Une meilleure solution que l’immigration sans intégration
Grâce à des contrats de durée limitée
Le Québec fait actuellement face à un grave problème lié au fait qu’il accueille beaucoup plus d’immigrants qu’il ne peut en intégrer. Tout le monde s’entend là-dessus. L’affaiblissement du français, l’exode du centre-ville de la métropole où les immigrants se concentrent, sont les signes les plus révélateurs de cette fâcheuse tendance qui, par ailleurs, nuit au maintien d’une identité collective fidèle à nos origines, une priorité vitale pour notre survie en terre d’Amérique.
Pour pallier à la pénurie de main-d’oeuvre dans certains domaines ciblés, il existe pourtant une solution pratique moins dommageable que l’immigration permanente de non-intégrables.
Cette solution consiste à remplacer les immigrants permanents par des travailleurs étrangers temporaires liés par un contrat d’une durée limitée.
On a besoin d’un soudeur, d’un vidangeur, d’un préposé aux soins, d’accord. On les fait venir après un strict processus de sélection, mais uniquement pour une durée limitée, 6 mois, 1 an, 2 ans, pas plus.
Ce sera une solution plus économique aussi, car ces travailleurs ne monteront pas dans l’échelle salariale et n’auront pas droit aux avantages sociaux comme les régimes de pensions et les vacances payées, les soins dentaires, ni même l’assurance-santé (ils devront avoir la leur) ou l’assurance-emploi.
Nous pourrons les garder au salaire minimum de l’emploi, ce qui, rappelons-le, représente quand même pour eux le pactole, correspondant de 10 à 25 fois le salaire gagné chez eux. Qu’ils nous soient reconnaissants qu’on leur accorde généreusement une année entière de ce traitement de faveur-là.
J’ai lu qu’un certain programme fédéral accorde 14$ de l’heure aux travailleurs étrangers. C’est plus que généreux. Le concept du salaire mininum ne devrait pas s’appliquer puisque ce sont des étrangers. Même en les payant 6$, 8$, 10$ l’heure, ils seraient gagnants et avantagés.
Le même travailleur pourra se représenter aux 4 ou 5 ans.
En revanche, il ne pourra jamais demander la permanence au pays. Il sera toujours considéré comme un étranger qui doit le rester.
Un second avantage important: au bout de chaque contrat, on vérifie si un Québécois est maintenant disponible pour occuper le poste et on le lui accorde alors automatiquement. Cela permettra d’atteindre le plein emploi de la population native.
L’important, c’est de voir à ce que les étrangers soient rapidement remplacés à la fin de leur contrat par d’autres travailleurs équivalents et abondants, pour éviter l’incrustation nuisible et les ingérables problèmes sociaux engendrés par la sur-immigration, problèmes qui se voient grossis par 100 lorsqu’on a affaire à des ressortissants du tiers-monde sous-développé non seulement économiquement, mais aussi mentalement, moralement et socialement, et qui se mettent à répandre viralement tout leur retard ici.
Lorsqu’on pense aux travailleurs saisonniers en agriculture, il ne viendrait à l’idée de personne de faire de ces pauvres paysans mexicains sans instruction des centaines de milliers de nouveaux résidents permanents au Québec. On n’est pas dans la pampa mexicaine à je ce que sache! Et ce ne serait pas dans notre intérêt de se mettre à y ressembler le moindrement. Autrement, cela correspondrait à une opération d’envahissement pur et simple, comme tous ces autres latinos qui traversent illégalement la frontière américaine par milliers.
Le système des travailleurs saisonniers étrangers temporaires fonctionne très bien. Il s’agirait simplement de l’appliquer sur une plus grande échelle, dans plus de catégories d’emplois.
Et nous trouverons toujours preneurs, du simple fait du salaire élevé offert comparé au leur.
En procédant ainsi, il deviendra possible de protéger l’identité culturelle collective des Québécois des méfaits de la diversité, de la nocivité du multiculturalisme, de l’ajout de cultures potentiellement conflictuelles et incompatibles, de l’ensauvagement des moeurs de la société qui pâtirait de leur présence dérangeante et de leur accroissement indiscriminé.
Dans un pays occidental comme le nôtre, seuls d’autres Occidentaux sont suffisamment rapprochés de notre profil général pour pouvoir s’intégrer rapidement et se fondre harmonieusement dans le paysage collectif sans détonner outre mesure.
Le Québec doit rester à l’image du peuple qui l’a fondé et bâti.
Source: Lire l'article complet de Vigile.Québec