Je ne sais pas si Melinda Gates se sépare de Bi(g)leux à cause de sa relation avec Epstein (d’habitude, les femmes partent s’il y a relation du mari avec une autre femme), mais je m’étonne que personne ne commente le principe qui donne le droit à quelqu’un de partir avec pas loin de 64 milliards de dollars (!) alors qu’ils n’ont pas (plus ?) d’enfants à charge, que son mari ne l’a pas battu et enchaîné à un radiateur et qu’elle n’a pas pleinement participé à l’entreprise de son mari.
Oublions un instant qu’il s’agisse des Gates et que Bill a remplacé Lloyd Blanfein dans la course à qui se prendrait le plus pour Dieu. Je veux juste parler ici du principe que l’on a devant les yeux : celui d’une femme qui te prend 64 milliards sur ce que tu as gagné (frauduleusement ou pas) comme ça, sans aucun mérite, sans avoir travaillé plus que ça, mais juste en ayant écarté les cuisses devant toi et après t’avoir dit oui devant le maire (quel sacrifice ! Ça méritait bien pareil salaire pour une telle épreuve)…
Personne ne trouve ça anormal ?
Désolé si ça jette un regard méprisant sur la gente féminine (ou plutôt sur la justice occidentalo-américaine) mais 64 milliards pour quelques années de vie commune et quelques coups de reins : ça fait quand-même très très très cher la poule de luxe ! Pour autant de temps passé ensemble, l’instagrameuse moyenne, la Zahya ou la Nabilla, ne lui en aurait pas demandé autant !
Gare aux leçons que certains pourraient en tirer.
C’est comme l’affaire Zemmour : si une proposition scabreuse se mue en viol au bout de 10 ans … alors que faudra-t-il retenir, au final ? Comment se fier à une femme « honnête » si derrière chacune d’elle se cache une mythomane potentielle qui peut potentiellement détruire ta vie en un claquement de doigt et quelques larmes de crocodiles ?
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation