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par Marie-France de Meuron.
La notion de balance est bien perceptible dans le plan horizontal-vertical. Mais qu’en est-il de sa profondeur dans la dimension sagittale, comme le sagittaire nous la désigne en pointant sa flèche vers l’avant, dans le plan transversal ?
Il nous est brandi cette notion de bénéfices-risques comme prétexte du bien-fondé des vaccinations et autres mesures dites sanitaires. Qu’en est-il dans la réalité quand nous portons notre vision vers l’avant, vers l’avenir et ses différentes composantes ?
On n’a jamais rien assis sur deux pieds ! L’appui dans l’axe transverse nous permet d’être présent au monde avec une certaine assise en soi.
Les illustrations de ce thème peuvent être perçues dans différentes dimensions, en soi et autour de soi.
Au niveau politique, le confinement s’est répandu à travers les frontières sans que les gouvernements prennent en compte les diverses conséquences anti-sanitaires qui en découleraient. Un bilan actuel confirme ce que maintes personnes avaient prévu : « Rapport coût/bénéfice des confinements : l’équation impossible ».
Au niveau économique, l’article « Vite, un vaccin contre l’étatisme ! » exprime bien la réalité d’une autre dimension : En France aussi, on dépense à tout-va. Pas d’inquiétude, l’État est là ! École, santé, cantines, alimentation, climat… nos dirigeants ont leur avis sur tout et le font connaître, toujours par les mêmes moyens : réglementer, taxer, imposer, interdire… et distribuer sans compter cet argent qui n’est pas le leur, mais le nôtre. On voit bien cette balance qui oscille entre nous et l’État tandis qu’en transversal, la dette publique augmente dramatiquement et un changement de paradigme s’avère urgent.
Alors que tant de décisions se basent sur une notion binaire, par exemple présence ou non du virus couronné, nous constatons que l’usage de quelques mesures clairement définies ouvrent sur des dynamiques bien plus amples : « Covid : de la prévention à la société de contrôle ». La réponse à notre question me semble être que derrière le biais pour la prévention se trouve en fait un biais en faveur du pouvoir et de l’autorité. On constate ici l’amplification dans un monde transversal arbitraire : le pouvoir porte déjà en germe l’inclinaison à faire face au problème par l’administration et l’encadrement de la vie.
Même dans le domaine médical, certains gouvernements ont tenté au départ de limiter le traitement avec le Remdesivir, puis par la suite de faire patienter avec l’espoir de LA meilleure solution qu’ils estimaient être le vaccin. Or une vision transversale aurait permis de soigner plus globalement les malades et l’avenir n’aurait pas été handicapé à un point désastreux par LE système du confinement. Comment se fait-il que nos dirigeants aient une vue aussi plane de leurs populations qui, comme tout l’univers, présentent de multiples composantes pluriaxiales ? Cette vision réduite à un plan unique donne l’illusion d’une sécurité car elle offre la sensation de pouvoir maîtriser la situation sanitaire par quelques décisions codifiées mais la réalité montre clairement que les joints de ce système éclatent de plus en plus. Un exemple flagrant en Suisse : « L’hôtellerie-restauration a perdu plus de 40 000 emplois en 2020 » l’année dernière en raison de la fermeture d’entreprises suite à la pandémie. A-t-on vraiment protégé la santé de ces 40 000 employés ?
La réduction drastique du plan sagittal est illustrée magistralement par les modes de procédés quant à la création et au développement du vaccin covid : Dans le contexte actuel, le développement suit un paradigme complètement différent. D’abord, les phases d’essais cliniques s’enchaînent à une vitesse inédite. Ensuite, les compagnies pharmaceutiques consacrent tous leurs efforts pour trouver un vaccin contre la COVID-19, tandis qu’elles se penchent habituellement sur plusieurs maladies en parallèle. Des usines sont préparées pour la production industrielle des milliards de doses nécessaires, même si on ne sait pas encore quel type de vaccin va fonctionner. Du côté de la recherche universitaire, les cordons de la bourse des subventions se sont déliés et permettent aux scientifiques d’engager plus d’assistants et d’acheter du meilleur matériel. On voit bien là combien la focalisation sur un objectif évince tous les autres; par conséquent notre horizon en est bigrement rétréci.
Les suites des vaccinations relèvent aussi de la dimension sagittale. Les bilans permettent de voir l’évolution dans le temps et dans l’espace, ici au Danemark et en Norvège : « Vaccin AstraZeneca : combien de thromboses en plus ? »
Pour mesurer l’extension du microorganisme, les dirigeants se sont beaucoup raccrochés à l’idée unique DU test sans tenir compte ou clairement pas assez des multiples aspects de sa réalité matérielle. « Circulation du SARS-CoV-2 : le nombre de tests positifs quotidiens est un mauvais critère ».
Le contrôle de l’extension du covid a été passablement figé dans les tests nasopharyngés. Quelle en est l’extension transversale ? En Finlande, une vaste étude précise les complications liées aux tests nasopharyngés mal réalisés pour des incidents survenus immédiatement après l’échantillonnage, 4 pour des saignements nasaux et 4 pour des écouvillons cassés… On note un cas d’hémorragie massive à haut risque, mais aussi des perforations septales et des infections résultant de la répétition des prélèvements naso-pharyngés…On note également un cas de fuite du liquide céphalorachidien. Si cette étude a été effectuée, c’est bien qu’elle en valait la peine, même si les statistiques permettront d’affirmer que le rapport bénéfices-risques reste « positif ». On oublie vite de la sorte que la santé est individuelle et que la balance bénéfice-risque devrait aussi être définie pour chaque cas. Tient-on compte du traumatisme des enfants à qui on enfonce un bâton dans le nez ? Évidemment, ce geste ne dure pas longtemps mais le traumatisme est inscrit en eux. Il faut tenir compte de la mémoire cellulaire mais là c’est une dimension transversale de l’être humain, loin d’être connue et étudiée avec soin.
En restant dans la dimension individuelle, un site propose : « Vaccins Covid : calculez votre balance bénéfice-risque personnelle ».
Cette façon de miser sur un processus avec des sommes énormes (le fric donne un pouvoir illusoire car lui non plus n’a pas un vrai corps vivant) est démontrée par un projet qui ne peut être qu’alarmant puisqu’il ne répond pas à une réalité plus complexe : Pourquoi Bill Gates et le Pentagone lâchent-ils des moustiques OGM dans les Keys de Floride ? Le projet, qui semble positif dans les déclarations de presse, est alarmant à bien des égards. Premièrement, le refus de permettre un vote des citoyens sur la dissémination controversée d’OGM. Deuxièmement, il n’existe aucune analyse coût-bénéfice risques par rapport aux avantages de la libération de millions de moustiques dont les traits génétiques mutent de manière souvent imprévisible.
Depuis des décennies, la population a été formatée pour éprouver des sensations de manque, activées par la propagande de consommation. Et si l’on incitait l’individu à diriger son regard vers l’avant, vers l’horizon où tant de richesses lui tendent les bras ? Au contraire, on évoque constamment des menaces terribles et multiples, sans l’instruire des moyens à sa portée pour développer ses potentiels et traverser de façon constructive les épreuves inhérentes à l’existence et, de ce fait, être créatif de bénéfices plurivalents.
source : https://mfmeuron.blog.tdg.ch
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