par Gérard Delépine.
Les enfants ne risquent rien du Covid-19 ; vouloir leur injecter des vaccins non testés est criminel et inutile.
Depuis plus d’un an les lobbyistes des firmes pharmaceutiques rêvent d’imposer la vaccination anti-covid-19 à l’ensemble de la population mondiale en utilisant des obligations vaccinales et le chantage « vacciné ou socialement mort ».
Et depuis plus d’un mois ils s’attaquent aux enfants alors que ceux-ci ne risquent rien du Covid-19, qu’ils ne le transmettent pas et que rien ne prouve que les vaccins puissent être efficaces et sans danger pour eux.
Les enfants ne risquent rien du Covid-19 et ne peuvent donc tirer aucun bénéfice individuel de la vaccination anti-covid-19.
Toutes les séries rapportées,,,,,, et tous les relevés nationaux et internationaux confirment tous que le Covid-19 est rare et presque toujours bénin chez l’enfant, et qu’ils risquent moins du Covid-19 que de la grippe saisonnière.
En France, depuis un an, Santé publique France n’a comptabilisé que 3 morts attribuées au Covid (tous souffraient de maladies chroniques, de cancer ou d’immunodéficience) sur près de 8 millions d’enfants et adolescents de moins de 15 ans alors que la grippe fait en moyenne 8 victimes chaque année dans ce groupe d’âge.
L’OMS confirme que les enfants ne risquent pratiquement rien :
Ce risque infime fait qu’aucun bénéfice individuel ne peut être espéré de la vaccination chez les enfants alors que des complications post-vaccinales parfois graves, allant jusqu’à la mort, sont rapportées partout dans les médias.
Les enfants ne sont pas des vecteurs de propagation de la maladie ; les vacciner ne changerait en rien l’évolution de l’épidémie.
Toutes les séries rapportées et tous les relevés nationaux et internationaux montrent que les enfants et adolescents ne sont pas vecteurs de transmission et qu’ils ne sont pas contaminés par les camarades d’école, mais habituellement par les parents à domicile.
Plus de 20 études épidémiologiques dans une dizaine de pays ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d’enfants de moins de 15 ans : aucune n’a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.
L’étude de l’INSERM est très démonstrative. L’enfant des Contamines a été en contact, alors qu’il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club. Il n’a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie. Et l’infection apportée de Singapour par un adulte est restée cantonnée aux occupants du chalet.
L’étude de l’Institut Pasteur sur les écoles primaires de Crépy-en-Valois a porté sur 1 340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Parmi 510 élèves de six écoles primaires, ils ont identifié trois enfants de trois établissements différents qui étaient infectés au moment où les écoles étaient encore ouvertes. Aucun de ces trois enfants n’a contaminé quiconque, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.
L’étude Coville, du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de Pédiatrie, a porté sur 600 enfants, de la naissance à l’âge de 15 ans permet de conclure que : « sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien ».
Aux Pays-Bas, les enfants âgés de 0 à 17 ans ne représentent que 1,3% de tous les patients déclarés avec Covid-19, bien qu’ils représentent 20,7% de la population. Seulement 0,6% des hospitalisations signalées concernaient des enfants de moins de 18 ans et Il n’y a pas de cas d’enfants décédés du Covid-19. Une étude des ménages aux Pays-Bas a rapporté des données sur 116 enfants de 1 à 16 ans et les résultats préliminaires ont montré que rien n’indique que les enfants de moins de 12 ans aient été les premiers infectés de la famille.
En Irlande, avant la fermeture des écoles aucun cas de contamination scolaire n’a été détecté parmi les 924 enfants et 101 adultes au contact de six infectés (trois enfants, trois adultes).
En Australie,, 9 élèves et 9 membres du personnel infectés par le SRAS-CoV-2 dans 15 écoles ont eu des contacts étroits avec un total de 735 élèves et 128 membres du personnel. Seules 2 infections secondaires ont été identifiées, aucune chez le personnel adulte. 1 élève du primaire a été potentiellement infecté par un membre du personnel.
En Suisse : sur un total de 4 310 patients atteints du SRAS-CoV-2, 40 étaient âgés de moins de 16 ans (0,9%). Parmi les 111 contacts familiaux positifs des enfants étudiés, les mères prédominaient (n = 39), suivies des pères (n = 32), des frères et sœurs pédiatriques (n = 23), des frères et sœurs adultes (n = 8) et des grands-parents (n = 7).
En Finlande un enfant de 12 ans qui allait à l’école durant sa maladie a été en contact avec 121 personnes et n’en a contaminé aucune.
En Grèce, l’analyse épidémiologique de 23 clusters touchant 109 personnes (66 adultes et 43 enfants n’a retrouvé aucun cas de transmission à partir d’un enfant.
À Singapour, deux écoles primaires et une école secondaire ont constaté des Covid-19 infantiles. Aucun des 34 contacts identifiés des écoles primaires ne s’est révélé positif. Parmi les 77 contacts de l’école secondaire, 8 ont développé des symptômes grippaux, mais aucun d’entre eux n’a été testé positif.
Sur les plus de 11 180 articles ayant pour sujet l’enfant et le Covid-19 répertoriés par PubMed le 9/4/2021 et les 1 794 spécifiquement dédiés à la transmission éventuelle par les enfants, aucun n’apporte la preuve d’une transmission d’un enfant à un autre enfant ou à un adulte dans le monde réel.,,,,
Les seuls articles qui évoquent cette possibilité se basent sur la charge virale ou sur des modélisations aux hypothèses fausses.
Certes des enfants scolarisés peuvent être malades ou testés positifs, mais chez les asymptomatiques, il s’agit le plus souvent de faux positifs (plus de 90%), ou d’infections anciennes qu’ils ont contractées à domicile et dont ils sont guéris. Les transmissions scolaires sont possibles, mais toutes celles qui ont fait l’objet d’une enquête épidémiologique sérieuse montrent qu’elles sont liées au personnel adulte.
Comme les enfants sont innocents de la transmission de la maladie leur vaccination, même si elle était efficace ne servirait à rien pour protéger les autres.
Les vaccins actuels n’empêchent pas la transmission de la maladie !
Dans les pays champions des campagnes de vaccination, les transmissions se poursuivent et sont même parfois augmentées.
Ainsi aux Émirats Arabes Unis la circulation du virus est plus intense depuis la vaccination
Même phénomène au Bahreïn :
Même évolution au Chili :
La comparaison des évolutions des mortalités en Grande-Bretagne confinée et très vaccinée et en Suède non confinée et peu vaccinée suggère même que la vaccination aggrave au moins transitoirement transmission et mortalité.
Cette très douteuse efficacité des vaccins actuels pour prévenir la transmission du virus est reconnue par la Haute Autorité de Santé et a été officialisée par O. Véran dans son argumentaire récent devant le Conseil d’État : « le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers ».
Même si les enfants étaient contagieux, leur vaccination serait donc inefficace pour protéger les autres puisque les vaccins ne sont pas capables d’interrompre la transmission !
Les vaccins ne sont même pas expérimentaux chez l’enfant : ils n’ont même pas été testés !
Chez les adultes, les vaccins sont expérimentaux puisque les essais ne seront pas terminés avant 2023. Chez l’enfant ils ne sont même pas expérimentaux car les essais excluaient jusque récemment les moins de 16 ans et que le premier essai chez l’enfant a été interrompu après un accident avant inclusion significative d’enfants cobayes.
C’est donc un médicament qui n’a pas du tout été testé chez eux et qui n’a pas reçu d’AMM même conditionnelle que les vaccinolâtres voudraient injecter aux enfants qui n’en ont pas besoin !
Pour retrouver nos libertés, il suffit de le vouloir !
L’argument de la vaccination des enfants « nécessaire pour retrouver nos libertés » agité par Stéphane Dhersin reprend le chantage classique des avocats du vaccin. Cet argument ne repose sur aucun fait scientifiquement établi mais sur des prophéties mathématiques truquées/fausses.
Les Suédois, les Biélorusses, les Finlandais, les Néerlandais qui n’ont jamais été confinés souffrent d’une mortalité inférieure à la nôtre.
Le gouverneur du Texas a supprimé toutes les contraintes prétendument sanitaires le 10 mars et depuis la mortalité baisse alors qu’elle augmente dans des États (Michigan, Minnesota) encore soumis aux restrictions sociales.
Dans un court article au Lancet, Delfraissy et quatre autres membres du Conseil scientifique déclarent qu’il faut changer de politique sanitaire, cesser d’utiliser les confinements épisodiques et ne plus compter sur la vaccination pour nous sortir de la crise. Pourquoi ne les écoute-t-on pas ?
N’ayons plus peur inutilement. Arrêtons de massacrer l’équilibre psychologique, la santé, l’éducation et l’avenir professionnel de nos jeunes. notre économie.
Et ne sacrifions pas les enfants sur des croyances et modélisations fausses qui ne peuvent être utiles qu’aux actionnaires des marchands de vaccins.
Les enfants ne risquent rien du Covid-19 et ne sont pas vecteurs du Covid-19. Vouloir leur injecter des vaccins non testés est criminel.
source : https://docteur.nicoledelepine.fr
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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