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par Liliane Held-Khawam.
Témoignage du médecin cardiologue Peter A. McCullough devant le Sénat du Texas. Grand spécialiste des pathologies cardiorénales, médecin réputé au plan international avec 1000 publications et 500 citations dans le cadre de la National Library of Medicine, les publications de Peter A. McCullough figurent dans les prestigieuses revues dont le New England Journal of Medicine, Journal of the American Medical Association, ou Lancet. Il est aussi coéditeur ou éditeur associé de revues scientifiques de pointe qui traitent de sujets de cardiologie, de médecine cardiorénale, cardiovasculaire. Professeur de Médecine
Chef-adjoint de Médecine interne
Baylor University Medical Center/Dallas, TX. chef de Médecine interne au Texas A & M University Health Sciences Center.
La rédaction de Dépossession et de Coup d’Etat planétaire m’avaient menée à m’interroger sur le comment la supra-élite allait faire adhérer la population mondiale, soit l’humanité, au Nouveau Monde et son grand reset. Ainsi en 2019, nous écrivions dans Coup d’Etat planétaire:
Forte des piliers monétaire et financiers, l’oligarchie peut conquérir le pilier économique. Les Firmes transnationales (ou globales) sont devenues des armes destructrices de l’économie de marché, de ses lois, mais surtout de la myriade des agents économiques privés et publics. Maintenant, si l’on ajoute le fait que cette micro-élite de la haute finance est détentrice (directement ou indirectement) de l’ensemble des dettes de la planète, aussi bien du public, que des ménages, et aussi des dettes pharaoniques des entreprises, on peut raisonnablement l’imaginer en marche vers un pouvoir planétaire absolu !
Tous les mécanismes économiques ont été soigneusement cassés. Il ne faut s’attendre à aucun imprévu venant des mécanismes de marché, ou d’un contre-pouvoir quelconque. Ceux qui se permettent des prédictions n’ont pas compris le contexte global dans lequel s’inscrivent les crises. Détenant les leviers essentiels de la vie économique, seules les personnes aux manettes de la planète finance-industrie sont capables de décider du jour et de l’heure du « reset ». C’est à ce moment que sera annoncé le nouveau paradigme sociétal promis par Brzezinski. Un modèle qui brillera par un totalitarisme d’ampleur inédite. Une révolution historique se déroule en ce moment même dans le silence consternant des médias.
C’est donc tout naturellement qu’en février 2020, l’émergence de Covid-19 a semblé le prétexte idéal pour amener l’humanité à effectuer son entrée dans le Nouveau Monde. J’avais alors exprimé nombre d’interrogations dans Coronavirus: des enjeux sociétaux majeurs… Le coronavirus semblait pouvoir permettre la mainmise totale et globale sur la vie de chacun des habitants de la terre.
Eh bien parce que ce virus déclenche une crise sociale et sociétale inédite car globale. Et elle pourrait bien permettre la mise en place d’un nouveau jalon en direction du coming-out de la Nouvelle Société du Nouveau Monde. Et cela nous intéresse bien sûr.
Jacques Attali en avocat du Nouveau Monde globalisé
Jacques Attali, l’homme qui murmure à l’oreille de tous les présidents français avait annoncé avec précision tout ce que nous vivons depuis plus d’une année. Il préconisa très tôt une gouvernance mondiale de ce qui n’était pas encore vraiment une pandémie. Jacques Attali préconisait dans sa chronique dans les Echos dès janvier 2020 l’instauration d’une gouvernance mondiale pour gérer la pandémie…
Selon lui, « beaucoup savaient donc qu’une nouvelle pandémie aurait des conséquences plus graves que la précédente. Et pourtant, on en est là. L’épidémie actuelle est déjà plus grave que la précédente et nul ne peut encore prédire jusqu’où elle va aller.
Dans l’hypothèse où elle explose vraiment sur toute la planète, ce serait un cataclysme gigantesque. C’est possible, mais peu vraisemblable. Et, pour en limiter les conséquences, il faudrait prendre, le moment venu, des mesures dont les conséquences humaines, sociales, économiques, écologiques, politiques, pourraient être terrifiantes. »
Plus loin, il demande la mise en place au niveau mondial d’observatoires, fondés sur un usage massif et ouvert des technologies de l’intelligence artificielle afin d’alerter suffisamment tôt sur l’occurrence d’une potentielle épidémie.
Autre mesure préconisée par M Attali : « développer des réseaux de laboratoires de recherches, avec beaucoup plus de moyens et de coopération entre les équipes , pour se préparer à aller beaucoup plus vite dans la recherche d’antidotes. Et enfin mettre en place de grands programmes d’hygiène publique, qui permettront aussi de réduire l’impact écologique de l’activité économique. »
Et là, dans un concours de circonstance extraordinaire, notre fameuse Loi sur les épidémies tient compte précisément de cette donnée dans son chapitre 3 intitulé Détection et surveillance, la section 2 traite des laboratoires et de leur mise en réseaux.
L’origine humaine de la fabrication du virus sur la sellette
Dès avril 2020, le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de Médecine, émettait des affirmations selon lesquelles le nouveau coronavirus aurait été fabriqué dans un laboratoire. Il reconnaissait formellement dans son génome la présence de séquences du HIV.
Les journalistes financiarisés seront bien plus sévères avec lui qu’avec les auteurs de la fausse étude publiée dans le Lancet. L’auteur suisse de ce fake retentissant mais surtout dangereux en matière de santé publique, Frank Ruschitzka, officie toujours en tant que professeur de médecine à l’Université de Zurich. Aucune enquête publique n’a été menée contre lui.
En octobre 2020, la généticienne Alexandra Henrion-Caude revenait dans un entretien sur la chaîne de Nexus sur cette possibilité, hautement concevable selon elle, de chimère fabriquée en laboratoire. Elle compléta alors cette interrogation en nous précisant que:
« la séquence insérée entre S1 et S2 qui confère un « gain de fonction », en l’occurrence la capacité d’être clivée par la furine, est insérée entre ces deux éléments, pour lui permettre d’être accessible au niveau membranaire. »
« ce principe d’insérer un site de clivage au niveau de protéines membranaires a fait l’objet d’un brevet (n° US 7,223,390 B2), ce qui rend l’hypothèse de l’origine animale toujours plus extra-ordinaire, et l’hypothèse d’une création humaine de laboratoire hautement concevable. Cette dernière hypothèse est largement étoffée par les deux récents articles deLi-Meng Yan qui rapportent les possibles étapes permettant la construction de la séquence du SARS-Cov2 dans un laboratoire. »
Puis c’est un article publié dans les 24 heures en provenance du CNRS qui attira notre attention par son titre très éloquent: « La question de l’origine du SARS-CoV-2 se pose sérieusement ». Le directeur de recherche interviewé aura ces quelques mots plus qu’importants:
Néanmoins, elle part d’une observation tout à fait sérieuse et importante pour la compréhension du mécanisme d’infection de SARS-CoV-2 : Il a été découvert que le gène codant la protéine Spike contient quatre insertions de courtes séquences que l’on ne retrouve pas chez les CoV humains les plus proches génétiquement. Ces insertions confèrent probablement des propriétés remarquables à la protéine Spike de SARS-CoV-2. Des études structurales indiquent que les trois premières insertions sont localisées sur des domaines exposés de la protéine S et jouent donc probablement un rôle dans l’échappement du virus au système immunitaire de l’hôte.
la 4e insertion qui fait apparaître un site de protéolyse furine chez le SARS-CoV-2 absente dans le reste de la famille des SARS-CoV. On ne peut donc pas exclure que cette insertion résulte d’expériences visant à permettre à un virus animal de passer la barrière d’espèce vers l’homme dans la mesure où il est bien connu que ce type d’insertion joue un rôle clé dans la propagation de nombreux virus dans l’espèce humaine.
Le virus fabriqué en laboratoire? La publication de Science qui relance l’hypothèse
Et voici un scoop qui passe pratiquement inaperçu. Il s’agit d’une étude publiée dans Science qui ré-interroge sur la fabrication du virus en laboratoire, et qui s’en serait échappé suite à un accident. Dans les faits, cet article de Science vient répondre à 3 publications chinoises rendues publiques récemment. Selon le journal Le Monde, ces études sont rédigés en chinois. Les trois mémoires, respectivement soutenus en 2014, 2017 et 2019, n’ont jusqu’à présent jamais été rendus publics ; ils contiennent des informations d’importance. Selon des spécialistes consultés par Le Monde, ils remettent en cause certaines données tenues pour acquises par la communauté scientifique internationale sur le nombre et la nature des coronavirus conservés par le WIV, sur les expériences conduites sur ces virus et même sur l’intégrité des séquences génétiques virales publiées ces derniers mois par l’institution de recherche de Wuhan.
Pourquoi le refus de traiter les patients avant l’étape qui nécessite l’hospitalisation?
Combien de fois a-t-on entendu dire que les personnes n’avaient pas reçu de traitement? Souvenez-vous alors que le professeur Raoult et bien d’autres voulaient soigner de manière précoce les contaminés, le discours officiel affirmait qu’il fallait rentrer chez soi et attendre. Attendre l’éventualité de se retrouver en détresse respiratoire. Et là les personnes âgées ont été discriminées. On ne les a pas transférées à l’hôpital sous prétexte du manque de place. On peut dire qu’on les euthanasiées tout simplement.
Récemment invité sur Fox TV, Peter A. McCullough revient sur l’étonnant fait historique, en matière de santé publique, qui caractérise la prise en charge des patients atteints de Covid, à savoir l’absence de protocole de traiter les patients atteints de Covid avant la phase exigeant l’hospitalisation. Et la question-clé demeurera l’intention qui sous-tend cette volonté politico-scientifique totalement illogique et incompréhensible.
Pourquoi a-t-on censuré les scientifiques qui ont préconisé le traitement précoce des patients contaminés?
Dès la première minute de cette « pandémie » tout un chacun a pu constater les accumulations d’incohérences, de contradictions, ou d’erreurs dans les discours et les statistiques tenus par les autorités sanitaires. Mais par-dessus tout cet épisode covidien a été dominé par la censure. Et pas n’importe laquelle. Celle de scientifiques de premier plan qui demandaient le droit de traiter les personnes infectées.
Exemple. Grâce à une collaboration avec les médecins italiens, confrontés très tôt à la crise du Covid, une équipe de chercheurs menée par Peter A. McCullough publie dès le 7 août 2020 sur le thème du traitement ambulatoire précoce de l’infection par le COVID-19. Afin de rendre cet écrit accessible par le grand nombre, Peter A. McCullough avait enregistré une vidéo qui vulgarise les 4 piliers qu’il préconise. Youtube l’a immédiatement censurée. Pourquoi?
Processus pour une prise en charge en faveur d’un traitement ambulatoire précoce
Nous avions relayé en janvier 2021 la publication d’une étude scientifique hautement importante qui plaide pour le traitement avant de se lancer dans une vaccination de masse avec un produit dont on ne sait rien et qui pourrait engendrer des problèmes à venir qui sont potentiellement incontrôlables.
Dans la publication de Peter A. McCullough (cf références ci-dessous), l’équipe de chercheurs présente les approches thérapeutiques basées sur des principes comprenant
1) lréduction de la réinoculation,
2) thérapie antivirale combinée,
3) immunomodulation,
4) thérapie antiplaquettaire / antithrombotique,
5) administration d’oxygène, surveillance et télémédecine.
Et l’article se termine sur ce constat:
Le COVID-19 aigu a une grande gamme de sévérité clinique d’asymptomatique à mortelle. En l’absence d’essais cliniques et de lignes directrices, avec des hospitalisations et une augmentation de la mortalité, il est prudent de déployer un traitement pour COVID-19 basé sur des principes physiopathologiques. Nous avons proposé un algorithme basé sur l’âge et les comorbidités qui permet de suivre et de traiter une grande partie à domicile lors de l’auto-isolement dans le but de réduire les risques d’hospitalisation et de décès.
Représentation visuelle des « chemins » proposés en fonction de la nature des cas à traiter
Des scientifiques hautement financiarisés aux manettes
Nous voici donc avec un virus probablement sorti d’un laboratoire, construit sur sol chinois mais avec un appui financier et technologique bien occidental. Et précisément, c’est en Occident que la gestion de la crise est la plus problématique.
La Suisse par exemple est dotée d’une « Task Force » pour lutter contre la Covid-19. Cette équipe est supposée faire mieux que la structure publique de l’Etat. Sauf que les éminents membres de ces groupes sont de purs produits de la planète finance qui les nourrit depuis de très nombreuses années. Ils travaillent donc avec une épée de Damoclès au-dessus de leur tête: on peut raisonnablement imaginer qu’ils ne peuvent maintenir les activités de leurs prestigieux labos et de leurs non moins prestigieuses équipes s’ils dévient des missions qui leur sont imposées par leurs financeurs.
Le président de la Task force suisse sous le coup d’une plainte pénale.
Cette plainte est un excellent début. Toutefois, nous en attendons d’autres. Toutes ces personnes qui vantent la vaccination dont on ne sait rien et qui est toujours en phase de test est problématique. Elle fait des citoyens des cobayes non pas de la médecine, mais de la technoscience. Il est utile de rappeler que la nouvelle méthode vaccinale est une méthode basée sur un processus nanotechnologique qui peut mener à son tour au transhumanisme.
Connecter les individus à la machine
La nanomédecine est cette technomédecine qui utilise les nanotechnologies pour développer des applications innovantes, et plus spécifiquement des nano-objets dans le domaine de la santé, grâce à l’exploitation des propriétés physiques, chimiques et biologiques des matériaux à l’échelle nanométrique.
La nanomédecine promue par les autorités est une des applications possibles de la connectivité entre l’humain et la machine. Les vaccins de nouvelle génération en font partie. Récemment nous nous interrogions sur ce qui était contenu dans ce vaccin à part les nanoparticules et la nanocapsules. Y a-t-il par exemple des nanobots? Et s’ils n’existent pas lors de l’injection, est-ce que les nanoparticules peuvent s’agglomérer pour former des nanobots ou des nanoprocesseurs par exemple? Comment peut-on injecter différents vaccins (AstraZeneca et Pfizer par exemple) simultanément sans que cela n’ait été testé en amont? Ces injections successives peuvent-elles permettre la composition des nano-engins pré-cités ? Nous n’en saurons rien hélas.
Ce que nous savons en revanche, c’est que la haute finance exige que tout individu doit porter sur lui des capteurs qui permettraient sa connectivité de manière continue. Et ce n’est pas n’importe qui qui ledit, mais Klaus Schwab, le chef de l’organisation qui promeut le partenariat multipartite cher à l’ONU et sur lequel insistent les différents programmes de développement durable. Même Wikipédia admet la chose:
Partisan du transhumanisme, il prévoit l’implantation de puces d’abord dans les vêtements puis dans le cerveau, pour établir une « communication directe entre notre cerveau et le monde digital »8. Il défend et promeut l’avènement de l’intelligence artificielle pour nos vies dans La quatrième révolution industrielle paru en 2017.
Si aucun stop n’est posé, le transhumanisme mènera très rapidement à la mort de l’humanité telle que connue. Un monde d’humains génétiquement modifiés et fusionnés avec la machine appartiendra de facto à ses « géniteurs », à savoir l’oligarchie qui tient la planète finance. Et ces individus veulent:
- Prendre le pouvoir définitivement sur les Etats publics.
- Segmenter l’espace public en zones connectées qui soumettent à surveillance continue les habitants.
- Evaluer en permanence les populations afin d’identifier 3 catégories: les plus zélées en faveur du Système, les « normaux », et les réfractaires.
- Mettre en place un Système de rémunération avec bonus et pénalités en fonction du comportement observé.
- Repérer les compétences systématiques de toute personne vivant sur terre afin de les exploiter au mieux.
- Augmenter les capacités des uns et des autres pour booster productivité et rentabilité.
Une révolution sur fond de Développement durable
Souvenez-vous de ce qui est écrit dans le rapport de Brundtland sur l’économie durable, fil rouge qui permet toutes les dérives au nom d’une pseudo écologie qui n’a pas réussi à faire le début de ses preuves depuis 40 ans.
Le développement durable porte en lui une révolution qui vise à repenser totalement la société. Le Club de Rome avait pensé dès les années 70 à poser des limites à la population, mais pas à l’industrie. La définition du développement durable de la Commission Brundtland intègre aussi ce double statut: « La notion de développement durable implique certes des limites. Il ne s’agit pourtant pas de limites absolues mais de celles qu’imposent l’état actuel de nos techniques et de l’organisation sociale ainsi que de la capacité de la biosphère de supporter les effets de l’activité humaine.»
Paul Moatti, Président-directeur général de l’IRD (Institut de recherche pour le développement) nous introduit à la transformation, -voire révolution-, organisationnelle de notre société et des territoires, qui se met en place loin des projecteurs des grands médias. Pour lui, l’enjeu est «notre capacité à transformer nos sociétés afin qu’elles puissent offrir les meilleurs conditions de vie au plus grand nombre tout en s’adaptant au changement climatique et à la gestion de risques environnementaux croissants». Les propos de Moatti font écho au rapport de la Commission Brundtland quand il place le changement de l’organisation sociale au cœur de sa définition du développement durable.
Nous voyons ainsi que le progrès technique allié à la (ré-) organisation sociétale est le cœur-même de la révolution actuelle, suite à quoi, la croissance économique et commerciale pourra se poursuivre. La Commission Bruntland confirme : « Mais nous sommes capables d’améliorer nos techniques et notre organisation sociale de manière à ouvrir la voie à une nouvelle ère de croissance économique».
Coup d’État planétaire
Les spéculateurs qui ont mis à genoux les Etats se préparent depuis des décennies à prendre le pouvoir final et total. Celui-ci passe par la fusion de l’homme à la machine. Leur maîtrise de l’infiniment petit est devenu un vrai problème de santé publique auquel nos autorités impuissantes sont et seront incapables de traiter.
À méditer…
source : https://lilianeheldkhawam.com
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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