Quelle réalité et quelle perspective après plus d’une année de Covid-19 ?
Par Amar − Mai 2021
Depuis le début de cette année 2021 et depuis que nous disposons des premiers chiffres concernant les statistiques démographiques au Grand-Duché du Luxembourg, tous les médias nationaux correctement subventionnés par le gouvernement luxembourgeois ne cessent de proclamer que l’année 2020 a été une année particulièrement funeste en matière de mortalité.
Chacun redouble, en effet, d’imagination pour ce qui est de titrer son article d’un point de vue sensationnel. « Surmortalité constatée au Luxembourg en 2020 » pour le Quotidien, « Il n’y a jamais eu autant de décès depuis 1976 » selon le journal L’Essentiel ou « 2020, année sur-mortelle » pour le WORT et « La Covid impacte la courbe des décès comme jamais » pour le plus grand média du pays, RTL, qui reçoit officiellement à lui seul 12 à 13 millions d’euros par an de la part du gouvernement.
Dans les journaux « gratuits », ce matraquage communicationnel est hebdomadaire quand il n’est pas quasi-quotidien. Des titres tout aussi alarmistes les uns les autres en vue d’effrayer la population et de la maintenir sous pression en vue de l’amener gentiment et tranquillement vers cette solution d’intérêt privé, la vaccination. Ce procédé, qui est une théorie et une pratique de contrôle et d’accompagnement des individus et dont les fondements sont tirés de la neuropsychologie s’appelle le « Pacing and Leading ». Ce qui signifie prendre la mesure, le volant psychique de l’individu et le guider, le conduire vers la voie que nous aurons choisie pour lui. Appliqué à bon escient, la méthode se révèle être une excellente solution de maîtrise dans certains domaine thérapeutiques mais là, à cet escient, cela s’appelle en français correct de la manipulation mentale malsaine. Ce n’est rien d’autre.
« More leads, more sales » comme disent les commerciaux de chez Apple ou Microsoft sauf que là il ne s’agit pas de vendre aux populations mondiale un enregistrement de nos données personnelles ou un antivirus informatique. On parle de la vie de milliards d’individus.
Utiliser le terrorisme émotionnel et informationnel pour terroriser les gens afin obtenir d’eux leur consentement et leur adhésion, comme les américains l’ont fait médiatiquement pour l’invasion et le pillage de l’Irak lors de l’après 11 septembre ou comme le font les gouvernements aujourd’hui pour faciliter l’acceptation de ces injections de code génétique appelées à tort vaccinations, est un pur procédé mafieux. C’est un acte criminel. Dans une société saine, il devrait être condamnable et à minima à la peine maximale.
Nonobstant qu’il n’y ait absolument aucun débat démocratique au niveau de la sphère médiatique et politique sur la question de la vaccination en général, de la pesée du pour et du contre, de l’existence d’une quelconque étude cinétique qui démontrerait l’efficacité d’un seul vaccin sur une maladie dite infectieuse, sur la participation éventuelle de l’un de ces vaccins dans l’histoire des causes du recul de ces dites maladies, des bienfaits et des risques à peser quant à la nécessité de l’acte, il faut savoir qu’il existe d’innombrables traitements très efficaces contre la Covid19 mais ni le gouvernement, ni les médias ne les mettent en avant.
Mais pourquoi le feraient-ils après tout ?
Si les médias devaient communiquer sur ces traitements existants et sérieusement redoutables contre la Covid19, tels que l’Ivermectine ou l’Azithromycine par exemples qui ont largement fait leurs preuves, comment le gouvernement pourrait-il alors justifier la nécessité d’une vaccination massive et l’instauration d’un passeport vaccinal digital et la mise en place du QR code qui va avec ? Il ne le pourrait tout simplement pas et les gens comprendraient très vite que quelque chose, dans le scénario officiel, ne tourne pas rond.
Ce matraquage psychomédiatique rébarbatif fonctionne très bien puisque maintenant quasiment toute la population est entrée dans un état de psychose et de schizophrénie collective et celui-ci ne semble pas près de s’estomper.
Depuis environ un peu plus d’un an, comme on peut le voir partout, les parents portent des masques à longueur de temps tout en masquant également leurs enfants qui ont pourtant besoin davantage d’oxygène que leurs géniteurs pour leur croissance. Nous parlons là de croissance cérébrale et neurologique mais également de croissance tissulaire, vasculaire et organique. Si un être vivant peut se passer de nourriture pendant des semaines et d’eau pendant plusieurs jours, une légère défaillance de quelques minutes seulement en oxygène peut lui être fatale, voire mortelle.
Nous reviendrons sur ce point plus loin lors de la synthèse.
Ce qui est très intéressant maintenant, pour ceux qui ne s’intéressent qu’aux chiffres, aux sciences exactes et aux sciences dures comme le sont les statistiques, c’est de voir qu’au Grand-Duché du Luxembourg, là où je vis, il y a une réelle contradiction entre les statistiques officielles des décès pour l’année 2020 et le narratif que soutiennent les médias et les hommes politiques qui, eux, affirment dur comme fer en essayant peut-être de rendre possible leur prophétie auto-réalisatrice, qu’il y aurait une pandémie et que celle-ci ferait des ravages.
Mais qu’en est-il réellement de cette surmortalité et de cette supposée pandémie ?
Cela valait-il la peine de détruire l’économie, la société, la famille et la vie « normale » telle que nous la connaissions avant, c’est-à-dire avant que l’OMS, cette structure privée financée par des intérêts privés aux semblants de fins publiques, ne déclare le 11 mars 2020 un état officiel de pandémie ?
Avant de voir plus en profondeur pourquoi il y une totale contradiction entre les discours politico-médiatiques et la réalité scientifique d’une part, et pourquoi il se dessine en coulisse tout un plan de gestion des ressources humaines visant à davantage de contrôle et moins de liberté pour les populations, qui semblent passer de plus en plus du stade de la ressource à celui de la charge, regardons d’abord en chiffres ce qu’il en est réellement de l’évolution de la mortalité au Grand-Duché du Luxembourg depuis 1950.
La réalité statistiques en chiffres
Année (1) | Décès (2) | Population (3) | TBM % | TCD % | Part des plus de 80 en % | Part des plus de 95 ans en % |
1950 | 3446 | 294550 | 1,17 | |||
1960 | 3716 | 313808 | 1,18 | 7,84 | ||
1970 | 4154 | 339150 | 1,22 | 11,79 | ||
1980 | 4113 | 364200 | 1,13 | -0,99 | ||
1990 | 3773 | 381850 | 0,99 | -8,27 | ||
2000 | 3754 | 436300 | 0,86 | -0,50 | 2,96 | 0,06 |
2010 | 3760 | 506950 | 0,74 | 0,16 | 3,74 | 0,06 |
2015 | 3983 | 569604 | 0,70 | 5,93 | 3,95 | 0,09 |
2016 | 3967 | 583458 | 0,68 | -0,40 | 3,93 | 0,09 |
2017 | 4263 | 596336 | 0,71 | 7,46 | 3,94 | 0,11 |
2018 | 4318 | 607950 | 0,71 | 1,29 | 3,95 | 0,12 |
2019 | 4283 | 620001 | 0,69 | -0,81 | 3,97 | 0,13 |
2020 | 4609 | 628928 | 0,73 | 7,61 | 3,96 | 0,14 |
TBM : Taux Brut de Mortalité
TDC : Taux de croissance des décès
Espérance de vie au Luxembourg : 82 ans pour les hommes, 84 ans pour les femmes.
Âge moyen au décès déclaré décédé avec la Covid-19 : chiffres disponibles nulle part.
Âge moyen au décès toutes causes confondues en 2020 : 74,8 ans pour les hommes ; 81 ans pour les femmes.
Graphique 4 à lire sur la publication du site STATEC titrée : « L’âge moyen des personnes décédées lors des 10 premiers mois de l’année 2020 ne varie guère par rapport aux années précédentes ».
Sources des données des tables ci-dessus (1, 2 et 3) : https://statistiques.public.lu/stat/TableViewer/tableView.aspx?ReportId=12886&IF_Language=fra&MainTheme=2&FldrName=2&RFPath=96
https://statistiques.public.lu/stat/TableViewer/tableView.aspx
Analyse du tableau
a) Le tableau a été réalisé à partir des données publiées sur le site www.statistiques.Public.lu du Grand-Duché du Luxembourg. Ce sont les statistiques officielles de l’état.
b) La Population du Grand-Duché a plus que doublé en 70 ans puisqu’elle passe d’un peu moins de 300 000 habitants en 1950 à près de 630’000 habitants au 1er janvier 2021.
c) Le taux brut de mortalité, qui représente en pourcentage le nombre de décès survenus au cours de l’année au sein de la population totale, est en constante diminution depuis 1950. A partir de 2010, la valeur de cette part au cœur de la population totale tend à se stabiliser sur l’étendue d’une fourchette de 0,70% – 0,74%.
d) Le taux de croissance des décès nous donne une indication sur le comportement de la mortalité d’une année sur l’autre ou d’une période sur l’autre.
La mortalité d’une population dépend toujours de sa taille et de sa structure. Ce qui donne lieu à 2 notions importantes : l’effet de taille et l’effet de structure. Ce sont deux variables fondamentales qui, mal interprétées, peuvent biaiser une étude et son interprétation. A ces deux effets vient s’ajouter un 3ème qui ne se manifeste pas chaque année car il n’est pas régulier. Il s’agit de l’effet dit « de moisson ». C’est un effet de rattrapage et de régulation de la mortalité. Il peut se manifester tous les 2, 3, 4, 5, 6 ou 7 ans et il est aléatoire. Mais ce qui est certain c’est qu’il se manifeste toujours car la mort est certaine pour tous les individus mais il n’a pas de régularité chronologique car les grippes, par exemple, qui emportent souvent et beaucoup de nos personnes âgées, ne sont pas toutes les mêmes d’une saison à l’autre ou d’une année à l’autre et n’ont donc pas toujours la même virulence et la même létalité au sein des cohortes dites sensibles.
Dans le tableau ci-dessus, l’étude n’est pas complète car il aurait fallu disposer des statistiques pour chaque année depuis 1950 pour traiter le sujet. Mais les quelques indications dont nous disposons peuvent nous permettre, tout de même, de comprendre comment ces phénomènes se manifestent et interagissent. Les années de moisson sont en gras (colonne TCD) par rapport aux autres années de faible mortalité ou de déficit arithmétique sont en verts. Ainsi, si l’Europe a eu plus de décès pour l’année 2020 par exemple, c’est parce que la structure de sa population se caractérise par une structure en entonnoir. C’est-à-dire que nous vivons sur un continent où il y a de plus en plus de retraités (génération papy-boom) et de moins en moins de populations jeunes à l’inverse des pays du Maghreb ou d’Asie qui eux, ont souvent une démographie galopante et des pyramides des âges en forme de feuille chêne, exprimant ainsi le dynamisme naturel de pays à faibles populations âgées et à fortes populations jeunes.
D’où l’appellation de pyramide des âges. L’effet de taille venant amplifier l’effet de structure car, plus nous avons un nombre élevé de personnes âgées au sein d’une population N, et plus le nombre de décès va être important lorsqu’arrive un coronavirus grippal de type Hcov-OC43, H1N1, H7N9 ou H5N8. Lorsque le virus est virulent, il précipite vers le décès toutes les personnes âgées vulnérables ayant une faible résistance à la maladie saisonnière surprise (mauvaise immunité, carences vitaminiques et minérales, pas assez d’activité physique, mauvaise alimentation, dérèglements hormonaux, aucune exposition au soleil, exposition au stress, à la solitude et à l’abandon, privation de liens sociaux, terrorisme médiatique, mauvais traitements du personnel soignant, etc …) mais il précipite aussi toutes les personnes âgées qui ont survécu durant les années vertes pour diverses raisons (saisons hivernales douces, bonne exposition au soleil, meilleur niveau de vie, bonne prise en charge hospitalière, traitements préventifs, amour et protection de la famille, etc) et qui ne peuvent pas vivre éternellement.
e) Lorsque l’on étudie la mortalité de l’année 2020, on s’aperçoit finalement qu’il n’y a pas eu de surmortalité. Cette mortalité s’est même exprimée de façon tout à fait normale. Si nous avions été réellement en situation de pandémie ou d’épidémie grave, nous aurions observé un taux de croissance des décès de l’ordre de 15% ou 20% minimum en comparaison avec d’autres épidémies qui, par le passé, ont frappé les hommes. Ce qui aurait été parfaitement correcte puisqu’il aurait fallu tenir compte de la moisson au regard des 2 années précédentes, lesquelles ont été des années favorables aux personnes âgées et à leur gain en longévité d’une part, mais il aurait fallu également prendre en compte les décès survenus en raison de la supposée dureté de cette maladie appelée Covid19 qui s’avère n’être finalement rien d’autre qu’une nouvelle grippe à complication respiratoire d’autre part.
Synthèse et conclusion
Au vu de l’analyse des chiffres figurant dans le tableau qui précède, ainsi qu’après lecture du travail réalisé par le STATEC et dont une synthèse de leurs publications sur la mortalité en 2020 est disponible en cliquant ici, nous pouvons dire sans nous tromper qu’il n’y a pas eu de pandémie au Luxembourg en 2020.
Rien de plus qu’une mortalité normale. Pour François Peltier, qui travaille au STATEC, il s’agit d’une « mortalité modérée ».
La fermeture des petits commerces et des restaurants, l’imposition par le gouvernement luxembourgeois de toute une série de restrictions sociales telles que les confinements des populations à la maison, dans les maisons de retraite ou dans les hôtels, les couvre-feux, les distanciations sociales et les distances physiques, le port du masque imposé partout et pour tous dans les transports et les lieux publics, le port du masque imposé aux enseignants, le port du masque imposé aux enfants dès l’âge de 6 ans dans les écoles et sur les terrains de sport en plein air, la limitation des visites interindividuelles dans les maison de retraite, la mise à l’isolement des personnes âgés et la privation de leurs libertés, les tests Rt-PCR à 45 cycles et les quarantaines imposées aux personnes détectées positives à ces prétendus tests sujets à discussion, ainsi que bien d’autres mesures encore, ne sont absolument pas justifiées.
D’un point de vue statistique et scientifique, rien de ce qui précède ne justifie les décisions qu’a prises le gouvernement luxembourgeois et rien ne justifie qu’il les maintienne.
Une pandémie, au sens démographique du terme, c’est une épidémie déclarée qui atteint un seuil critique après avoir justifié que trois conditions sine qua none soient réunies. La première se fonde sur l’apparition et la propagation d’une nouvelle maladie infectieuse au sein d’une population et il faut que cette maladie soit grave et contagieuse. La seconde se base sur le critère de résonance ; c’est-à-dire de sa dispersion (vitesse de multiplication et de redistribution) à partir du premier hôte, en l’occurrence le porteur du premier germe infectieux que l’on appelle également le R₀. Le troisième étant le critère géographique, c’est à dire l’étendue et l’expansion de cette nouvelle maladie au-delà d’une certaine zone circonscrite.
Aujourd’hui, si épidémie il y a eu en Chine, celle-ci est en tout cas terminée depuis mars 2020. Au regard de la faible mortalité qui résulte des chiffres officiels fournis par le gouvernement chinois, il semblerait bien que le pays se serait alerté pour pas grand-chose puisque les épidémies de grippe font davantage de morts chaque hiver, au sein de ce pays immense, que n’en a fait la Covid-19 durant l’année 2020.
Pourtant, lorsque l’on écoute les médias et les hommes politiques, ici au Luxembourg, il est toujours question de pandémie mais dans les chiffres, il n’en est rien du tout.
« Mais Monsieur, nous avons bien eu une épidémie de cas ! » nous répondrait notre Ministre de la Santé qui est avocate de formation. Oui, c’est vrai. Nous avons bien eu une épidémie de cas et c’est bien là le problème. À partir du moment où nous avons laissé des irresponsables (ou des initiés) manipuler la définition du terme « pandémie », il nous a alors été possible de créer une panique générale montée de toutes pièces et entre nous, nous pourrions tout aussi bien, maintenant, déclarer des épidémies de suspicion de cas positifs. Nous ne sommes plus à un mensonge ou une manipulation près. Il nous suffit juste, pour cela, de retoquer à nouveau la définition du terme.
Pour qu’une épidémie soit jugée grave et sérieuse, il faut que la maladie touche toutes les tranches d’âges de la population avec plus ou moins le même impact et la même virulence. Mais par-dessus tout il aurait fallu que cette maladie emporte des gens et que les gens meurent de la Covid-19 et non avec. Or, au Luxembourg et comme partout en Europe, on ne sait pas vraiment si les gens sont morts avec la Covid-19 ou à cause de la Covid-19. Il règne sur cette question une véritable omerta. Chez les médecins c’est silence radio sur le sujet.
Au Luxembourg, les médecins gagnent 240€ de l’heure pour leur participation à l’acte de vaccination de masse. Oui, c’est vrai, cela n’excuse rien mais cela nous aide tout de même à mieux comprendre les défauts de prises de position en faveur des populations et les allégeances au service de Big Pharma.
A la différence des trafiquants de drogues qui, eux aussi savent vendre leurs produits en en vantant savamment les qualités, ici, ces derniers détaillants en bout de chaîne de ce commerce pharmaceutique gigantesque nous montrent là, par leur silence, à quel point ce business est juteux et combien il dégouline de partout. Une belle vérification de la célèbre maxime : le silence est d’or.
Il convient de noter par ailleurs aussi, qu’au Luxembourg, les personnes victimes de la Covid-19 sont essentiellement des personnes âgées.
A l’instar du décès de l’ancien président français Valéry Giscard D’Estaing mort à l’âge de 94 ans emporté par la Covid-19, on constate que les décès concerne plus généralement des déclarés morts avec la Covid-19 pour les deux sexes tendant plutôt vers un âge proche de l’espérance de vie moyenne et on se demande même parfois, si les gens ne sont pas morts davantage de stress, de solitude et d’abandon que de la maladie elle-même, notamment en raison de la fragilité de la vieillesse.
Ici, en l’espèce, le scénario, les décomptes et les mises en scènes s’apparentent davantage à un exercice socio-sanitaire ou même à une gigantesque manipulation sociale qu’à une véritable hécatombe démographique. Ça, il faut le reconnaître.
Ce qui est très inquiétant et qui pose vraiment question, est le fait que le gouvernement luxembourgeois continue et persiste, malgré la normalité des chiffres officiels, à imposer des restrictions et à tenir les citoyens sous pression. Ces restrictions, telles qu’elles sont citées en partie plus haut, démontrent bien que nous sommes davantage dans un projet politique de contrôle social s’inscrivant dans une gestion maîtrisée des populations que dans une crise sanitaire majeure.
Chacun a pu voir, autour de lui, tous ces masques jonchant les sols des trottoirs et des parkings jusqu’à finir dans les égouts ou les eaux usées sans que personne au gouvernement n’y trouve quoique ce soit à redire. Soyez certains que jamais !, dans une pandémie réelle, sérieuse et grave, il n’aurait été permis une pareille négligence.
Après que Colin Powel, Dick Cheney et Georges Bush, et plus largement tous les acteurs du gouvernement américain de la période post 11 septembre 2001, rappelons-le, qui formaient tout de même le gouvernement de la première puissance militaire et économique au monde et le plus grand promoteur de la liberté et de la démocratie sur la planète, après donc que ces gens-là aient manipulé les peuples en jouant avec une fiole d’anthrax devant le conseil de sécurité de l’ONU pour effrayer le monde et l’amener par ce procédé de manipulation technico-psychologique à adhérer puis à soutenir l’invasion et le pillage de l’Irak, ne sommes-nous pas en droit aujourd’hui de nous poser des questions légitimes sur la réalité de cette pandémie ? Ne sommes-nous pas en droit de nous demander si les gouvernements nous disent bien toute la vérité sur la Covid-19 et rien que la vérité sur un grand nombre de choses ?
Qu’en est-il de la fiabilité de ces tests et du nombre de cycles d’amplification des traces virales dans les échantillons lors de la recherche détective en laboratoire ?
Qu’en est-il de l’enregistrement des décès par cause réelle et sérieuse ?
Pourquoi nous dit-on que le virus est partout et y compris dans notre respiration ou dans nos éternuements mais que c’est juste en dessous de la plaque criblée qu’il faille aller en chercher des traces ? À l’endroit même où passent nos nerfs olfactifs et où se trouve le seul passage vers notre cerveau. Curieux non ?
Dans une société démocratique et saine, où la vertu serait intrinsèque aux trois pouvoirs qui régissent nos états d’occident, le législatif, l’exécutif et le judiciaire, il conviendrait même, à juste titre, à ce que ce soit maintenant la justice qui enquête sérieusement sur les fondements de cette supposée pandémie, ses tenants et ses aboutissants, son cadre, ses effets délétères sur la santé des uns et des autres, sur l’abandon de nos retraités et de nos proches, sur le bien-être physique et psychique des enfants et des enseignants, sur les suicides, les faillites, et surtout sur les intérêts sous-jacents qui pourraient lier les gestionnaires de ce projet politique et social aux relents de contrôle totalitaire d’une part, et ses bénéficiaires en attente d’un résultat d’optimum vaccinal, social ou même financier d’autre part.
Les populations d’Europe et du reste du monde ont été sollicitées et mis à contribution (pour ne pas dire escroquées) via les impôts et les taxes écologiques de toutes parts pendant plusieurs dizaines d’années pour sauver notre planète qui se trouvait être, à l’époque, gravement endommagée par notre pollution.
Rappelez-vous du fameux trou dans la couche d’ozone ! Et bien où est-il maintenant ? Dites-le-moi, s’il vous plaît ! Où est donc passé ce trou ? A-t-il été recousu par des chinois ? Personnellement j’en doute et n’importe qui, qui serait doté de raison, en douterait naturellement aussi. Là encore les choses ne sont pas tout à fait claires mais nous avons la mémoire courte.
Avec la recherche sur le virus du SIDA et la quête d’un vaccin, ce sont les mêmes histoires à dormir debout. Ce sont des centaines de milliards provenant de nos impôts qui ont été engloutis dans le financement des labos et personne ne sait aujourd’hui où sont passés ces milliards. Quels ont été les résultats ?
A-t-on trouvé un vaccin en 50 ans de recherches avec des budgets annuels aussi pharaoniques ? Non.
Mais là, pour la Covid-19, comme par hasard, soudainement, comme par enchantement, on a réussi à trouver « 5 vaccins » en moins d’un an. S’agit-il réellement d’un exploit ? Rien n’est moins sûr.
Mon point de vue de démographe et de sociologue indépendant sur cette situation est le suivant :
Tout ce qui tourne autour de cette histoire de dite pandémie est d’une extrême ambiguïté.
Mon analyse tire vers le fait que les gouvernements ne sont pas en totale contradiction parce que ce sont des amateurs mais qu’ils sont dans un jeu politique sordide en raison du fait qu’ils créent délibérément de la contradiction permanente, de la dissonance cognitive et de l’information paradoxale en continue afin de perturber notre système de raisonnement intuitif pour nous guider plus facilement et sans résistance vers ces injections de code génétique dites vaccinations mRNA.
Dans la publicité ci-dessous, publicité diffusée dans un des journaux « gratuits » au Luxembourg, la rhétorique commerciale et la dialectique manipulatoire gouvernementale parle d’elle-même.
Dans nos esprit rationnels et cartésiens, par raisonnement intuitif, il serait même logique d’arriver à la conclusion que l’idée de ce « tous vers la vaccination » ne reposerait que sur une gigantesque manipulation sociale car occulter le fait qu’il existe des médicaments très efficace contre la Covid-19 afin de justifier cette vaccination de masse est à la limite du crime crapuleux.
Prétendre officiellement, comme c’est le cas dans cette publicité gouvernementale reçu par courrier à domicile et financée avec l’argent de nos impôts, que « la vaccination est le seul moyen efficace pour arrêter la propagation du virus à long terme et que c’est le seul moyen pour nous ramener progressivement à la normalité » est radicalement faux. C’est un pur mensonge.
Primo, la Covid-19 n’est pas une maladie si grave que cela et secundo il existe des traitements très efficaces et sans danger pour les individus qui en contracte la maladie.
Les vaccins contre la Covid-19 étant étroitement liés à l’octroi d’un certificat de libre circulation et à une validité s’exprimant selon un QR Code Vert ou rouge et le tout attribué par les autorités, remet d’emblée en question la notion de notre droit fondamental à la liberté de circuler, de respirer et de vivre comme bon nous semble.
Imaginons un instant qu’un homme, posté sur un trottoir et doté d’une force physique et mentale lui concédant la faveur d’un rapport de force à son avantage, saisissent une femme par le bras, la terrorise, l’empêche de circuler librement ou la séquestre à son domicile physique (et psychique) en la maintenant dans un état de terreur permanent, la bâillonne et lui suggère ensuite que si elle souhaite retrouver sa liberté, de circuler et de respirer, de travailler et de socialiser, sa normalité en somme, elle doive d’abord accepter que celui-ci lui introduise des objets, dans les narines et la bouche, et lui fasse ensuite quelques injections pour son propre bien. Selon lui, ce n’est qu’à ces conditions qu’elle pourrait ensuite recouvrer la liberté qu’il lui a confisqué. Puis quand elle accepte, elle devient titulaire d’un code attestant qu’elle s’est bien soumise à ses injonctions.
Mais que penserions-nous d’un tel homme et de sa conduite à l’égard de cette femme ? Est-ce que sa place serait encore en liberté ou est-ce que ce son comportement criminel le conduirait directement en détention pour le restant de ses jours ?
Dans une société intelligente et saine, où la corruption systémique ne gangrènerait pas toutes les strates de la vie publiques, il y a fort à parier que ce personnage saugrenu et mafieux a davantage plus de chance de se retrouver sur les bancs d’une cour d’assise ou d’un tribunal spécial que sur les bancs d’un hémicycle politique. Pourtant les choses nous amènent à penser que nous ne sommes pas dans une société intelligente et saine.
Du point de vue statistique, rappelons-le, il n’y a pas de pandémie et il n’y en a pas eu en 2020. Les chiffres officiels du gouvernement le démontrent.
La bonne question maintenant est de savoir pourquoi le gouvernement luxembourgeois a occulté, dès le départ, le fait que des traitements efficaces contre la Covid-19 existaient et pourquoi il continue toujours de persister dans sa volonté indéfectible de vacciner un maximum d’individus et ce dans un temps record ?
C’est une question double à laquelle tout le monde devrait réfléchir.
S’agissant des masques imposés aux populations
Puisque tout le monde dit que les masques sont inutiles s’agissant de leur protection contre les virus, nous avons, nous, ici au Luxembourg, réfléchi à quoi alors les masques pouvaient bien être utile et nous avons réfléchi en nous mettant dans la tête des gens qui mentent, des gens qui occultent qu’il existe des traitements, qui diminuent les budgets des hôpitaux, qui ferment des lits de réanimation, qui censure la liberté d’expression et qui semblent davantage être des gens malsains animés par l’avidité et la cupidité que des gens doués d’empathie agissant pour le bien commun.
Nous en sommes arrivés à cette conclusion.
Les masques ne sont pas là en fait pour protéger les gens mais pour les rendre malades en ce que les masques nous empêchent de respirer naturellement et de nous alimenter correctement en oxygène.
Les Professeurs Sucharit Bhakdi en Allemagne et Denis Rancourt au Canada ont accompli, entre autres, un travail remarquable sur le sujet. Les masques génèrent, en effet, de l’hypoxie et de l’hypoxémie cérébrale, pulmonaire et tissulaire pour ce qui est des effets graves. Ils génèrent des malaises, de l’acné, des démangeaisons, des effets de suffocations et favorisent l’émergence de pneumocoques pour ce qui est des effets secondaires.
Les autres effets indésirables et délétères sur la santé et le moral des gens et des enfants en particuliers sont innombrables et on ne peut pas tous les lister ici.
Comme je l’ai expliqué dans une pétition que j’avais posté sur le site internet www.mesopinions.com le 18 septembre 2020 et que j’avais intitulé « sauvons nos enfants de la vaccination obligatoire », il faut savoir que la bouche est un micro environnement où foisonnent des milliards de micro-organismes non pathogènes tels les virus, les levures, les microbes et les bactéries. S’ils peuvent cependant être pathogènes pour d’autres, tels que les papillomavirus par exemple, la cohabitation chez nous, les hôtes naturels, se passe généralement très bien car nous sommes souvent des porteurs sains.
Chez les animaux, c’est pareil et la nature est bien faite. Les cochons et les chevaux sont presque tous porteurs d’une bactérie que l’on appelle Trichinella Spiralis. Ils n’en meurent pas. Les renards, eux, sont également presque tous porteurs d’échinocoques. Ils n’en meurent pas non plus.
Chez nous, les hommes, même si les choses sont un peu plus complexes, le phénomène est le même.
Par contre, lorsque l’on est malsain, on sait ce que les enfants et les enseignants risquent de développer à moyen ou long terme, avec ce port prolongé et régulier des masques. Ce sont toute une série de pneumococcyes inédites pouvant être très graves, voire mortelles. En effet, et c’est très simple à comprendre, il faut savoir que lorsque vous modifiez l’arrivée naturelle et mécanique de l’oxygène, vous agissez directement et de façon dévastatrice sur cet équilibre micro-organique qui vous tient en bonne santé. L’hypoxie et l’hypoxémie viennent ensuite aggraver ce phénomène destructeur par effet d’accélération.
Je rajoutais même qu’une nouvelle panique généralisée, bien médiatisée et bien politisée, liée à de nouvelles pathologies pulmonaires, justifieraient encore plus la nécessité de s’inoculer des vaccins.
Les masques ne sont véritablement pas là pour protéger les gens mais uniquement pour les maintenir sous pression physique et psychologique.
Aujourd’hui, si vous n’avez pas de masque, vous ne pouvez pas entrer dans les magasins et vous ne pouvez presque rien faire. Demain, ce sera l’attestation des vaccins que l’on vous demandera puis ce sera le Pass Digital et le QR Code et sa couleur verte que l’on vous aura octroyé après avoir accepté de vous faire injecter ces codes génétiques. Si vous n’avez pas été vacciné, vous ne pourrez plus entrer dans les magasins et profiter de la vie et si votre QR code est rouge, plus de restaurant et plus de cinéma. Plus de piscine, plus de bibliothèque, plus d’accès aux parcs. Plus d’accès aux aéroports. Peut-être que vos enfants n’auront même plus le droit d’aller à l’école. Plus de voyages même routiers et peut-être même plus question de sortir de chez vous.
Le masque étant juste une première étape de conditionnement et d’acceptation vers cette privation de liberté et de soumission totale à l’autorité. La Covid-19 n’aura finalement juste été que l’élément justifiant la mise en place de ce procédé de contrôle maîtrisé et totalitaire des populations. En politique, nous appelons ça « la technique du saucisson » parce que ce n’est que tranche par tranche qu’il est possible de mettre en place des lois liberticides et des restrictions dictatoriales qu’il aurait été impossible de promulguer autrement, surtout dans leur état brut sans réelle justification.
La perception visuelle étant le premier de nos cinq sens. Les masques sont utilisés dans les relations et les échanges interindividuels comme des outils informationnels et des véhicules de communication. Ils rappellent aux individus que la situation est critique, anormale et dangereuse. Il y a une menace, un virus mortel et qu’il est omniprésent. Là, chaque individu peut en être le porteur, le coupable malgré lui ou la victime potentielle. Autrement dit là, tout le monde devient une menace pour tout le monde quand à défaut il ne devient pas fou. Pour créer de la schizophrénie et de la paranoïa collective, difficile de trouver mieux.
Aujourd’hui la société est totalement divisée entre d’une part, une immense majorité d’individus complètement terrorisés, masqués et totalement sous hypnose et donc sous emprise du narratif officiel, et d’autres part, une toute petite minorité d’individus qui a compris que les choses relevaient de l’absurde et de l’escroquerie et qui a surtout bien compris vers quel traquenard le gouvernement l’accule.
Dire que le masque protège est effectivement une escroquerie diabolique.
Pour le comprendre, il suffit juste de réaliser une petite expérience très simple que j’ai moi-même réalisé pour se rendre compte que le masque ne protège absolument pas des virus mais que sa fonction est bien celle décrite auparavant.
Mettez non pas un, mais plusieurs masques l’un sur l’autre et ensuite poncez un mur de plâtre ou une planche en bois pendant 30 minutes puis retirez les masques. Regardez ensuite l’intérieur de vos narines. Vous allez y trouvez toute la poussière de plâtre ou de bois à laquelle vous avez été confronté pendant les 30 minutes de l’exercice. Alors penser qu’un masque va nous empêcher de contracter ou de propager un virus de la taille de 0,9 micron ne relève tout simplement pas de l’absurde et de la superstition, cela relève de l’escroquerie.
En réalité, toutes ces pressions qui sont exercées aujourd’hui sur les individus, jusque chez les plus petits qui sont notre avenir et notre unique et véritable richesse à tous, ne sont en réalité mises en place par les gouvernements que dans le but d’acculer les gens à opter pour cette dite « vaccination » et à accepter l’idée d’une nouvelle forme de contrôle sociale qui passera implicitement par la digitalisation de la vie privée, sociale et professionnelle, se traduisant par la délivrance et l’octroi d’un Digital Green Certificate délivré par les autorités ou des officines privées agrées par les gouvernements.
L’obtention de ce certificat sera bien évidemment soumise elle aussi à la condition sine qua none de la réception des premières injections Pfizer, Moderna, Astrazeneca ou Johnson, et peut-être même de leur mise à jour à intervalle régulier.
En y réfléchissant bien, pourquoi ne pourrait-on pas appliquer à la santé collective, un business plan informatique qui a fonctionné plusieurs décennies et qui consistait à implanter un virus dans un ordinateur en vue de revendre l’antivirus ? Pourquoi pas ? Si nous ne possédons pas tous un ordinateur, nous possédons tous en revanche, riches ou pauvres, grands et petits, une santé à titre de niche commerciale.
S’il est vrai que cela nous rappelle un tout petit peu le business plan d’une très grande entreprise informatique dont le manager s’est recyclé ensuite dans les vaccins mais ce ne doit être probablement qu’une simple coïncidence.
Pour finir, je dirai que les choses sont plutôt simples mais que pour bien les comprendre, il faille plutôt les voir par l’œil d’Horus.
Considérant la détermination des gouvernements qui obligent, par la contrainte psychologique et la répression physique des forces de l’ordre établi, les populations à se masquer tout en continuant de leur faire croire, en se basant uniquement sur la théorie non démontrée et non scientifique du très controversé docteur allemand, Christian Drosten, qu’il y a dans les populations des gens en bonne santé et sans symptômes et que ceux-ci sont en fait des malades et des assassins potentiels sans le savoir ;
Considérant l’obstination du gouvernement à vouloir imposer les masques partout et pour tous alors que toutes les études scientifiques sérieuses et dépourvues de tout conflit d’intérêt, dont l’excellente étude du chercheur canadien Denis Rancourt, démontrent que le masque est totalement inefficace pour ce qui est de la protection antivirale et que son port est dangereux en dehors de son utilisation protocolaire en structure de santé ;
Considérant le négationnisme politique des managers de la stratégie anti-Covid-19 au Luxembourg qui refusent de regarder objectivement les statistiques officielles de la mortalité pour l’année 2020 qui démontrent que la mortalité a été tout à fait normale au Luxembourg et qu’à aucun moment il n’y a eu de pandémie ;
Considérant le négationnisme politique de la part du gouvernement qui persistent à nier l’existence de nombreux traitements pour soigner les malades atteints par la Covid-19 alors que de nombreuses personnalités scientifiques mondialement reconnues, comme par exemple le Dr Peter McCullough aux États-Unis, s’insurgent de plus en plus pour réclamer le droit et la liberté de diagnostiquer, de traiter et de soigner leurs patients ;
Considérant la détermination du gouvernement luxembourgeois à maintenir la population sous pression physique et psychologique afin de la pousser vers les injections mRNA par le biais de mensonges, de sophisme et de syllogisme ;
Considérant le refus du gouvernement d’ouvrir le débat public et démocratique sur la balance bénéfices/risques et la pertinence de vacciner les individus contre une maladie pour laquelle il existe des alternatives thérapeutiques sans aucun danger pour l’organisme ;
Considérant le refus du gouvernement de communiquer sur les réels dangers de la vaccination et les répercussions futures éventuelles de ces injections mRNA alors que la Convention d’Oviedo le stipule ;
Considérant le refus du gouvernement de communiquer sur les causes réelles sérieuses, voir originelles, des futures vagues meurtrières qui auront probablement lieu lors des prochaines saisons grippales au fur et à mesure que les vaccinés d’aujourd’hui rencontreront les souches sauvages de coronavirus ;
Considérant qu’au Luxembourg, il n’y a aucun débat démocratique sur la vaccination en général ;
Considérant que les responsables de la direction du Centre Hospitalier de Luxembourg nous ont refusé toutes les mises à dispositions d’informations légalement divulgables eu égard à la loi Kouchner lorsque nous leur avons demandé de nous faire part des protocoles et des traitements qui ont été administrés aux malades de la Covid19 pour l’année 2020 ;
Considérant qu’en date du 29 avril, le Parlement Européen a fait le choix d’imposer à ses ressortissants la titularisation obligatoire d’un certificat digitale de liberté de pouvoir circuler dans l’Union Européenne conditionnant cette obtention à la modalité d’être vaccinés et d’avoir reçu au moins deux doses des injections de type mRNA ;
Et considérant enfin que la justice européenne n’est absolument pas indépendante du pouvoir exécutif comme nous avons pu le voir récemment avec un cas en Allemagne, où un juge aux affaires familiales de la ville de Weimar, le juge Christian Dettmar, a été perquisitionné à son domicile, intimidé et traité comme un criminel en raison du fait qu’il avait rendu un jugement favorable à une famille qui avait porté plainte en référé pour réclamer le droit à ce les enfants puissent respirer librement à l’école ;
Il convient donc par ces motifs de constater que nous dérivons de plus en plus sérieusement et dans une accélération inquiétante vers un nouveau système européen de gouvernance et de gestion politique entièrement calqué sur le modèle du contrôle social chinois.
Ce modèle sera davantage axé sur le contrôle permanent et continu des individus : maintien des distances physiques et sociales, obtentions et délivrances des certificats digitaux de circulation soumises à conditions, obligation de mises à jour régulières de ces autorisations de circuler et de se réunir, généralisation des logiciels de reconnaissance faciale dans les sphères publiques mais également au sein des sphères privées, etc.
Le modèle passé et hérité de nos parents et plus horizontalement de nos ancêtres, qui a fait de nous des êtres bons vivants, sociables et aimants, des êtres doués de raison et d’empathie, risque bien, malheureusement, de disparaître pour toujours si nous ne faisons rien et s’il y a fort à parier que le réveil sera tout aussi violent que douloureux, le Pacing and Leading, lui, n’aura finalement jamais aussi bien fonctionné qu’aujourd’hui.
Si nous ne nous réveillons pas maintenant, nous vivrons dans ce cauchemar digital et artificiel pour toujours. Ce ne sera pas un monde meilleur que nous léguerons à nos enfants mais plutôt l’enfer sur terre.
Alors il est plus que temps maintenant de nous rejoindre sur ce qui nous unit et mettre de côté ce qui nous divise et nous clive. Il est temps maintenant de nous lever massivement pour notre liberté et de cesser de nous comporter de façon grégaire.
Quand nous mourrons, nous partirons les mains vides mais nous partirons riches de nos souvenirs et de nos plus belles actions. La liberté est un bel héritage, c’est vrai, mais c’est à nous maintenant de la protéger et d’en être digne ! Elle est la plus belle chose au monde qui soit et c’est le bien le plus précieux que des parents puissent léguer à leurs enfants. Nous n’en avons pas encore tous conscience en raison du fait que nous berçons en permanence dans un confort consumériste. Un monde de spectacles, de biens et de marchandises sans réelles valeurs.
La liberté elle, est un trésor inestimable et incommensurable. C’est le trésor de la vie et du vivant, du ciel et de la terre, de l’univers connecté à toute chose, le vivant sans chaîne et sans entraves.
Nos ancêtres sont morts pour que vivions libres alors maintenant ne les trahissons pas. Ils nous regardent.
Ils attendent de nous que nous soyons braves et que nous soyons des modèles pour les générations qui viennent comme eux ont été braves et protecteurs, et des modèles pour nous.
Amar
Source : Lire l'article complet par Le Saker Francophone
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