Ce soir la, je suis toute jeunette, en voyant JM Le Pen arriver au second tour, les tronches consternées de tous les journalistes et politiques, en entendant son discours, les acclamations de ses soutiens, je suis remplie de joie, d’espérance et de fierté. Je suis heureuse aussi pour lui, Le Pen, c’est une revanche.
Pourtant je suis comme 90 % des morveux de l’époque, Le Pen brrrrr !!!
Une amie me donne rendez vous peu apres : elle va a un rassemblement anti Fn et veut que je l’y rejoigne. Nous nous retrouvons et elle sanglote ! « Qu est ce qu’on va devenir ? Et ma petite sœur ! » Elle est mi antillaise mi métropolitaine et je lui sors naturellement « pour Le Pen, les antillais sont Français, vous ne risquez rien ».
Puis ça a été le tourbillon de la Quinzaine de la haine…je me suis dit que le 21 avril au soir, j’avais pete une durite, eut de mauvaises pensées…
Jusqu a ce que je découvre un certain Alain Soral, quelques temps plus tard.
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