Ce n’était qu’une petite épidémie de grippe saisonnière, puis un variant inconnu (indien?) du SARS-nCoV-2 et, depuis quelques jours, le résultat d’attaques aux armes à énergie dirigée…Le coupable désigné est encore une fois la Russie.
Le mal dont souffrent depuis quelques jours les militaires US en Syrie est toujours un mystère. Un nombre important de soldats US déployés en Syrie présentent des symptômes d’une maladie inconnue caractérisée par de violents maux de tête, des diarrhées, des courbatures, une confusion mentale, un raidissement des membres, des douleurs diffuses dans la poitrine et pour certains cas des convulsions.
Après avoir suspecté un nouveau variant COVID-19, les enquêteurs militaires US accusent désormais la Russie d’avoir sciemment dirigé des rayonnements électromagnétiques sur des soldats US en Syrie.
Cette accusation rappelle étrangement les multiples et incessantes accusations d’usage d’armes soniques et électromagnétiques contre les personnels de l’ambassade US à La Havane, Cuba.
Durant la seconde guerre mondiale, les Allemands ont tenté d’utiliser des rayons X pour endommager les pistons des moteurs à explosion ou neutraliser des humains. Après la guerre, les soviétiques se sont aperçus que certains de leurs puissants radars tuaient les oiseaux et avaient un impact physiologique sur les êtres vivants.
Il semble que les forces US en Syrie orientale et méridionale soient confrontées à des problèmes de santé assez préoccupants. Certains camps ne sont plus opérationnels tandis que d’autres fonctionnent à 10% de leur capacité. Ce qui explique les renforts importants en troupes et en aéronefs à destination de l’Irak, lesquels s’apparentent à une nouvelle intervention militaire US dans ce pays. Détail curieux, il n’y a jamais eu autant de livraisons de Tylenol (Acétaminophène) aux forces US en Irak et en Syrie que durant ces deux dernieres semaines.
Le mal dont souffre les militaires US en Syrie demeure inconnu et ressemble à celui dont souffrent parfois des personnes vivant près de lignes électriques de très hautes tension ou de bornes emettrices de micro-ondes (téléphonie mobile). Il pourrait aussi être causé par les drogues administrés aux soldats avant le déploiement (les vétérans de la guerre du Golfe de 1991 souffrent encore d’un mal inconnu à ce jour) ou par la propagation d’un virus mutant comme c’est fréquemment le cas.
Côté russe, cette accusation d’usage d’armes à énergie dirigée est saugrenue. Les russes affirment que c’est les Américains qui utilisent le plus ce type d’armes en Syrie et que c’est eux qui passent la majeure partie de leur temps à brouiller les transmissions électromagnétiques et les signaux GPS. Les russes disposent toutefois d’une solide capacité de contre-contre mesures électroniques sur le littoral méditerranéen de la Syrie qui a permis d’éviter pas mal de déboires mais estiment qu’en matière d’armes à énergie dirigée, ce sont les forces US qui se trouvent illégalement en Syrie en violation flagrante du Droit international qui ont voulu jouer à ce petit jeu du rayon invisible en dépit du manque d’énergie électrique en Syrie.
Affaire à suivre…
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