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par Jacques Henry.
L’article de Peter Koenig que j’ai fait figurer sur ce blog le 10 mars dernier m’a encouragé à chercher quelles pouvaient être les arguments scientifiques permettant d’affirmer que le vaccin à ARN messager codant pour la protéine spike-1 du SARS-CoV-2 présentait de réels dangers. Il faut donc entrer dans la vraie science et non pas celle des plateaux télé ou des politiciens. Je me souviens d’une interview en interne du Professeur Raoult qui avait mentionné la syncytine comme une cible potentielle des anticorps dirigés contre la protéine spike-1 du coronavirus. Une telle interférence, disait-il, pourrait avoir des conséquences sur l’attachement du placenta à l’endomètre, la paroi interne de l’utérus, ce qui pourrait conduire à des fausses-couches chez les femmes enceintes exprimant cet anticorps. Il avait également noté que cet attachement du placenta était favorisé par la présence de cette protéine qui est curieusement d’origine virale comme cela a été montré il y a quelques années. Pour rappel le génome humain est constitué de près de 4 fois plus d’ADN aux fonctions encore largement inconnues provenant en partie de rétrovirus que d’ADN codant pour des protéines connues. Or la syncytine est codée par une séquence d’origine virale provenant d’un rétrovirus (virus à ARN) incorporé dans le génome des primates il y a 25 millions d’années. Cette protéine présente des analogies avec la protéine de surface, la gp120, du virus du SIDA. Elle possède un site de clivage du produit du gène codant pour sa séquence de protéines appelé site furine qui clive le produit primaire de la traduction de l’ARN messager en deux protéines formant les deux sous-unités de la syncytine active.
Puisque je viens de citer le site de clivage appelé site furine, il faut mentionner ici que le mutant indien comporte précisément une mutation au niveau de ce site mais je ne suis pas assez documenté pour en tirer une quelconque conclusion. J’ajouterai tout de même qu’il y a aussi des chauve-souris en Inde et qu’il n’est pas exclu que des individus aient été contaminés par deux coronavirus provenant de chauve-souris, le virus provenant de Wuhan et un autre coronavirus provenant d’une chauve-souris locale directement ou ayant transité par un animal d’élevage (il en existe aussi en Inde comme en Chine) et que ces deux virus se soient recombiné, mais je m’égare …
Venons-en aux vaccins anti-SARS-CoV-2 dirigés contre la protéine spike. Il s’agit aussi d’une protéine composée de deux sous-unités issues du clivage de la protéine initialement traduite à partir de l’ARN du virus au niveau d’un site furine, c’est-à-dire une séquence constituée de deux arginines consécutives. Toutes ces ressemblances sont troublantes. Plus suspect encore est que les laboratoires pharmaceutiques ont formellement déconseillé aux femmes enceintes de se soumettre à un vaccin à ARN messager codant justement pour la protéine spike-1. Pourquoi cette recommandation ? Il faut rappeler ici que le SARS-CoV-2 est très proche du virus du SRAS qui, depuis le début des années 2000, a fait l’objet d’intenses travaux de recherche. Ce virus contient aussi une protéine spike pratiquement identique à celle de son cousin le SARS-CoV-2. Il ne fait aucun doute que les laboratoires pharmaceutiques ont étudié les interférences possibles entre les anticorps produits après expression du gène de la protéine spike faisant partie du vaccin injectable utilisé massivement aujourd’hui et d’autres protéines humaines dont la syncytine.
Les techniques modernes d’analyse permettent d’identifier rapidement quelles protéines d’origine humaines interagissent avec ces anticorps. Elles comprennent une électrophorèse des protéines suivie d’un transfert sur une membrane de nitrocellulose et révélation avec l’anticorps ou les anticorps étudiés. Elle s’appelle « Western Blot » et peut être suivie ensuite d’une analyse des protéines ayant réagi avec l’anticorps par la technique dite Maldi-tof qui permettra rapidement d’identifier ces protéines. Et la syncytine fait partie des protéines reconnues, on dit dans les laboratoires « allumée » par l’anticorps. Ceci pourrait expliquer pourquoi la « vaccination » des femmes enceintes a été vivement déconseillée par les laboratoires pharmaceutiques produisant ce pseudo-vaccin à ARNm.
Mais il y a pire encore. Puisque les premiers vaccins à ARN messager doivent être accompagnés de piqûres de rappel puisque la protéine spike a muté au cours du temps, comme on pouvait s’y attendre, alors l’anticorps dirigé contre cette protéine aura toutes les chances d’induire des troubles graves de la grossesse chez les femmes vaccinées. Comme la syncytine se trouve également impliquée dans l’intégrité en particulier du derme au niveau de la membrane basale caractérisée par la présence de syncytine et de la couche de cellules endothéliales tapissant, entre autres sous-organes, les vaisseaux sanguins, on peut s’attendre dans le futur à toutes sortes de pathologies non décrites à ce jour qu’on classera pour la peau par exemple parmi les maladies auto-immunes.
Les laboratoires pharmaceutiques savaient ! Sous prétexte qu’il y avait un caractère d’urgence pour vacciner des peuples entiers alors que le SARS-CoV-2 a tué moins de personnes dans le monde qu’une mauvaise grippe à Influenza classique, ils ont probablement omis de communiquer aux instances officielles délivrant les autorisations de mise sur le marché des informations plutôt gênantes. Devant ces constatations deux questions apparaissent. Pourquoi les décideurs politiques n’ont-ils pas pris la précaution, selon le principe du même nom, de s’assurer que ce vaccin nouveau ne présentait aucun risque pour la population ? Les laboratoires pharmaceutiques savaient qu’il existait des risques non nuls d’interférence avec la syncytine mais ils n’ont pas eu matériellement le temps de confirmer leurs doutes ou alors ils les ont délibérément cachés. Qui sera donc responsable, par exemple, d’une baisse brutale de la fécondité humaine dans les prochaines années ? Les décideurs politiques malgré le fait qu’ils n’ont pas été informés correctement ? Se gargarisant du fameux principe de précaution il n’ont pas respecté ce principe. Alors comme l’a suggéré Peter Koenig, avec ce vaccin il y a un dessein global de mise en place d’un processus malthusien de diminution de la population qui explique cette frénésie de vaccination de toute la population y compris les personnes de moins de 40 ans que le coronavirus a très rarement concerné, celles-la même capables de renouveler la population.
Je ne voudrais pas paraître comme un fâcheux « complotiste » mais il me semble qu’il y a comme un relent des principes du Club de Rome, de celui de Bilderberg, du Club de Davos et des idées malthusiennes avouées de Bill Gates…
source : https://jacqueshenry.wordpress.com
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