Nous sommes toutes et tous manipulables.
Doués d’émotions, conditionnés depuis notre naissance, nous voguons à chaque instant dans une réalité virtuelle où nos illusions (la plupart du temps inconscientes), remplacent le plus souvent la réalité de nos existences. Ce que nous voyons ou pensons est, pour une large majorité du temps, une projection déformée de cette réalité.
Nous avons construit nos croyances et nos certitudes sur la base de connaissances distillées par des êtres plus ou moins bien intentionnés, nous piégeant ainsi dans une prison mentale dont il est difficile de s’extraire.
Il est toujours plus facile de tromper les gens que de les convaincre qu’ils se font tromper.
Les techniques de manipulations, les répétitions d’images, de mots, jouent un rôle important dans ce qui s’en vient. Car, après réflexion, j’ai le sentiment que le Covid est un exercice de préparation mentale.
« Encore un article de complotiste » diront certains. Peut-être. Peut-être pas. Je ne fais que conjecturer ici.
La genèse de ma petite bafouille est liée à une des dernières vidéos de Project Veritas (https://www.youtube.com/watch?v=Dv8Zy-JwXr4). Le sujet principal concerne la propagande anti-Trump déployée par CNN durant la dernière campagne présidentielle mais, ce qui m’a surtout interpelé, c’est l’aveu concernant l’utilisation de « narratif » par les médias et que le prochain concernerait la crise du «changement climatique».
On peut même parier que le mot changement sera très prochainement renommé en «urgence climatique». Il faut bien faire sonner l’alarme de catastrophe imminente dans toutes les têtes.
Mettons quand même les choses au clair : Je ne nie pas que le dérèglement climatique existe. Comme je ne nie pas que le Covid 19 existe.
En revanche, l’histoire que l’on nous raconte sur ces deux réalités, dont l’origine de ces crises, est peut-être légèrement, voire beaucoup, « bidouillée » pour arriver à des fins très utiles pour certains.
Ce qui m’a fait tilt c’est de rapprocher la vidéo de Project Veritas à un des derniers articles du voyant Attali (https://www.attali.com/coronavirus-2/la-pandemie-et-apres/). Outre le fait d’apprendre que nous allons devoir subir beaucoup de piqures, nous découvrons surtout que nous devons nous préparer aux prochaines menaces imminentes (tu la sens monter la peur, tu la sens ?).
Le forum de Davos qui avait participé à la répétition générale d’une pandémie en Octobre 2019 avec l’Event 201 (https://www.weforum.org/press/2019/10/live-simulation-exercise-to-prepare-public-and-private-leaders-for-pandemic-response/), est désormais tout orienté vers cet autre enjeu majeur pour 2021 : « Mais malgré les retombées inévitables de COVID-19, ce sont les questions liées au climat qui constituent l’essentiel de la liste des risques de cette année, que le rapport décrit comme « une menace existentielle pour l’humanité ». » (https://fr.weforum.org/agenda/2021/01/voici-les-plus-grandes-menaces-mondiales-de-2021/).
Et puis Biden et la clique de mondialistes corrompus ont organisé il y a quelques jours un sommet sur le climat. Si en France le Covid tient encore la population bien sagement à la maison, sourires figés derrière les masques, aux Etats-Unis, par exemple, certains États ayant repris une vie quasi normale, il faut donc vite remplacer le joujou cassé par un nouveau pour garder la masse des esprits concentrés sur une thématique effrayante.
On apprend que la pandémie a exacerbé les effets dévastateurs du réchauffement climatique (tu la sens monter la peur, tu la sens ?) et qu’il faut donc mettre tout en œuvre pour lutter contre ce fléau (https://www.france24.com/fr/am%C3%A9riques/20210421-pas-de-r%C3%A9pit-en-temps-de-pand%C3%A9mie-pour-le-r%C3%A9chauffement-climatique).
Notre cher Président Macron (si si, il nous coûte très cher) a d’ailleurs récemment twitté que la Finance serait notre alliée (https://twitter.com/EmmanuelMacron/status/1385243093927092230) pour la lutte (finale ?). Rien de moins étonnant pour un ancien banquier.
Factuellement donc, toutes les grandes instances mondiales se mettent en marche pour lutter contre la prochaine plaie qui s’abattra sur le monde.
Et c’est là que le Covid vient tenir son rôle.
Evidemment dans l’histoire de la pandémie il avait le 1er rôle, mais une pandémie ça ne peut pas durer éternellement et comme on a quand même sacrément investi sur lui, on va pas le mettre à la poubelle. Allez Covid tu continues à jouer mais en deuxième ligne.
Une pandémie, c’est utile, c’est pratique car cela permet de se faire un max de thunes rapidement (surtout qu’on nous annonce qu’il faut finalement beaucoup, beaucoup vacciner : 3 doses au lieu de 2 et tous les 6 mois s’il vous plait), de deux cela permet de mettre les gens en condition pour vivre à fond la prochaine histoire qui fait peur. Bouh !
Car pourquoi autant de confinements alors que rien ne prouve factuellement que cela a un impact sur l’épidémie (la Suède, la Corée du Sud sont des contre-exemples) ?
Pourquoi une accélération du contrôle total de la population dans les pays les plus « pollueurs » ?
Ce n’est certes qu’une hypothèse mais je crois qu’avec les restrictions imposées pour la gestion (catastrophique) de la crise sanitaire, on prépare en fait les esprits à accepter les nouvelles règles de vie à venir qui seront imposées sous le prétexte ultime de « sauver la planète ». (sic)
Pour sauver la planète il faudra renoncer à certains plaisirs (ski, consommation de biens non essentiels).
Pour sauver la planète il faudra accepter de se confiner 2 fois par an pour faire baisser le taux de CO2 (qui deviendrait le nouveau taux d’incidence).
Pour sauver la planète il faudra accepter une dépopulation.
Pour sauver la planète il faudra accepter d’être contrôlé tout le temps pour s’assurer qu’on ne nuit pas à notre mère nourricière la Terre.
Vous avez aimé être culpabilisé pour sauver vos papis et mamies et pour ces pauvres âmes en réanimation ? Vous allez adorer porter le lourd fardeau du sort de la planète sur vos épaules !
Les médias joueront ici encore une fois leur rôle de haut-parleur pénible mais efficace, rabâchant matin midi et soir ce qu’il faut croire et penser. Une déformation de la réalité mais pour qui ? Pour quoi ?
C’est le moment de l’article pour faire fonctionner son imaginaire si fertile…
Pas de solution pour échapper aux contes effrayants et mortifères ?
Si bien sûr ! Tout est question de choix.
Ce qui peut marcher (par expérience) :
1 : éteindre la télé et la radio (on s’informe en lisant) et utiliser ce nouveau temps libre pour respirer, méditer, reprendre contact avec la (sa) vraie nature.
2 : réfléchir sur la place de ses croyances et le rôle de l’autorité (parentale, institutionnelle) dans sa vie.
3 : lister ce qui est important dans sa vie, ce qui (nous) fait du bien. Poser à l’écrit avec des mots bien choisis la trame qui sert de repère quand les nuages s’amoncellent parfois.
Refaire lien avec l’humain car si les politiques et médias, marionnettes du pouvoir caché, cherchent autant à nous diviser à coup de différences de couleur de peau, de religions, de genres, et autres cases de prison, c’est uniquement parce que si nous comprenons enfin notre interconnexion et interdépendance alors aucune histoire qu’ils nous vendraient de force n’aurait de prise sur nous. On pourrait être libre d’être.
>> Un article de l’Étrangère, publié tout d’abord sur Agoravox.
Source : Et si cette « pandémie » n’était qu’une préparation mentale pour la suite ? – Le Vilain Petit Canard
Source: Lire l'article complet de Les 7 du Québec