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Comme beaucoup d’animaux, l’homme a une vision très développée qui lui permet de se repérer très efficacement dans son environnement. Son cerveau reçoit et traite en permanence un flux considérable d’informations transmises par les nerfs optiques, et nées de la formation d’images bidimensionnelles sur les rétines.
L’importance du sens de la vue a conduit naturellement l’homme à créer ses propres images, depuis les peintures rupestres jusqu’aux hologrammes, en passant par le sténopé, l’invention de la photographie et celle du cinématographe. Des prothèses comme les lunettes astronomiques et les télescopes, pour le très lointain, ou les microscopes, pour le très petit, lui ont aussi permis de reculer les limites de sa vision.
De ce sens « naturel » jusqu’à ses extensions, la formation des images obéit toujours à des règles formalisées par une science appelée optique, mais dont les approches peuvent être très différentes, voire en apparence contradictoires, suivant les propriétés attribuées à la lumière. En énonçant ces règles et en étudiant leurs conséquences, nous tenterons de prendre du recul sur ces images tellement omniprésentes aujourd’hui qu’elles peuvent aussi, au lieu d’être une ouverture sur le monde, constituer un trompe-l’œil redoutable nous isolant de la réalité.
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