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par Alain Tortosa.
Voilà une question qui doit sembler hautement complotiste pour les paniqués vaccinés adorateurs de l’Église du Coronavirus…
Si notre monde n’avait pas finalisé sa bascule dans une 4e dimension alors je serais peut-être en train de vous parler de la dangerosité potentielle des non-vaccinés.
Encore que la notion de « vaccin solidaire » a toujours fait des bulles dans ma tête au même titre que le « masque solidaire ».
Si un vaccin ou un port du masque est efficace alors le vacciné ou le masqué n’a pas besoin de ma vaccination ou de mon masque pour se protéger.
Et s’il en a besoin, c’est une preuve de leur inefficacité et pourquoi donc devrais-je le protéger en utilisant des moyens inefficaces ?
Enfin je pense que c’est à la médecine de trouver des stratégies à même de protéger les personnes à risque qui ne peuvent pas bénéficier d’un vaccin.
Ici encore il est étrange de mettre au point des thérapeutiques qui ne seraient efficaces que pour les personnes qui n’en ont pas besoin et je demeure définitivement allergique à la notion de délit de bonne santé…
Revenons à ma question et surtout :
Existe-t-il une réponse scientifique autour de la dangerosité potentielle des vaccinés qui ferait « consensus » ou tout du moins une quasi-unanimité ? (Que la réponse soit « oui » ou « non ».)
Tout est fait pour nier la dangerosité des thérapies vaccinales.
Tout est fait pour ignorer l’explosion des cas et des décès dans de nombreux pays qui pratiquent une vaccination massive.
Et surtout une augmentation des cas dans des populations jeunes non concernées par le Covid.
Une modélisation au Royaume-Uni a fait état que 60 à 70% des décès de la future 3e vague seraient des personnes vaccinées.
Comme de bien entendu, la faute en serait imputée aux non-vaccinés et aux enfants comme c’est le cas actuellement dans tous les pays qui pratiquent la vaccination et qui ont une recrudescence de Covid.
Pour en revenir à cette prévision, une fois n’est pas coutume, les médias et les pseudo-scientifiques incompétents ou corrompus n’ont pas manqué de souligner que ceci n’était qu’hypothèse.
Alors quand les modélisations prévoient des centaines de milliers de morts du Covid au Royaume-Uni, c’est évidemment digne d’intérêt, mais une modélisation qui annoncerait plus de décès chez les vaccinés est bien sûr sans valeur aux yeux des médias, même si les auteurs sont les mêmes.
Il demeure néanmoins intéressant de noter, quand bien même les prévisions seraient délirantes, que l’hypothèse d’un surcroît de décès chez les vaccinées est considérée comme plausible dans les milieux « non-complotistes ».
Dans le monde d’avant le Covid, le principe de précaution voulait que l’on s’abstienne en cas de risque ou de doute… mais c’était avant !
Quelles sont les hypothèses sur la dangerosité potentielle des vaccinés pour les non-vaccinés ?
Le sentiment erroné de confiance ?
Les personnes vaccinées peuvent croire, à tort, qu’elles protègent les personnes à risque et il serait d’autant plus possible qu’elles le pensent que la propagande fait croire que cette vaccination est « solidaire »… (ce qui est indispensable pour le business plan).
Une vaccination qui serait à la fois « solidaire », mais qui ne protégerait pas autrui est certainement difficile à appréhender pour un public qui croit ce qu’on lui dit.
Quand bien même les gestes barrières relèvent plus de la patte de lapin que de la science, cette confiance, cette « libération », pourrait se traduire par un certain relâchement qui pourrait donc potentiellement mettre en danger des non-vaccinés.
Il est intéressant de constater que le gouvernement et le Ministre de la Santé sont totalement informés de l’absence d’efficacité des produits appelés « vaccins ».
Ils redoutent de fait le comportement futur des vaccinés qui auraient pu croire les mensonges du gouvernement.
Raisons pour lesquelles vaccinés et non vaccinés ont obligation de respecter les confinements, couvre-feux, port du masque et autres gestes barrières jusqu’à ce que mort nous sépare.
Nous entendons de plus en plus de médias mainstream nous dire que l’immunité de masse sera soit impossible à atteindre, soit ne sera pas de nature à éradiquer notre brave virus dont le métier est de muter pour survivre.
Les variants ?
Il y a d’un côté une réalité observationnelle…
Les variants qui nous « menacent » sont apparus dans des pays qui ont fortement vacciné leur population ou les pays dans lesquels ont été testés les « vaccins ».
Citons par exemple le Royaume-Uni, le Brésil, l’Inde, l’Afrique du Sud,…
Et de l’autre des théories.
Dès lors que l’on vaccine une population, le vaccin sera plus à même de combattre la souche d’origine, d’autant plus que ces faux vaccins ne ciblent que la protéine Spike du virus et non d’autres éléments constitutionnels.
Ce qui les rend extrêmement peu performants et peu « adaptatifs » à la différence de vaccins classiques ou de notre système immunitaire qui est capable de combattre l’infection sur plusieurs fronts et de demeurer efficace pour des variants.
De fait plus vous aurez de mutations sur la protéine Spike et moins la thérapie vaccinale sera efficace.
Les personnes injectées agissent donc comme des filtres à souche initiale et des passoires à mutants.
C’est une des raisons pour lesquelles il est d’usage de ne pas vacciner pas pendant une épidémie.
Des faux vaccins ?
Ces « vaccins », comme ils sont appelés, ne sont pas des vaccins. Vous ne trouverez aucune publication scientifique, aucun médecin qui écriront qu’ils empêchent les personnes à risque de tomber malade, qu’ils préviennent la mortalité et qu’ils vous empêchent d’être contagieux.
Le Conseil d’État a confirmé grâce aux informations fournies par le Ministre de la Santé, Olivier Véran que les personnes vaccinées étaient potentiellement contagieuses, qu’elles pouvaient attraper le virus et donc qu’elles devaient continuer à porter le masque.
« Bien que la vaccination assure une protection efficace, le juge des référés relève que les personnes vaccinées peuvent être porteuses du virus et contribuer à sa diffusion dans des proportions qui ne sont aujourd’hui pas connues. La levée des restrictions de déplacement pourrait dès lors aggraver le risque de contamination, notamment pour les personnes vulnérables qui sont majoritairement non vaccinées. »
On ne peut être plus clair…
Cela confirme que les personnes vaccinées peuvent (ou sont ?) être génératrices et propagateurs de nouveaux variants.
Ces variants pouvant être potentiellement plus dangereux que le coronavirus d’origine qui n’est pas bien méchant et ne tue que les personnes en fin de vie, avec de fortes comorbidités (et sans traitements), mais laisse tranquille les personnes jeunes et en bonne santé.
Les transfusions sanguines ?
En premier lieu les médias ne se privent pas de dire que les ARNm de la vaccigénie Pfizer BioNTech disparaissent du sang en quelques minutes, qu’ils ne se propagent pas dans d’autres organes et qu’ils sont détériorés par nos défenses immunitaires.
À les écouter, c’est tellement rapide que l’on se demande comment il peut pénétrer les cellules pour faire fabriquer la protéine Spike.
Pour autant on peut le trouver plusieurs jours après l’injection dans nos organes.
Et l’ARN pourrait demeurer dans le sang entre 1 et 3 jours.
Donc il serait totalement possible d’être vacciné sans son consentement en recevant une transfusion sanguine d’une personne vaccinée il y a moins de trois jours.
Quid des anticorps ?
Leur durée de vie est d’environ un mois ce qui signifie qu’une personne transfusée peut avoir les anticorps anti-spike du vacciné. Elle peut donc être considérée positive.
Si d’aventure vous croisez le virus durant cette période, il n’est pas impossible que votre corps considère que vous faites un 2e Covid et vous n’êtes peut-être pas à l’abri d’un Covid grave du fait d’anticorps facilitant…
D’autre part, il a été prouvé que les personnes qui avaient développé une thrombose suite à une injection d’AstraZeneca avaient des anticorps anti-pf4 à l’origine des thromboses.
« La vaccination avec ChAdOx1 nCov-19 peut entraîner le développement rare d’une thrombopénie thrombotique immunitaire médiée par des anticorps activateurs de plaquettes dirigés contre le PF4, qui imite cliniquement la thrombopénie auto-immune induite par l’héparine. »
Si vous êtes transfusé d’une personne ayant ces anticorps vous risquez de faire vous-même une thrombose alors même que vous n’êtes ni vacciné, ni à risque.
Si de plus vous êtes enceinte, vous risquez de les transmettre à votre enfant et si vous allaitez votre bébé, il y a aussi un risque de transmission de ces anticorps et donc de thrombopénie auto-immune.
Mais que nous dit l’Établissement Français du Sang à propos du don du sang ?
« Puis-je donner mon sang si je suis vacciné contre la Covid-19 ? »
« Dans la grande majorité des cas, il est possible de donner son sang après une injection de vaccin contre la Covid-19, sans aucun délai d’ajournement à respecter. »
Donc aucun délai n’est nécessaire pas même 24 heures !
En revanche la Croix-Rouge japonaise est plus prudente
En février dernier elle publiait le texte suivant :
« En ce qui concerne les critères d’acceptation du don de sang pour ceux qui ont été vaccinés contre le Covid, nous sommes en train de l’examiner dans le pays, alors comprenez bien que nous nous abstiendrons de donner du sang tant que les critères ne seront pas définis. »
Le 29 avril un journal indien titrait quant à lui :
« La campagne de vaccination pour toutes les personnes de plus de 18 ans débutera le 1er mai. Une personne vaccinée ne pourrait pas donner de sang pendant au moins 60 jours, selon la réglementation. La majorité des donneurs de sang volontaires étant âgés de 18 à 45 ans, cela pourrait entraîner une pénurie importante de banques de sang.
Les banques de sang et les médecins ont exhorté les personnes qui donnent du sang à le faire avant de se faire vacciner »
Il semblerait donc, comme le nuage de Tchernobyl, que le risque engendré par le don du sang de personnes vaccinées ne concerne pas la France.
Une fois encore, nous voyons que le principe de précaution est jeté aux oubliettes alors même qu’il serait raisonnable de l’interdire et de faire des études.
Je ne saurais conseiller aux personnes qui ont une intervention chirurgicale programmée de faire appel à l’autotransfusion, ce que l’on appelle la transfusion autologue programmée.
La vaccination « contagieuse » ?
Une théorie qui circule sur les réseaux sociaux voudrait que les personnes vaccinées pourraient être en capacité de vacciner les non-vaccinés « automatiquement » sans la moindre injection.
Quelques éléments de réflexion qui vont à l’encontre de cette théorie :
- Aucun intérêt d’un point de vue économique, le vaccin devient gratuit.
- Aucune obligation de faire des campagnes de vaccination délirantes étant donné que la contamination vaccinale sera automatique.
- La thèse des industriels « bons » ou des gouvernements « bons » ne peut que faire rire.
- La thèse du vaccin contagieux éradicateur de la population ne tient pas non plus la route, car tôt ou tard les instigateurs finiraient par être aussi contaminés et donc tués par leur propre arme et s’ils attendaient l’extinction de l’espèce humaine dans un abri antiatomique, rien ne dit que le virus vaccin ne se répandrait pas aussi chez les animaux…
Quand bien même, cela serait-il totalement impossible d’un point de vue théorique ?
Prenons par exemple l’AstraZeneca et son adénovirus.
Celui-ci est rendu « stérile » pour justement éviter le problème.
Mais si d’aventure une personne était contaminée en même temps par un adénovirus anodin et par l’adénovirus de l’AstraZeneca, une recombinaison de ces adénovirus pourrait rendre sa capacité « reproductive » au « vaccin » et ainsi une personne qui serait contaminée par ce nouveau virus recombiné serait ainsi vaccinée en attrapant le virus qui pourrait se répandre librement.
Pas évident, difficilement, voire totalement incontrôlable, économiquement débile, extrêmement dangereux, mais pas totalement délirant d’un point de vue théorique.
Conclusion : Alors est-ce que les vaccinés sont dangereux pour les non-vaccinés ?
La réponse est sans hésiter « oui », mais nous ignorons dans quelle mesure.
Non seulement les vaccinés sont probablement plus en danger que les non-vaccinés, car ils risquent de développer des Covid graves du fait des anticorps facilitants qui sont « aidés » par ces faux vaccins qui ne ciblent que la protéine spike et en plus de façon imparfaite…
Mais ils sont aussi réellement dangereux pour les non-vaccinés du fait de la prolifération des variants qu’ils favorisent.
Il est aussi totalement évident que les dons du sang devraient être à minima interdits dans les 30 jours suivant une vaccination.
Je terminerai en rappelant que le principe de précaution est bafoué depuis des mois…
Mais alors que j’étais choqué des projets d’étoiles jaunes pour les non-vaccinés ou d’apartheid, je dois vous dire que l’idée me séduit de plus en plus de me retrouver en sécurité et libre de vie avec des non vaccinés… loin des vaccinés potentiellement dangereux.
Si une majorité du peuple accepte ou demande d’être prisonnier, piqué, pucé, obligé de respecter des gestes barrières et des masques ad vitam æternam (un coup oui, un coup non), je préfère de loin fabriquer mon petit monde où nous serions libres de nous réunir, de vivre, de nous serrer dans les bras ou d’aller au restaurant sans gestes barrières ou muselières.
source : https://7milliards.fr
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