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par Avic.
En diffusant la lettre des militaires à nos gouvernants et en assurant le suivi des suites de cette lettre, nous avons déconcerté certains de nos lecteurs. Nous tentons de rapporter l’évolution des événements sans parti pris, mais nous nous désolidarisons de tout ce qui pourrait apparaitre comme un appel à la division, ou à une lutte intercommunautaire. Nous tenons à affirmer que Réseau International est résolument contre toutes les haines entre peuples, races ou communautés, y compris celle de ceux qui disent vouloir se battre contre ce qu’ils considèrent un peu trop rapidement comme étant de la haine. Ceux-là sont comme les antifas qui se retrouvent être encore plus fascistes que ceux qu’ils prétendent combattre. Depuis un certain temps, la tentation est devenue grande de tomber dans le piège de ceux qui ont toujours souhaité la guerre civile en France en instrumentalisant les banlieues c’est-à-dire en fait les quartiers pauvres, des quartiers qui, de tout temps, ont vu émerger des générations de jeunes dont la turbulence a toujours effrayé les « braves gens » qui voyaient en eux des hordes de barbares.
Pour ceux qui manquent de mémoire, rappelez-vous des bandes de jeunes loubards des chansons de Renaud, ou encore des zonards de Starmania : « Quand on arrive en Ville » interprété par Balavoine. Ces loubard ou zonards, bien qu’ils habitent dans des « territoires » dont la République est exclue (« les territoires perdus de la République »), n’avaient à l’époque aucun rapport avec les migrants maghrébins comme veulent le faire croire les militants d’extrême droite. Les banlieues de toutes les époques génèrent les mêmes maladies produisant les mêmes symptômes liés au dénuement et à la pauvreté. Il convient de les combattre avec l’intelligence et non par la haine (avec les fameux « nous » et « eux »). En se trompant d’ennemi, on permet au vrai ennemi de continuer à nuire. Si j’étais le patron de Macron, je ferais ce qu’il faut pour encourager les dissidents réels ou potentiels à se fourvoyer, je les aiderais même à pourchasser cet ennemi.
Certains militaires, dont des généraux, se rendent compte que la machine à manipulation s’est déjà mise en marche. Ils ont conscience que le problème évoqué par les signataires de la lettre aux gouvernants, bien que réel, n’est pas le plus important pour la survie de la France en tant que Nation. Il devrait sembler évident pour tout le monde qu’un éventuel ennemi intérieur ferait son possible pour rester caché, et même passer pour un ami, plutôt que de se dévoiler au grand jour avec des actes aussi criards que néfaste pour sa cause quelle qu’elle soit. Si ennemis intérieurs il y a, ce sont précisément ceux qui font braquer les regards sur tous ces actes criards et bien visibles, susceptibles de détourner notre attention des vrais problèmes. Nous avons vu que ces ennemis sont capables d’aller jusqu’au false flag pour arriver à leurs fins, et les mêmes recettes sont utilisées à chaque fois que l’on veut faire bouger les Français les uns contre les autres. La dernière recette en date est l’égorgement (un acte symboliquement arabo-islamique) d’un innocent, pour des raisons obscures que les médias de masse rendront tout à fait cohérentes. Bien entendu, l’auteur de l’égorgement n’est plus là pour nous éclairer sur ses motivations, puisque le rituel veut qu’il soit abattu aussitôt son acte accompli, nous privant ainsi d’informations bien intéressantes. Notons que tout, absolument tout, ce que nous savons sur le terrorisme et les actes terroristes nous vient du narratif officiel, relayé par les médias de masse, c’est-à-dire du pur BFM TV. Quand il s’agit de terrorisme, même BFM TV devient crédible.
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