BONNE FÊTE DES TRAVAILLEURS!
«Crise de Pandémie, Crise Économique, Crise d’Infodémie, crise Syndicale, crise de la SURVEILLANCE, et la Crise Politique s’en vient. Car on en profite pour imposer des mesures impossibles à adopter en temps normal. Le mélange journalier de propagande, de publicité, de rumeurs, de chiffres contradictoires, déséquilibrent les garanties démocratiques pour la liberté d’opinion et d’expression» selon Christophe Deloire de Reporters sans frontières (RSF) dans le Devoir du 2020-04-22.
Le danger est présent parce que NOUS les laissons faire. Il y a crise! Donc, il faut en profiter pour frapper fort. Pas le virus, mais les masses pas assez obéissantes ni pas encore assez dociles. Attachez vos tuques car on en est qu’à nos débuts.
C’est qui les masses? Devinez. Alors, on n’a plus le droit de manifester, de se regrouper, de penser librement. Selon le grand penseur, Jean-Jacques Crèvecoeur, sur Facebook; « On vit dans un aquarium maintenant. Confinés dans notre petit espace avec comme seul accompagnateur, nos médias vendus au système. »
Ce conditionnement vaporeux, ce confinement en douceur, nous laisse avec des doutes? Presque tout le monde nous avertit qu’il y a crise et qu’il faut obéir aux consignes, même si il y a des contradictions. Que se passe-t-il avec le 1% ces temps ci? Qui tire vraiment les ficelles?
Si on ne pense pas comme tout le monde, on se sent rejeté. On n’est pas dans le troupeau. Cachez-vous derrière votre masque de l’ordinaire. Si on n’accepte pas le vaccin que Bill Gates veut nous vendre, on va être étiqueté rebelle, ou carrément criminel. L’exclusion nous attend si on ne réussit pas à nous mobiliser.
Aussi ! Ça s’en vient, la facture. Des milliards! Comment allez-vous payer tout ça? Vous allez descendre dans la rue… évidemment! Mais, ce que vous ne savez pas, c’est que les gouvernements ont aussi gardés assez d’argent pour réarmer la police et l’armée, en prévoyance des conséquences. Cela s’appelle contrôle de foule. Car, il va y avoir un énorme contrecoup.
Mais comme le dit si bien Jean-Jacques Crèvecoeur, pour déjouer ce contrecoup, préparé d’avance par le 1%, il n’y a qu’une manière infaillible : la non-violence par la désobéissance civile.
Grand Corps Malade: Quess qu’on aura gagné quand on aura tout perdu?
John Mallette
Le Poète Prolétaire
Source: Lire l'article complet de Les 7 du Québec
