C’est par un tweet sobre et informatif que l’écrivain nationaliste français a annoncé sa libération, ce samedi 17 avril 2021 à 9 heures, de la prison de Fleury-Mérogis.
Hervé Lalin, dit Ryssen, a été enfermé pour ses écrits pendant 212 jours, qui ont été pour lui « éprouvants ». C’est la première fois en France dite démocratique qu’un écrivain est enfermé pour ses écrits, qui sont, d’un point de vue scientifique, inattaquables. Et pourtant, ils ont été attaqués.
Aussitôt, sur les réseaux sociaux (pas encore totalement censurés), ses soutiens se sont réjouis de la bonne nouvelle.
Dans cette océan de dictature progressiste, la libération de Herve Ryssen des geôles de leur République est à tout le moins une bonne nouvelle.
— hussard #WR (@sabre_au_clair) April 17, 2021
Je suis ravi d’apprendre que Hervé Ryssen est enfin sorti de prison.
Dans un pays normal, on enferme les criminels et on défend les patriotes. Ce n’est pas le cas dans cette République immonde.
Je souhaite à Hervé de prendre un bon repos et de profiter de sa famille. pic.twitter.com/KzsUgkqjwt
— Je Réinforme (@JeReinforme) April 17, 2021
Que les opposants au Système se réjouissent, mais sans oublier la dure réalité : une semaine avant la libération de Ryssen, Le Monde publiait un article extrêmement violent qui assimilait, dans un paragraphe, Vincent Reynouard à des « bourreaux et criminels de guerre » ! L’article décrit l’activité de l’Office central de lutte contre les crimes contre l’humanité, les génocides et les crimes de guerre (OCLCH), qui rassemble 34 enquêteurs. Dans cet organisme a été créé une division spéciale « dédiée aux crimes de haine »…
La division traite des infractions de droit commun en raison de l’appartenance de la victime à une ethnie, une nation, une race, une religion déterminée ou en raison de son orientation sexuelle. A compétence nationale, elle assure également son concours à des sections de recherche locales de la gendarmerie ou de la police.
Elle peut être saisie par tous les parquets de France, mais travaille particulièrement avec le pôle parisien spécialisé dans la lutte contre la haine en ligne. Elle échange également avec les pays étrangers. « On ne peut plus penser franco-français quand les mouvements sont, eux, internationaux », justifie sa patronne, qui rappelle les camps d’entraînement de survivalistes français organisés en Hongrie ou en Ukraine.
La division travaille ainsi sur les tags négationnistes badigeonnés en août 2020 sur le site d’Oradour. Elle tente d’obtenir l’extradition du Royaume-Uni du Français Vincent Reynouard, qui a pris la fuite après sa condamnation en novembre 2020 à quatre mois de prison pour négation de la Shoah. Elle a participé à la condamnation d’un Allemand qui avait érigé sur sa propriété en Moselle une stèle à la gloire d’une division SS suspectée du massacre de Maillé, en Indre-et-Loire, le 25 août 1944.
Ceci pour montrer que le Système, s’il peut les relâcher – il y a encore un droit en France –, ne lâche pas ses vrais opposants.
La réaction de Vincent Reynouard :
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation