Par Pour une école libre au Québec
Steven Guilbeault, le ministre du Patrimoine canadien, a effectué des études en morale internationale et en théologie de la libération. Il a depuis de nombreuses années taillé ses longs cheveux, qui lui ont longtemps valu le surnom de « Jésus ». Il a été très influencé par un oncle missionnaire à Haïti, dont il avait pensé suivre les traces et à cause de qui ses parents ont adopté l’une de ses deux sœurs, d’origine haïtienne. C’est d’ailleurs ce qui l’a poussé à s’inscrire en sciences religieuses à l’Université de Montréal, au milieu des années 1990. Il abandonna cependant rapidement l’idée de devenir missionnaire religieux. Il a, toutefois, gardé une fibre moralisatrice de gauche, de prophète écologiste et de missionnaire du correctivisme politique.
Voilà donc que le ministre du Patrimoine présentera le tout premier projet de loi sur le contrôle d’Internet à être déposé au Parlement fédéral canadien dans les « prochaines semaines », a-t-il révélé lors d’une vidéoconférence.
« Mon travail consiste à assurer la sûreté et la sécurité de la population canadienne », a déclaré le ministre. Nous croyions naïvement qu’il s’agissait de promouvoir le patrimoine canadien comme la production artistique en langue française, de conserver les libertés ancestrales des citoyens, de les protéger de la censure arbitraire des monopoles du BigTech.
Guilbeault a révélé que le projet de loi qui sera déposé sera la première étape dans la création d’un « environnement plus sûr pour toutes les personnes en ligne et pas seulement pour une poignée de gens ». Le projet de loi réglementerait le contenu blessant au-delà de ce qui est déjà réprimé par le Code criminel, selon Blacklock’s Reporter.
« Avec le projet de loi que nous déposerons, peu importe que l’entreprise soit canadienne ou non », a déclaré Guilbeault. Peu importe où l’entreprise est enregistrée ou où se trouvent leurs serveurs.
« Une fois qu’une publication sera signalée, elle devra être retirée dans les 24 heures suivant son signalement », a-t-il déclaré. « Il n’y a pas beaucoup de pays qui le font actuellement. »
« Je pense que ce sera un très bon remède à un certain nombre de problèmes, mais cela ne résoudra pas tout », de dire M. Guilbeault.
Guilbeault a déclaré que le discours de haine fera « certainement » partie du projet de loi déposé, ainsi que d’autres « préjudices en ligne ».
Source : Lire l'article complet par Campagne Québec-Vie
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