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par Edy Fernandez.
Il m’est venu une pensée amusante, si tant est que l’on puisse parler ainsi à propos de l’affaire qui préoccupe le monde actuellement.
Je me souviens que, au début de cette supposée épidémie virale, les gens se sont précipités sur le roman « La peste », d’Albert Camus, y voyant une analogie avec ce qu’il se passait et cherchant peut-être des réponses. Or ce roman, une histoire d’épidémie qui se situe à Oran, est en fait une métaphore de la peste brune, car Camus y fait référence au fascisme et au nazisme.
Quand les gens se sont précipités sur ce livre, ils ne savaient pas qu’ils étaient en réalité en train de vivre les prémisses d’une dictature, que la présumée épidémie allait se transformer peu à peu en peste brune, c’est à dire tout ce que dénonce, à mots couverts, le roman.
Un sacré paradoxe et un curieux pied de nez du destin. Car le roman prophétique de Camus est devenu réalité, sous nos yeux. Les rats porteurs de la peste sont revenus, le nazisme est devenu sionisme et mondialisme. La vérité était déjà toute là, dans ce livre. Et l’intérêt tout à coup porté à ce livre n’était en rien fortuit, comme si les gens avaient senti sans pouvoir le concevoir que les vraies réponses à leurs interrogations et à leurs inquiétudes étaient là, dans ces lignes. En fait, beaucoup de gens avaient compris sans le savoir, et beaucoup ne veulent toujours pas savoir. Car le nazisme n’est jamais mort, il n’a fait que peaufiner son plan en sourdine pendant des années, les têtes de l’hydre hideuse ont repoussé et nous vivons maintenant l’avènement du quatrième reich.
Ne dit-on pas que, quand l’histoire n’apprend pas de ses erreurs, celles-ci sont appelées à se répéter indéfiniment ?
C’est un constat amer, n’est ce pas ?
Camus lui-même, s’il était encore parmi nous, aurait certainement un rictus bien amer en constatant qu’il avait ô combien vu juste..
« … Car il savait ce que cette foule en joie ignorait, et qu’on peut lire dans les livres, que le bacille de la peste ne meurt ni ne disparaît jamais, qu’il peut rester pendant des dizaines d’années endormi dans les meubles et le linge, qu’il attend patiemment dans les chambres, les caves, les malles, les mouchoirs et les paperasses, et que, peut-être, le jour viendrait où, pour le malheur et l’enseignement des hommes, la peste réveillerait ses rats et les enverrait mourir dans une cité heureuse ».
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