La martingale de Bill Gates dévoilée

La martingale de Bill Gates dévoilée

par Georges Gourdin.

Chacun sait comment Bill Gates est devenu richissime avec les logiciels. Le milliardaire met à présent en œuvre la même méthode avec les vaccins. On ne change pas une méthode qui gagne. Une deuxième fortune assurée pour celui qui s’est autoproclamé « philanthrope ».

Premier truc : avoir un bon avocat

Bill Gates est fils d’un grand avocat d’affaires et petit-fils d’un richissime banquier (lire « Non ! Bill Gates n’est pas mon modèle ! » du 3 avril 2021).
Il ne fait pas de l’informatique, il fait du business et se borde juridiquement.

De la même manière, il ne se préoccupe pas de santé, il fait toujours du business et se borde juridiquement.

Deuxième truc : anticiper un besoin universel

Bill Gates a bâti sa fortune non pas en inventant des merveilles en informatique mais en imposant le système d’exploitation de son associé Paul Allen à tous les ordinateurs personnels.

Il fait pareil avec les vaccins. Comme un système d’exploitation sur un ordinateur, le vaccin doit devenir obligatoire. L’idéal aurait été une vraie « pandémie ». Cette « pandémie » ayant du mal à se déclencher, il est facile d’apeurer l’humanité en lui faisant croire qu’elle est en danger de mort. Tous les appuis médiatiques, politiques, institutionnels sont sollicités en retour des subventions qu’ils perçoivent.

Macron prend toute sa part dans ce scénario, lui qui nous incite à nous « vacciner, vacciner, vacciner » alors que le virus ne tue pratiquement plus personne :

À partir de là, nous mettons tous les moyens pour vacciner, vacciner, vacciner. Sans répit, sans jour férié. Le samedi et le dimanche comme la semaine.

Troisième truc : monétiser la propriété intellectuelle

Les logiciels informatiques étaient très facilement duplicables lorsque Bill Gates s’est associé à Paul Allen. Avec l’appui de son père avocat, il n’a eu de cesse d’aligner les logiciels sur le droit à la propriété intellectuelle. Il a pénalisé la copie de logiciels, ce qui n’est pas un mal en soi puisqu’un programme informatique représente des investissements réels qu’il faut bien financer.

Mais dans cette industrie les frais de fabrication sont quasiment inexistants, ce qui n’est pas le cas des produits manufacturés ou agricoles. À présent vous payez pour télécharger des fichiers.

Bill Gates a compris que le même « business model » pouvait fonctionner avec les vaccins. Il suit la voie tracée par John Davison Rockefeller, camelot qui a fait sa fortune dans le pétrole et qui s’est préoccupé de breveter les médicaments. À présent on attribue des brevets aux virus ! Breveter les maladies, il fallait y penser. Une fois cette privatisation du bien public accomplie, il est facile de dupliquer une potion qui ne coûte plus rien à fabriquer en masse.

Quatrième truc : imposer des mises à jour

Le système d’exploitation Windows n’a cessé d’évoluer, rendant très vite obsolètes des versions d’à peine quelques années. Même si l’ordinateur fonctionnait toujours très bien, toute une série de contraintes étaient mises en œuvre pour forcer les mises à jour, certes parfois « gratuites », mais pas toutes.

Ainsi naquit Windows Update qui assure une rente perpétuelle à plusieurs milliards à son concepteur.


Notre homme d’affaires a donc inventé la vaccination perpétuelle. À peine avez-vous reçu la première injection, qu’on vous annonce qu’il en faut en fait deux. À l’issue de cette deuxième injection, on vous annonce qu’on vous a vaccinés pour rien puisqu’un nouveau variant est survenu qui requiert un nouveau vaccin.


Bill Gates, qui n’est pas un imbécile, a appris de Microsoft et de ses parents ou amis banquiers : les meilleurs débiteurs ce sont les États. Vendre des logiciels requiert un réseau de distribution coûteux et complexe avec tous les aléas que cela représente.

Avec les vaccins, quelques grands laboratoires et l’OMS traitent directement avec les institutions supra-nationales, Bruxelles par exemple, puis ce sont les États qui paient. Ces États-Nations ringardes que l’on dépèce, mais que l’on garde juste parce qu’ils ont une capacité à collecter l’impôt qui paiera les vaccins.

Trop fort !

source : https://www.nice-provence.info

Source : Lire l'article complet par Réseau International

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À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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