Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) ― Photo : Hero Images/AdobeStock
La très progressiste Suède donne un coup d’arrêt à la très progressiste idéologie du genre ou quand le réel rattrape l’irréel.
Tout comme dans le reste de l’Europe, voire du monde occidental déchristianisé et sans repère, la propagande arc-en-ciel travaille à un rythme forcé pour imposer les diktats de l’univers arc-en-ciel, mais des nouvelles arrivant d’Europe du Nord contredisent complètement le dogme de genre du « changement de sexe » comme moyen de bonheur. La Suède a en effet décidé d’arrêter les bloqueurs de puberté pour les enfants de moins de 16 ans.
Les traitements pour bloquer le développement de l’adolescent sont liés à « des conséquences indésirables importantes et irréversibles telles que les maladies cardiovasculaires, l’ostéoporose, l’infertilité, un risque accru de cancer et de thrombose ». Avec un communiqué de presse de l’hôpital Karolinska, un hôpital universitaire du comté de Stockholm, la Suède progressiste met un terme à l’idéologie trans en protégeant les mineurs de moins de 16 ans.
Il s’agit d’un tournant important qui rejette sans réserve l’idée que les adolescents atteints de dysphorie de genre doivent subir des procédures préliminaires de réassignation sexuelle. Plus précisément, l’hôpital a défini les traitements pour bloquer le développement des adolescents souffrant de dysphorie de genre comme « controversés » et potentiellement liés à des « conséquences néfastes étendues et irréversibles telles que les maladies cardiovasculaires, l’ostéoporose, l’infertilité, un risque accru de cancer et de thrombose ». Pour cela, la Suède se démarque à la fois des lignes directrices du Wpath (acronyme qui signifie World Professional Association for Transgender Health), et du soi-disant « protocole néerlandais ».
Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie
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