Adressée à : Monsieur Olivier Véran, Ministre des Solidarités et de la Santé
Vaccination de nos enfants : trop peu de recul et inutile
Selon Agnès Pannier-Runacher, Ministre déléguée à l’Industrie, le sujet de la vaccination des enfants est actuellement sur la table et sera étudié sérieusement ces prochains mois. [1]
L’ambition du gouvernement est d’atteindre « l’immunité collective” le plus rapidement possible avec une telle mesure.
Depuis le mois de janvier, plusieurs laboratoires ont débuté les essais sur des adolescents et des enfants. [2]
L’argument avancé par les promoteurs de cette idée est que les enfants seraient des « réservoirs » pour le COVID-19. [3] Généralement asymptomatiques, ils participeraient à la propagation du virus, notamment chez leurs parents et leurs grands-parents.
Il s’agit ni plus ni moins d’une manipulation des données scientifiques dont nous disposons : plusieurs études montrent que le rôle des enfants dans la propagation du Covid est très faible. [4, 5]
Un article du journal de référence suisse, Le Temps, révélait ainsi en novembre dernier que si la charge virale des enfants pouvait atteindre celle des adultes… ils étaient cependant beaucoup moins contagieux :
“les différentes observations tendent à montrer que les enfants ne seraient pas des moteurs efficaces de la propagation du virus.” [6]
De son côté, l’Agence européenne du médicament n’a donné aucune indication ou autorisation quant à la vaccination des enfants de moins de 16 ans. [7]
Les enfants ne sont pas une cible prioritaire.
Les enfants ne peuvent pas être une cible prioritaire pour la vaccination.
Et ils ne doivent pas l’être.
Il ne s’agit pas seulement d’une démarche mal étayée scientifiquement : il s’agit d’une mesure hasardeuse pour la santé des plus jeunes.
Le manque de recul sur ces nouveaux vaccins aux essais cliniques précipités devrait nous faire réfléchir à deux fois.
Quels sont les risques réels d’effets secondaires ? Quel sera l’impact dans 10 ou 20 ans sur la santé de nos enfants ?
Rappelez-vous de la vaccination pour l’hépatite B au début des années 2000. Certains soignants qui ont été obligés de se faire vacciner sont actuellement en fauteuil roulant à cause de la sclérose en plaques. [8]
Des études démontrent déjà de nombreux effets secondaires sur les vaccins, notamment des thromboses sur de jeunes adultes. [9]
Alors que la vaccination n’est ouverte que depuis 4 mois !
Nos enfants auront-ils également comme effet secondaire l’apparition de caillots sanguins ? A un si jeune âge ?
Un autre risque plus spécifique aux vaccins à ARN plane sur les personnes recevant des vaccins type Pfizer : là encore nous manquons gravement de recul sur les conséquences à long terme de l‘administration de ces thérapies géniques. [10]
Il est de notre devoir de rejeter la vaccination de nos enfants
Le risque de complications chez les enfants malades du Covid-19 est faible. C’est aux personnes qui risquent de contracter une forme grave de considérer la vaccination.
Il en va de leur responsabilité personnelle.
Depuis plus d’un an, nos enfants :
- Renoncent à une scolarité normale
- Sont privés de jouer avec leurs amis et de sorties culturelles
- Ne peuvent pas voir leurs grands-parents
Depuis trop longtemps, nos enfants sont privés de partages et de sociabilisation.
Et si, au lieu de sacrifier nos enfants, nous pensions à d’autres solutions pour nous sortir de cette crise qui dure déjà depuis plus d’un an ?
La vaccination n’est pas la réponse. Prenons aussi, par exemple, la voie des traitements.
Ensemble, fixons des limites au gouvernement.
Il est inadmissible qu’il puisse nous pousser à faire vacciner nos enfants alors même que des risques non identifiés pour leur santé existent.
Il est urgent d’agir.
Nos enfants ne sont pas des cobayes.
Dans dix ans, dans vingt ans, nos enfants et adolescents, devenus adultes, pourront nous dire :
Et ils auront raison.
Nous demandons au gouvernement :
- de ne pas imposer la vaccination aux enfants
- de mener des études plus approfondies sur les effets secondaires des vaccins
- de continuer à chercher des solutions alternatives qui fonctionnent contre le Covid-19, notamment les traitements
Si vous aussi vous refusez catégoriquement la vaccination de nos enfants, signez et partagez cette pétition en masse !
Rodolphe Bacquet
[1] https://www.europe1.fr/sante/covid-19-faut-il-vacciner-les-enfants-4037805
[3]https://www.europe1.fr/sante/covid-19-faut-il-vacciner-les-enfants-4037805
[6] https://www.letemps.ch/sciences/role-enfants-pandemie-se-precise
[8] https://www.who.int/vaccine_safety/committee/topics/hepatitisb/multiple_sclerosis/Jun_2002/fr/
Source : Ciel Voilé
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