bricolage de formulation d’un médicament.
Ce n’est pas très étonnant. Nous savons depuis longtemps que nous ne devons pas avoir confiance, les yeux fermés, dans les agissements de l’industrie des produits de santé. Il faut les surveiller de très près.
Pour les experts (je n’ai pas le rapport), il ne ferait aucun doute que le changement de formulation pouvait avoir des conséquences cliniques ; et que ces dernières n’ont pas été évaluées correctement par l’industriel, selon le procédé habituel : « Je fais ce que je veux ! »
Comme souligné avec humour et exagération [c’est le propre de l’humour noir] par le dessinateur du quotidien, les patients ont su très vite qu’il y avait un problème.
Ce que nous apprenons également – avant que, je le crains, ça ne soit doctement enterré – c’est que les autorités sanitaires en place ont très vite eu l’information que les plaintes des patients étaient probablement justifiées.
Selon les experts, l’Agence nationale de Sécurité des médicaments (ANSM) savait mais, pour une raison inconnue, a fermé les yeux !
Je ne vais pas me lancer dans une enquête sociologique ou faire le travail des journalistes d’investigation [ça existe encore ?] mais je note que :
1) Les autorités sanitaires prennent systématiquement le parti (la défense) des industriels ! Ces derniers ont toujours raison !
2) Sans aucune considération ni respect pour les victimes ! Ces dernières ont toujours tort ! Effet nocebo, selon les haltérophiles de l’ANSM !
3) Rien n’a changé depuis l’affaire du Médiator !
4) Dans nos sociétés, les gouvernants, les autorités sanitaires qu’ils nomment et les industriels sont connivents, voire complices.
5) Les académiciens et les professeurs d’université (dans l’affaire du Médiator comme dans celle du Levothyrox) sont dans le même bateau que les précédents !
6) Dans ce contexte [in coda venenum !], quel crédit accorder, quelle confiance donner à toutes ces magnificences à propos des vaccins ?
7) Que croire, qui croire, dans ce magma à propos des vaccins ?
Et pour finir, un petit cadeau de fin de journée : Pour ceux qui ne comprennent pas l’italien « lascia mi piangere » signifie : « laissez-moi pleurer« . Peut-on le dire mieux que l’artiste ?
Laissez-moi pleurer !
source : https://michel.delorgeril.info
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