par Nicole Delépine.
La dictature sanitaire imposée depuis un an est un dramatique échec
Depuis plus d’un an, nous subissons une politique totalitaire absurde appuyée par une propagande terrorisante diffusée par tous les médias. Plus de contacts sociaux, arrêt des activités scolaires, universitaires et sportives. Interdictions de travailler pour la plupart des professionnels du spectacle, de la restauration. Astreinte à domicile de la population saine, emprisonnement des pensionnaires d’EHPAD même vaccinés, masques obligatoires même pour les enfants, même à l’extérieur, même seul en forêt ou en montagne. Et ce pour suivre une prophétie apocalyptique, sans aucune justification scientifique basée sur des faits.
Vue d’Allemagne, la France est devenue l’Absurdistan
Un an de cette expérience sociale jusqu’ici inédite montre que la prophétie de Ferguson de l’Imperial College, conseiller de B. Johnson et de l’OMS, basée sur des hypothèses inexactes, était totalement fausse, surestimant les risques réels de la maladie par presque dix. Aucun des pays qui ont refusé d’appliquer le confinement aveugle qu’il proclamait indispensable n’a subi les décès annoncés ni vu ses hôpitaux débordés.
L’analyse rétrospective des données de l’OMS prouve que ces mesures liberticides ont été totalement inefficaces sur l’épidémie. La France se situe actuellement dans le top 6 des plus fortes mortalités européennes par million d’habitants attribuées au Covid-19 avec tous les autres grands pays européens qui ont appliqué cette politique de confinement aveugle (ne séparant pas les malades des biens portants). L’inefficacité de ces mesures liberticides est affirmée par toutes les études scientifiques publiées par des analystes indépendants des gouvernements qui les ont imposées et des élèves du prophète Ferguson. La comparaison avec l’évolution des pays qui ne les ont jamais appliquées comme la Suède, la Finlande, la Biélorussie qui pleurent beaucoup moins de victimes directes et collatérales que nous, est cruelle.
Conséquences dramatiques des confinements
De plus, la nocivité considérable de ces mesures est maintenant avérée avec de graves pertes de bien-être actuel et futur, dues au chômage, à la pauvreté, à l’insécurité alimentaire, à l’interruption des soins de santé préventifs, diagnostiques et thérapeutiques, à l’arrêt de l’éducation de la jeunesse, à la solitude et à la détérioration de la santé mentale et à la violence conjugale.
Ces dégâts dus au confinement sont aujourd’hui reconnus même par ceux qui en ont été les avocats comme l’expert canadien Anthony Furey et des membres du comité scientifique français (Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, et Denis Malvy) dans un court article au Lancet.
« L’impact de l’enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire à venir étant le taux de chômage et la dette nationale. Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient à faible risque en termes de morbidité et de mortalité par infection par le SRAS-CoV-2 ».
Leurs conclusions sont claires.
« Par conséquent, il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur et sur un confinement généralisé apparemment aléatoire et stop-start comme principale réponse à la pandémie ».
Mais la majorité des politiques ne savent pas comment abandonner cette politique catastrophique de la peur sans perdre la face ?
Il faut en effet l’honnêteté des Scandinaves pour reconnaître comme Camilla Stoltenberg, directrice générale de l’Institut norvégien de santé publique : « les résultats obtenus avec confinement ou sans confinement auraient été similaires ».
Soulignons encore l’honnêteté et le courage dont a fait preuve la première ministre norvégienne Erna Solberg lors d’une allocution à la télévision norvégienne.
« Certaines, voire la plupart, des mesures sévères imposées, comme la fermeture des écoles, n’étaient peut-être pas nécessaires. J’ai probablement pris de nombreuses décisions par peur ».
Il lui aurait été tellement plus facile de se glorifier d’une des plus basses mortalités européennes, attribuée au Covid-19. Au 20/4/21 la Norvège compte 162 morts par millions d’habitants contre 1 540 en France.
Mais reconnaître ses erreurs n’est pas une attitude habituelle de nos dirigeants.
L’espoir de la sortie de crise par les vaccins s’évanouit avec les mutants
La prophétie de Ferguson prévoyait la fin du confinement avec l’arrivée d’un médicament nouveau (tel que le Remdesevir) ou des vaccins. On peut même se demander si le seul but de ses colossales « erreurs » de prévision n’était pas de faire la promotion de médicaments nouveaux créant ainsi un marché mondial colossal.
Mais les vaccins, toujours expérimentaux (les premiers résultats définitifs sont espérés pour 2123), mis trop rapidement sur le marché, sont suivis de trop nombreuses complications observées même chez des personnes qui ne risquaient rien du Covid19 (les moins de 60 ans) et pour lesquelles la balance avantage risque est considérablement négative.
De plus, l’espoir de contrôler l’épidémie par les vaccins semble s’évanouir avec l’évasion immunitaire liée à l’apparition de mutants de plus en plus nombreux.,
Au point que le comité scientifique le reconnaît à demi-mot :
« des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin. Cette évolution, associée à l’émergence de mutants d’échappement immunitaires, a été observée non seulement avec le SRAS-CoV-2, mais également avec d’autres virus. Une telle évolution pourrait être assistée par le déclin de la réponse immunitaire et notamment de la réponse anticorps. L’arrivée rapide des variantes du SRAS-CoV-2 telles que les variantes identifiées pour la première fois en Afrique du Sud et au Brésil suggère une soi-disant évasion immunitaire naturelle ».
« Ce changeur de jeu virologique a de nombreuses conséquences, non seulement pour les vaccins et les traitements, mais aussi pour les stratégies de prévention et de contrôle. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, à mesure que de nouvelles variantes émergent et que l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme ».
L’exemple de la recrudescence brutale de l’épidémie et du reconfinement récent de la population chilienne, pourtant la plus vaccinée d’Amérique latine, l’illustre clairement.
Pour retrouver sans risque nos libertés, laissons les médecins prescrire
Jamais dans l’histoire de notre pays des gouvernants n’avaient interdit aux médecins de traiter leurs malades. Ce gouvernement l’a fait ! Et cette décision sans précédent est vraisemblablement responsable de 30 000 à 50 000 morts de Covid-19. L’Inde dont le système hospitalier est en plus mauvais état que le nôtre et qui compte le plus grand nombre de contaminés du monde a recommandé les traitements précoces par chloroquine dès avril 2020 et compte actuellement 12 fois moins de morts par millions d’habitants que nous.
Il est vrai que l’un des objectifs de santé publique de notre ministre de la Santé semble de mettre à l’écart des décisions médicales le corps médical, comme le confirme sa politique de vaccinodromes malgré l’échec de sa campagne H1N1.
Il faut oser revivre ! Suivons l’exemple du Texas
Rappelons les conclusions du rapport d’António Guterres, neuvième secrétaire général des Nations unies présenté le 23 avril 2020 soulignant comment les droits de l’homme peuvent et doivent guider la réponse et le rétablissement du Covid-19. Malheureusement ce rapport a été trop ignoré dans la pratique.
« Les gens – et leurs droits – doivent être au premier plan. Plus que jamais, les gouvernements doivent être transparents, réactifs et responsables. L’espace civique et la liberté de la presse sont essentiels. Les organisations de la société civile et le secteur privé ont un rôle essentiel à jouer ».
Les mesures liberticides qu’on nous impose inutilement et la propagande de la peur détruisent tout ce qui fait notre civilisation. L’homme est un animal social ; sans ces contacts nous perdons notre humanité. Osons revivre comme des hommes civilisés ; n’ayons plus peur de vivre. Redonnons espoir aux Français et tout particulièrement à notre jeunesse. Libérons-la. Libérons-nous.
Ces mesures prétendument sanitaires n’étaient pas nécessaires. La Suède, la Finlande, les Pays-Bas, la Biélorussie qui ne les ont pas imposées à leurs peuples ont une mortalité attribuée au Covid-19 plus faible que la nôtre. Et les états qui s’en affranchissent ne voient pas l’épidémie revenir.
Contrairement aux « covidterroristes » qui prétendent sans preuve scientifique que l’obligation de port généralisé du masque est utile et qui comme Karine Lacombe affirme que sa suppression sera difficile : « ça, ce sera très compliqué, probablement pas avant 2022 », la suppression de cette obligation est sans risque et ne semble perdurer que pour alimenter la peur et la soumission.
Au Texas, le gouverneur Greg Abbott a supprimé l’obligation de port de masque, par décret le 2 mars 2021 et levé toutes les autres restrictions.
Le président Biden avait critiqué cette décision en la qualifiant de « pensée néandertalienne » et le directeur du CDC Fauci prévoyait que la mortalité allait exploser.
Pourtant la réouverture des écoles et universités, des commerces et des compétitions sportives au public ne s’est pas accompagnée de recrudescence de l’épidémie ! Au contraire, depuis la reprise d’une vie normale, la mortalité quotidienne attribuée au Covid-19 diminue au Texas, alors que ce n’est pas toujours le cas dans les états qui vaccinent largement et maintiennent les restrictions de liberté !
Et ce n’est pas la vaccination qui a permis ce recul de la mortalité, car moins de 10% de la population du Texas est actuellement vaccinée.
Pendant ce temps, dans le Mississippi, qui a levé son obligation de port du masque le 3 mars, il y a eu une baisse de plus de 50% des cas suspects de Covid19.
En matière de santé aussi la démocratie est plus efficace que la dictature !
Suivons l’exemple de ces états américains. Libérons-nous !
source : https://nouveau-monde.ca
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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