Mgr Douglas Crosby.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton — Campagne Québec-Vie — Photo : Hamiltondiocese.com
Les démêlés entourant le conseil scolaire catholique de Hamilton en Ontario ont pris des allures de plus en plus affligeantes. Ainsi, on a pu apprendre que le diocèse de Hamilton avait soutenu la motion présentée au conseil scolaire visant à faire hisser le pavillon LGBT sur le terrain de toutes les écoles en dépendant, et avait interdit aux prêtres de s’insurger en chaire contre l’étendard de la perversité. Selon LifeSiteNews :
Le diocèse de Hamilton, dirigé par Mgr Douglas Crosby, a non seulement soutenu la proposition du conseil scolaire catholique local de faire flotter les drapeaux de la fierté homosexuelle dans les écoles catholiques du conseil, mais a également interdit aux prêtres des paroisses locales de s’opposer à cette question en chaire.
La motion a été soutenu par le père Cornelius O’Mahony, vicaire épiscopal, relate LifeSiteNews :
En préparation de la réunion de mardi soir, le père Cornelius O’Mahony, vicaire épiscopal pour l’éducation pour les partenaires catholiques du diocèse de Hamilton, a soumis un document préparé à sa demande par Tamara Nugent et Yvonne Runstedler qui plaide en faveur des drapeaux de fierté.
Le projet absurde de planter le drapeau LGBT fut décrié par nombre de catholiques, dont Jack Fonseca de Campaign Life Coalition, rapporte LifeSiteNews :
« Le drapeau arc-en-ciel gay est un symbole politique qui célèbre le péché sexuel et rejette la loi de Dieu », affirmait à LifeSiteNews Jack Fonseca de l’organisation pro-vie et pro-famille canadienne Campaign Life Coalition dans une récente entrevue. « Les militants homosexuels et la société en général le comprennent comme signifiant que la sodomie est moralement acceptable, que le “mariage” homosexuel est un droit, et que les chrétiens qui défendent l’enseignement biblique sur l’homosexualité devraient être conspués et exclus de la société. »
« Ce drapeau est aussi un signe de conquête sur l’Église catholique, de la même manière qu’un envahisseur plante son drapeau sur un territoire conquis pour affirmer sa domination sur la terre et la soumission des habitants à sa volonté », ajoutait-il.
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