Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info) ― Photo (modifiée) : cookie studio/Freepik
La crise du covid a mis en lumière de façon glaçante, et dans le monde entier, la manipulation étendue de cellules de fœtus avortés volontairement dans la production des vaccins, et ce depuis des décennies. Les thérapies anti-covid AstraZeneca, Johnson & Johnson, Pfizer, Moderna, souillées d’une manière ou d’une autre par ces cellules de fœtus humains, ont poussé, et ce malgré le feu vert donné par le Vatican bergoglien*, divers théologiens, clercs, religieux, à approfondir les questions éthique et morale par rapport à leur utilisation et à en déclarer l’usage immoral, à émettre un Non Possumus argumenté et réfléchi.
Il y a deux mois, Mgr Schneider, qui fut un des premiers à se lever contre ces vaccins compromis avec l’industrie de l’avortement, avait lancé un appel pour un « nouveau mouvement pour la vie » qui s’oppose à l’utilisation de cellules et de tissus de bébés avortés. Il ne visait pas seulement les vaccins, mais toutes les utilisations immorales dans les domaines pharmaceutique, cosmétique ou alimentaire. Une bataille culturelle dont l’urgence est également rappelée par une nouvelle norme (anti-vie) de Biden.
Cette initiative a pris forme en Italie. Le 19 avril dernier, signale le quotidien La Nuova Bussola Quotidiana dans un article récent, « une lettre ouverte a été publiée à l’évêque auxiliaire d’Astana, qui porte la signature des présidents de sept associations italiennes, à savoir : Movimento Mariano Regina dell’Amore (Mirco Agerde), Jurists for Life (Gianfranco Amato), Pro Vita & Family (Antonio Brandi), Ora et labora pour la défense de la vie (Giorgio Celsi), Iustitia in Veritate (Francesco Fontana), Benedetto Option (Giovanni Formicola), Confédération des Triarii (Massimo Viglione). La lettre est une réponse à l’appel lancé par Mgr Schneider le 19 février, lors d’une conférence en ligne – organisée par Life Site News – intitulée Démasquer le covid-19 : Vaccins, mandats et santé mondiale. »
« Dans cette lettre, peut-on lire dans l’article cité, véritable déclaration d’intention, le thème de la défense de la vie dès la conception est abordé dans une perspective générale, cela ne se limite pas uniquement au domaine des vaccins éthiquement compromis et des vaccins anti-Covid en particulier. En fait, il appelle à ce que la bataille déjà engagée au cours des dernières décennies soit menée “jusqu’à une exhaustivité cohérente”, à la suite d’une “critique intégrale de la légitimité éthique et juridique de l’utilisation des cellules embryonnaires et fœtales dans le contexte de l’expérimentation et industrie pharmaceutique, cosmétique (et industrie connexe)”. D’où la demande selon laquelle “aucun vaccin, aucun médicament, aucun cosmétique, aucun aliment ne doit être produit ou testé à partir de cellules embryonnaires ou fœtales humaines, obtenues à partir du meurtre d’une personne innocente”. Le document, en plus des signatures susmentionnées, porte une autre soixantaine de signatures de personnes diversement impliquées dans la réalité pro-vie de notre pays (l’Italie, NDLR de MPI) (voir ici la lettre complète avec les signatures). On sait que Mgr Schneider lui-même (par une lettre encore confidentielle) a entre-temps accueilli et invoqué la bénédiction divine pour ceux qui soutiennent l’initiative. »
Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie
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