Selon un rapport public du département d’État américain, la mise en avant des drapeaux Black Lives Matter dans tous les «postes diplomatiques et consulaires» a été autorisé le 25 mai.
Le mémo a également encouragé l’utilisation de l’expression Black Lives Matter dans les engagements diplomatiques.
Le fondateur de la section BLM du Minnesota, Rashard Turner, a ouvert cette succursale en 2015 et est devenu plus tard «un initié» au sein de l’organisation, mais ce qu’il a découvert l’a poussé à quitter le mouvement.
L’identité de genre et la théorie critique de la race érodent les écoles américaines, lentement mais sûrement.
L’Université de Princeton, une école de l’Ivy League, n’obligera plus les étudiants à prendre le latin ou le grec ancien pour obtenir un diplôme de lettres classiques.
Le changement fait partie d’un effort plus large visant à «lutter contre le racisme systémique» sur le campus.
Dans le même ordre d’idée, à Washington, le gouverneur Jay Inslee a récemment signé plusieurs projets de loi rendant obligatoire la formation à la justice sociale pour le personnel des écoles publiques, mais il existe un projet de loi qui va encore plus loin.
Le projet de loi du Sénat 5228 impose un système de quotas qui limite les étudiants les plus «surreprésentés»: les Asiatiques.
Selon la nouvelle loi, les Asiatiques et les Blancs doivent être discriminés pour laisser plus de places à d’autres groupes ethniques.
À Washington, le département de la santé a autorisé les fournisseurs de vaccins à refuser des rendez-vous aux résidents blancs, invoquant des préoccupations «d’équité».
À Boston, l’hôpital Brigham and Women fait pression pour offrir un traitement préférentiel aux patients appartenant à des minorités.
Au cours des dernières semaines, les médias grand public, Facebook ou encore le Dr Fauci ont fait volte face en revenant sur ce qu’ils avaient autrefois largement qualifié de «théorie du complot» raciste : l’hypothèse selon laquelle le coronavirus provient de l’Institut de virologie de Wuhan.
Dans le même temps, certains journalistes saisissent l’occasion pour dénoncer les préjugés des grands médias au public.
Pour la première fois, un drone aurait tenté d’assassiner des militaires de manière totalement autonome.
C’est ce qu’évoque un rapport des Nations Unies dans un document publié en mars dernier, mais découvert par New Scientist ce 27 mai.
Dans cette archive, le Conseil de sécurité des Nations unies sur la Libye assure qu’un drone fonctionnant "de manière totalement autonome" aurait pris pour cible des soldats.
Les chercheurs britanniques sont-ils en train de travailler pour l’armée chinoise ?
Selon un rapport, il existe une "présence omniprésente de conglomérats et d’universités liés à l’armée chinoise dans le parrainage de centres de recherche de haute technologie dans de nombreuses universités britanniques de premier plan".
En France comme aux Etats-Unis, l’éolien a le vent en poupe.
La Maison Blanche, ainsi que le ministère de la Défense et le gouvernement californien ont annoncé mardi dernier des plans préliminaires pour développer deux parcs éoliens géants au large des côtes californiennes.
Les sites au large de Morro Bay dans le centre de la Californie et de la ville d’Eureka dans le nord de la Californie pourraient potentiellement produire jusqu’à 4,6 gigawatts d’énergie éolienne.
Cependant, l’énergie éolienne est-elle vraiment aussi PROPRE et VERTE que les gouvernements le prétendent ?
Sans parler d’un des problème majeur des éoliennes, qui est l’intermittence de l’énergie en fonction du vent, et la pollution visuelle, quel est le coût réel de la production d’énergie éolienne «verte et propre».
La demande de néodyme, un élément chimique du groupe des terres rares, a explosé en raison de la demande d’éoliennes dans le monde.
La triste réalité est que cette demande toujours plus forte a entraîné le déversement de plus de 7 millions de tonnes de déchets toxiques chaque année dans un lac artificiel de 10 km de large à Baotou, en Chine.
Certains des déchets sont également radioactifs.
Ce lac est devenu SI grand et toxique qu’il met maintenant en péril les systèmes d’irrigation sur lesquels les agriculteurs chinois comptent pour abreuver leurs terres et leur bétail.
Jamie Choi, de Greenpeace Chine, a déclaré: «Il n’y a pas une seule étape du processus d’extraction des terres rares qui ne soit désastreuse pour l’environnement. Les minerais sont extraits en pompant de l’acide dans le sol, puis ils sont traités avec plus d’acides et de produits chimiques. »
Mais Greenpeace Allemagne a censuré l’information de Greenpeace Chine, parce qu’elle y a investi dans l’éolien par sa branche business, Greenpeace Energy…
Source : Lire l'article complet par Carrefours du monde
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