Le mercredi 14 avril, le géant des sodas a écrit une lettre au Washington Examiner concernant la législation électorale et a déclaré:
«Nous restons ouverts à des conversations productives avec des groupes de défense et des législateurs qui peuvent avoir des points de vue différents… Il est temps de trouver un terrain d’entente.»
Il aura donc fallu quelques jours pour que coca-Cola change de ton et baisse la voix… il veut maintenant trouver un terrain d’entente.
Le «point culminant» du Jour de la Terre, le 22 avril, a été de savoir comment l’Amérique offrirait la citoyenneté ou une protection juridique aux «migrants climatiques».
Les démocrates prétendent que la récente vague de migrants n’est pas due à l’arrivée de Biden au pouvoir ou à ses politiques de frontières ouvertes et de régularisation, non, le responsable est le CHANGEMENT CLIMATIQUE en Amérique centrale.
Le secrétaire d’État Antony Blinken a également affirmé que c’est la «crise climatique» qui entraîne ces migrations du Triangle du Nord vers les États-Unis.
Pourtant, quand Biden a organisé son premier sommet sur le climat de 2 jours avec 40 dirigeants du monde entier, il n’a pas invité les dirigeants du Triangle du Nord.
Après que l’Australie a refusé mercredi deux accords Belt and Road avec Pékin, le chef du régime chinois Xi Jinping l’a rebaptisé «Green Belt and Road».
Xi est apparu jeudi matin au sommet sur le climat de Biden pour promouvoir le nouvel accord.
La veille du Jour de la Terre, la représentante radicale Alexandria Ocasio-Cortez a réintroduit le Green New Deal, mais en franchissant une nouvelle étape.
L’injustice raciale serait une cause du changement climatique:
«Nous devons reconnaître dans la législation que le piétinement des droits des autochtones est une cause du changement climatique, que le piétinement de la justice raciale est une cause du changement climatique»
Je vous parlais dans une précédente émission de la marge de plus en plus faible des démocrates à la chambre et au sénat.
Eh bien les démocrates ont trouvé la solution : faire de Washington le 51e état des Etats-Unis et ainsi récupérer 2 siège au sénat, 1 siège à la Chambre et 1 gouverneur…
Le premier ministre de l’Ontario, Doug Ford, s’est excusé en larmes jeudi pour ses mesures extrêmes de confinement.
Ford a imposé la restriction la plus stricte et le plus long verrouillage de tout le territoire nord-américain.
Sans surprise, l’Ontario a également connu un pic de suicides et de dépression.
Lundi soir, Trump a eu sa première interview télévisée avec Sean Hannity pour Fox News depuis son départ en janvier.
Trump a réitéré que son objectif actuel était d’aider les républicains à reconquérir le Congrès en 2022.
Il a déclaré que la course au Sénat serait une bataille plus difficile, mais lui et son équipe seront activement impliqués.
Hannity a également demandé à l’ancien président s’il comptait se présenter en 2024.
En novembre dernier, le Bureau de l’éducation de Santa Clara en Californie a organisé une formation pour les enseignants intitulée Ethnic Studies Initiative.
La session de formation comprenait une présentation de Jorge Pacheco, président de la California Latino School Board Association.
Ce qui est étrange, c’est que Pacheco a dit que les enseignants devraient faire très attention lorsqu’ils enseignent à distance parce que les parents peuvent aussi écouter à côté.
Il a déclaré: «[Nous] devons faire très attention à ce qui est dit, car nous ne pouvons pas simplement dire quelque chose de controversé maintenant que nous sommes chez les gens [à cause de l’apprentissage à distance]. Les parents peuvent sortir de leur contexte ou voir quels matériaux sont utilisés »
Qu’enseignent-ils et pourquoi le cachent-ils?
Le matériel pédagogique de Pacheco est basé sur le travail de Paulo Freire, un marxiste brésilien connu pour avoir inventé le terme de «pédagogie des opprimés».
Source : Lire l'article complet par Carrefours du monde
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