J’aime bien votre « Martine à la République ». Juste et parlant.
Je vous comprends.
Il est rageant de voir ces retardataires presque retardés jouer les sauveurs et les whistleblowers alors que ceux qui ont de le jugeote (suffisamment pour éviter de faire de la politique de partis ai-je envie d’ajouter) comprennent ce cirque du conditionnement dure depuis des dizaines d’années et particulièrement depuis le 9/11, le traité de Lisbonne en 2005, la crise des subprimes en 2008, les affaires des caricatures, Dieudonné et bien sûr mec corona circus (DEPUIS LE DEBUT !!).
On le voit depuis des siècles (un peu de philosophie nous ferait du. bien) sinon des millénaires (un peu d’analyse des religions et des mythes nous permettrait de comprendre également les modes de propagandes dans tous les coins du monde bien souvent au service d’un pouvoir).
Donc oui, c’est rageant.
…
…
MAIS…
Encore une fois, c’est comme Philippot, Trump, Asselineau, La Tribune des militaires, et j’en oublie : il y a bien un moment où il faut réaliser l’union sacrée et dire non.
Cette femme permet à de nombreuses personnes de faire le lien entre la politique et la critique profonde. Elle est entre deux, une sorte d’hybride suffisamment sotte pour avoir fait de la politique et suffisamment lucide pour s’en être (un peu) sortie.
Elle joue dans notre camp, même si elle est accessoiriste de la critique anti-gouvernementale, quand Soral en est l’un des rédacteurs.
Qu’on lui laisse prendre la place qu’elle défend avec un certain panache.
Mais ne soyons pas naïfs : elle fait partie de ce ces innombrables qui ont accepté de voir prospérer le Système dans son hybris.
Je la soutiens mais je lui dis, comme un autre intervenant : « tu te réveilles un peu tard ma cocotte ! »
Elle n’est pas une idiote utile, mais une alliée temporaire, simplement.
Force et courage à tous.
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