Une figure pro-vie : un seul bon évêque pourrait faire plus en 47 jours pour mettre fin à l’avortement que je n’ai fait en 47 ans

Une figure pro-vie : un seul bon évêque pourrait faire plus en 47 jours pour mettre fin à l’avortement que je n’ai fait en 47 ans

John Smeaton, directeur de la Society for the Protection of Unborn Children.

Par John Smeaton (Voice of the Family) ― Photo : Pete Baklinski/LifeSiteNews

Discours de John Smeaton, directeur de la Society for the Protection of Unborn Children, donné lors de la Marche pour la Vie à Rome

Chers amis pro-vie,

J’ai été parmi vous pendant cinq des dix dernières années où la Marche pour la Vie s’est tenue sur la place publique (à l’exception bien sûr de l’année dernière où nous avons dû donner notre témoignage en ligne). Et je suis ravi de me tenir à vos côtés sur la Via dei Fori Imperiali aujourd’hui.

Je me souviens de la légalisation de l’avortement en Italie il y a 43 ans. Je me souviens des mensonges effroyables que le mouvement pro-avortement racontait sur le nombre d’avortements illégaux en Italie — mensonges diffusés par les médias du monde entier. Avec quel empressement les ennemis de la vie se sont attaqué à l’Italie et à votre culture qui est si inséparable de l’amour de la famille, de la vie et de la foi.

Je suis impliqué dans le mouvement pro-vie au niveau national et international depuis 47 ans, et cette année je remettrai ma charge à la prochaine génération. Ce moment particulier m’incite à réfléchir sur le mouvement pro-vie : sa mission, son but et aussi ses limites.

Le but du mouvement pro-vie est de vaincre l’idée, qui domine pratiquement le monde entier, qu’il existe une vie qui ne mérite pas d’être vécue.

Les maux que nous combattons sont enracinés dans une révolution, une rébellion contre Dieu et son Église, une rébellion alimentée par les passions déréglées de l’homme qui lui font rejeter les lois de Dieu enseignées infailliblement par son Église. Je pense en particulier au mal de l’avortement, le meurtre du plus petit, du plus faible, du plus innocent des enfants de Dieu, l’image de Dieu lui-même rejetée par l’homme et remplacée par sa propre image et ses désirs égoïstes : l’ego de l’homme a pris la place de Dieu.

Une figure pro-vie : un seul bon évêque pourrait faire plus en 47 jours pour mettre fin à l’avortement que je n’ai fait en 47 ans

Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie

Source: Lire l'article complet de Campagne Québec-Vie

À propos de l'auteur Campagne Québec-Vie

Campagne Québec-Vie est une association québécoise qui travaille de concert avec tout individu ou association de bonne volonté, à l’établissement d’une société chrétienne qui protège la foi, la famille et la vie, de la conception à la mort naturelle.CQV a trois objectifs : i) Promouvoir la reconnaissance, par les représentants de tous les corps sociaux, y compris ceux de l’État, de la nécessité du christianisme, en tant que seule religion intégralement vraie, pour une réalisation pleine et entière du bien commun ; ii) Promouvoir la reconnaissance du fait que la foi chrétienne est raisonnable, et que la raison soutient la foi et la morale chrétiennes ; iii) Promouvoir le respect de la vie humaine depuis la conception jusqu’à la mort naturelle ainsi que les droits de la personne et de la famille ;CQV œuvre à instaurer une « Culture de Vie », c’est-à-dire que nous favorisons, en manifestant, en organisant des colloques, en diffusant des nouvelles par Internet et offrant de l’aide aux femmes enceintes en difficulté, le développement d’une société dont les lois et les mœurs concourent, entre autres, à la reconnaissance du droit à la vie de toute personne humaine, de la conception à la mort naturelle, ainsi qu’à la reconnaissance de la famille traditionnelle (homme, femme, et les enfants qui découlent de leur union aimante) comme lieu privilégié pour l’épanouissement de la personne humaine.

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Recommended For You