Chaque année, on se demande comment Hollywood pourra aller plus loin dans le progressisme, ou plus bas dans la démagogie, et chaque année, on est surpris. Le cru 2021 a rendu un hommage masochiste à George Floyd qui n’était ni acteur ni réalisateur, mais les communautés noire et gauchiste, main dans la main, ont jugé bon d’en faire un héros victimaire, un modèle de vertu, une star de l’égalité. Fidèle au poste sociétal, Hollywood a suivi et rendu un hommage obligé au délinquant mort étouffé sous le genou d’un policier et sous l’effet du Fentanyl, les experts discutant encore de la part du genou et de la drogue dans cette mort très médiatisée.
Chacun a rendu à sa façon un hommage au « héros » disparu. Glenn Close a même fait un twerk, ce message fort envoyé à la communauté noire en deuil. On a retrouvé une photo de l’actrice la plus nominée d’Hollywood, on pense ça lui rappellera de bons souvenirs.
Un seul mot nous vient à l’esprit : beauté ! On trouve même à Glenn (une copine) un faux air de Robin (Williams), le grand acteur comique dépressif qui a fini pendu. Ça fait beaucoup d’adjectifs mais parfois on n’a pas le choix. Ainsi l’hydre progressiste a-t-elle distribué ses statuettes, ce 25 avril 2021, pas selon la qualité professionnelle, mais selon les critères intersectionnels.
C’est désormais une norme, et on ne va pas refaire le même papier chaque année, ça risque de devenir un marronnier déprimant. On profite juste de cette distribution morose pour deviner quels sont les catégories discriminées qui ont le vent en poupe, autrement dit, quelles sont les victimes bankable du moment, du côté de la Californie.
Black statuettes matter
On vous doit la vérité : normalement, si on était honnêtes, on aurait regardé la cérémonie jusqu’au bout, et on aurait analysé la chose. Là, l’envie manquant, on a juste récupéré des tweets de victoires progressistes de la presse mainstream. C’est vil, mais c’est une façon de ne pas se salir les mains. Car il y avait de quoi. La presse s’est pissé dessus de bonheur en découvrant l’avalanche de trophées pour Nomadland, un film-route sur la tolérance. La réalisatrice est asiatique, on va dire un point pour les Jaunes, zéro pour les Noirs. Peut-être que c’est mérité, on n’a pas été voir le film, les cinémas étaient fermés par Bill Gates & Albert Bourla, deux sommités du gouvernement mondial.
L’Oscar de la démago de la soirée est attribué à Regina King, une actrice racisée, qui a rendu hommage à George Floyd, l’humaniste qui a braqué une femme enceinte. Certes, France Info nous dit que c’était un « gentil géant », mais ça dépend pour qui.
Les Blancs pris en otage dans la salle, bien cadrés par la réalisation antiraciste, ont été obligés d’applaudir poliment les salades racistes de Regina. D’aucuns diront, ouais mais après ce que les Blancs nous ont fait, c’est à nous de nous venger maintenant et d’avoir le droit d’être racistes, man. Pourquoi pas ? Mais ça règle pas le problème : au lieu d’un racisme, on en a deux. Il aurait fallu pardonner, les gars, et on n’en parlait plus.
Or, là, on vous parie les 5 kilos de cendres du gentil géant qu’après l’égalisation des Noirs à la mi-temps, les Blancs vont reprendre l’avantage pendant les prolongations (l’arbitre sioniste est, au fond, avec eux), car on sent que le nouveau racisme autorisé des Noirs va provoquer un racisme défensif des Blancs. On se fait bien comprendre ? En gros c’est du œil pour œil à la Yahvé, ce truc infernal où tout le monde finit aveugle. Yahvé, pas Jawohl, attention.
La floydasse de service, c’est fait, passons à la vieille Blanche qui twerke (la danse nègre du popo qu’on voit dans tous les clips de rap avec d’adorables pouffes qui illustrent la réussite sociale du chanteur).
Non, attendez, on allait oublier Travon Free ! Pour le plaisir, on vous sert le paragraphe de Ouest-France en entier :
Dans son discours de remerciement, Travon Free [un non-Blanc non-femme] a également fait résonner la voix de George Floyd, et de tous les Afro-Américains tué par des policiers. Primé pour le meilleur court-métrage, Two Distant Strangers raconte l’histoire d’un dessinateur noir bloqué dans une boucle temporelle : il se réveille chaque jour pour finir tué par un policier. « En moyenne, la police américaine tue trois personnes par jour. Et ces gens sont noirs, de façon disproportionnée » a dénoncé le comédien, qui a demandé à chacun de « ne pas rester indifférent ».
L’Oscar de la transformation physique à Marie Portolano
Un des Oscars les plus importants, c’est celui du maquillage et de la coiffure. Pour vous dire l’importance de ce métier, il faut comparer Marie Portolano au début de son doc sur les salauds de mecs, puis en plateau du Canal Football Club, quand elle y officiait encore (elle a été transférée sur M6, en Ligue 2, quoi). La transformation est fantastique et on peut applaudir comme les singes avec les paumes le tour de force : une quelconque en début de vidéo devient une princesse à partir de 1’24 ! C’est la citrouille magique !
Effectivement, Portolano 1, on n’a pas trop envie de lui soulever la jupe, Portolano 2, on se retient parce qu’on est des gentlemen. Les femmes sont vraiment très fortes pour se transhumaniser. Nous, les hommes, on n’a pas droit au maquillage, et quand on va chez le coiffeur, il est gay à 95 %, donc on la joue gay-friendly pendant 30 minutes (les mecs qui laissent 30 ou 40 balles se font expédier, pas les nanas, qui laissent 150 balles en moyenne chez le transformateur, et encore, elles repartent souvent avec des produits de « beauté » super chers).
Petite galerie transformiste en guise de cadeau pour ceux qui ont eu le courage d’aller jusque-là :
Donc big up pour la maquilleuse-coiffeuse de Martyr Portorico, franchement.
Allez hop, retour aux USA avec le discours à la con du plafond de verre et du parquet en contreplaqué, discours qui nous rappelle celui de cette pauvre folle d’Hillary pendant sa campagne, fin 2016. Elle annonçait qu’enfin, le plafond de verre qui empêche les femmes d’arriver au sommet allait être brisé. Après ça elle a été se cacher dans sa suite pour organiser sa crise de nerfs.
Pendant qu’on est sur Hillary, en guise d’interlude, on a retrouvé une photo de famille avec Ghislaine, Jeff et Bill :
Ah, cette brave Ghislaine, rabatteuse de petites filles pour son ogre de « mari » (ils ne sont pas mariés devant Dieu mais devant Satan), avec les caméras qui tournaient derrière la glace sans tain, ensuite fallait passer à la caisse pour remplir celles du Mossad, le service qui doit trouver son budget tout seul dans tous les trafics imaginables, même les plus sales.
C’était le bon temps : aujourd’hui, à Hollywood, les pédos doivent faire ultra gaffe, la filière Maxwell-Epstein est crevée, il faut se rabattre sur le Cambodge, le Burkina… Pas facile, la vie de pervers traqué. Pire que les anciens nazis pourchassés par le Mossad !
Un monde de trans normal
Qu’on vous mette le plafond de verre quand même :
« Donc je souhaite adresser mes remerciements à nos ancêtres, à nos aînés, qui ont insisté quand on leur niait leur destin, qui n’ont jamais baissé les bras, et je suis ici avec une femme, nous cassons le plafond de verre, c’est tellement enthousiasmant pour l’avenir ! Parce que j’imagine des femmes trans, noires, ici sur scène, je pense à elles, je pense aux femmes des communautés otoktones [sûrement une tribu d’Indiens, NDLR], et je sais qu’un jour ce ne sera pas inhabituel, ce ne sera pas nouveau, ce sera tout simplement normal. »
« Nous cassons le plafond de verre ! »
Le discours engagé de Mia Neal qui remporte l’Oscar du meilleur maquillage et coiffure pour le film Le Blues de Ma Rainey #Oscars pic.twitter.com/K7UAAGJF2W— CANAL+ Cinéma (@CanalplusCinema) April 26, 2021
« Nous cassons le plafond de verre ! », lance cette idiote qui n’a même pas compris que tout est bidonné de A à Z, et que son Oscar ne vaut rien puisque c’est le sociétal qui a pris le pas sur l’artistique. Franchement, on serait noir, on boycotterait cette parodie de concours.
On va terminer sur Glenn, qui s’est rabaissée à faire un twerk pour faire genre moi aussi, je suis un peu noire quand même, merde.
La vieille copine d’Harvey est vite passée du weinsteinisme au noirisme, vous trouvez pas ? Quand on sait à quel point les comédiens savent mentir, on parie 100 dollars que Glenn est honteusement raciste au fond d’elle-même. Hollywood, ce paradis de la triche, nous fait penser au cinéma français des années 30 et 40 : pro-juif avant 40, anti-juif après. Puis à nouveau…
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation