Scènes ordinaires du “Bordel Lives Matter”

Scènes ordinaires du “Bordel Lives Matter”

Scènes ordinaires du “Bordel Lives Matter

• Nous faisons une petite revue de détail de la façon dont la présidence Biden perce et prend eau de toutes parts, dans un incomparable désordre que nous osons à peine désigner du beau mot de “bordel”. • Le jugement du sage sénateur républicain Lindsey Graham, sans doute le doyen du Sénat pour la sagesse, est celui-ci, dit avec grand calme : « Joe Biden devient un président incroyablement déstabilisant », – cela dit alors que Biden est un vieux compagnon, démocrate certes mais de la même génération de l’américanisme que Graham. • Mais c’est bien connu : se grimant en Jupiter postmoderne, “le Diable rend fous ceux qu’il veut perdre”. • Le gouvernement de Biden et les démocrates s’abîment dans les faux-pas tandis que l’idéologie-BLM risque de s’abîmer dans le fric de sa co-fondatrice. • Si l’on ajoute la cuirasse crisique que forme la Covid, on parvient à un paroxysme de la crise qui devrait inspirer le destin de la France (où l’on ignore absolument le tremblement de terre qui fait se désintégrer les USA). • La surpuissance du Système accouche sous nos yeux de son autodestruction.

17 avril 2021 – Il faut parfois, certains jours, mesurer le désarroi du commentateur indépendant se trouvant devant cet immense spectacle-bouffe que représente aujourd’hui la “scène américaine”, ou “bordel-bouffe de ‘D.C.-la-folle’”. A côté de cela, l’imperturbable récitation des nouvelles rassurantes de la puissance renée des USA depuis l’arrivée de Biden, sur la RTBF, la BBC ou le 28 Minutes d’Arte résonne comme une sorte de contre-satire dont on aimerait tant croire qu’elle est au troisième degré (comme la torture, mais dans l’ironie moqueuse parce que lucide).

Le monde officiel européen, – direction-zombie, presseSystème, zélites des salons et moutons de la bienpensance, – parviendrait-il encore, en concurrence avec D.C., à faire, – disons, pour l’exemple et sans s’arrêter au langage un peu leste, “plus con que con”, – à force de monter son spectacle-Potemkine ? Par exemple, – pour l’exemple encore, – en nous égrenant son incroyable et hebdomadaire “Poutine masse ses troupes sur nos frontières et s’apprête à envahir l’Ukraine”, qui constitue une de ces remarques obligées du simulacre auquel tout le bloc-BAO sacrifie d’un seul souffle et comme un seul crétin ?

Le commentateur indépendant et désorienté par tant de comique globalisé n’a plus qu’une issue : égrener quelques nouvelles éparses, quelques “scènes ordinaires” de la “scène américaine” pour faire mesurer la puissance de la cause de son désarroi en ce qui concerne cet aspect de la Grande Crise. Mais ce faisant, il nous fait sentir “quelque chose derrière les choses”, c’est-à-dire la puissance satirique extraordinaire, – même si complètement involontaire, – que l’Amérique déploie aujourd’hui pour se caricaturer elle-même, et en quelque sorte, dans une mise en scène formidable et comme si Hollywood avait appris l’art de la finesse, pour se désintégrer sous nos yeux et du fait de la puissance de son propre ridicule qu’elle active elle-même.

• Cela n’a l’air de rien, mais le Premier ministre japonais Yoshihide Suga était en visite à Washington D.C. cette semaine. A son arrivée à la Maison-Blanche, surprise ! Le POTUS Biden est indisponible, ou absent, ou jouant avec son chien, ou bien il dort, ou bien il est perdu quelque part, au hasard Balthazar, – nul ne sait exactement. Suga est donc reçu par la Vice-Présidente, dont la présentation est retranscrite par ‘The National File’ avec toute la ponctuation qui importe, qui mesure à elle seule la problématique catastrophique du pouvoir, suprême dans ce cas, aux USA :
« C’est maintenant mon très grand plaisir d’accueillir le Premier ministre du Japon, et de le remercier pour cette visite, qui est la première visite aux États-Unis d’un leader mondial… euh… depuis que nous sommes entrés en fonction… Euh… Le Président et moi-même sommes très excités par les conversations que nous aurons avec le Premier ministre… Euh… Comme vous le savez Monsieur le Premier ministre… [Euh, blablabla]… »

• « Joe Biden devient un président incroyablement déstabilisant » : voilà l’avis d’un des derniers sénateurs considérés comme un sage, Lindsey Graham, républicain de la Caroline du Sud. Son analyse de l’action de Biden dite dans un calme olympien est absolument terrifiante, dans ceci qu’elle mesure le chaos où cette politique plonge le pays et sa politique, sous la direction d’un président quasiment « d’extrême-gauche », selon Sean Hannity, de FoxNews, interviewant Graham. L’honorable sénateur de la Caroline du Sud, gay notoire et assumé avec élégance, fauteur de guerre un peu apaisé depuis le départ définitif de John McCain, semble se pencher presqu’avec une indifférence ironique sur un cadavre déjà puant dans sa carcasse déjà fortement faisandée.

• Le porte-parole du département d’État devient une sorte de métaphore du Mur des Lamentations, devant les sanctions russes prises pour répondre aux nièmes sanctions américanistes prises contre la Russie pour sanctionner des actions totalement simulacrées (de “simulacre”) par les centres d’influences US. Lamentations, et, la mort dans l’âme, les USA devront donc, peut-être bien, riposter savez-vous, presqu’avec grande peine ; eh oui, c’est “fort regrettable”, mais les USA sont bien cette puissance qui ne fait rien aussi bien qu’assumer ses responsabilités de force stabilisatrice des flux trop agités du monde, notamment de ce “Cloutine” (“Poutine” en langue Bidenesque) :
« La Russie ayant ‘blacklistés’ huit responsables US actuels et passés, et renvoyé 10 diplomates en représailles aux sanctions américaines, le département d'État a déploré cette réaction “escalatoire” et a déclaré que Washington pourrait réagir.
» “Nos récentes actions étaient proportionnées et appropriées aux activités nuisibles de la Russie. L’annonce faite aujourd’hui par le gouvernement russe est une escalade et c’est regrettable”, a déclaré un porte-parole du département d’État dans un communiqué vendredi soir. “Il n’est pas dans notre intérêt d'entrer dans un cycle d’escalade, mais nous nous réservons néanmoins le droit de répondre à toute mesure de rétorsion russe contre les États-Unis.” »

• L’un des grands projets révolutionnaires du parti démocrate, pour s’assurer une Cour Suprême (SCOTUS) à sa botte pour le reste du siècle et les autres qui suivent dans l’ordre, c’est le “Packaging Suprem Court”, c’est-à-dire ajouter d’un coup quatre Juges (tous progressistes, of course) aux neuf actuels. L’administration Biden travaille à un projet dans ce sens. La formule est unanimement rejetée, hors le parti et ses ordres, parce qu’elle réduit SCOTUS à un instrument partisan et que les réflexes constitutionnalistes de l’esprit américaniste ne sont pas tous anéantis. Même l’icône progressiste, la Juge-SCOTUS Ruth Bader Ginsbourg, morte peu avant l’élection présidentielle, avait condamné absolument de son vivant une telle formule, jugeant nécessaire une réforme de SCOTUS mais sur un intervalle de temps long suffisant, pour “laisser du temps au temps”, et la possibilité à toutes les tendances de s’exprimer.
« La chiffre [quatre Juges de plus] est calculé pour donner une majorité progressiste de 7-6 à la Cour. C’est aussi subtil qu’une attaque de B-52 », commente sarcastiquement Jonathan Turley, qui retient de moins en moins sa plume devant le chaos démocrate et bidenesque.

• Après la révélation burlesque et tartuffesque de ses aventures immobilières, Patrisse Kahn-Cullors, co-fondatrice des BLM (‘Black Lives Matter’) et « marxiste expérimentée » selon sa propre évaluation d’elle-même, a répondu à une interview de CNN, selon RT.com, qu’après tout son opulence était une sorte de don-de-soi fait aux Noirs et aux BLM tous-ensemble, puisqu’elle est Noire et BLM :
« “La façon dont je vis ma vie est un soutien direct aux Noirs, y compris aux membres Noirs de ma famille… Je vois mon argent comme n’étant pas le mien. Je le vois comme l’argent de ma famille aussi”.
» Mme Cullors a insisté sur le fait que ses dépenses extravagantes étaient normales, comme pour “tant de Noirs qui sont capables d'investir en eux-mêmes et dans leur communauté”, soulignant qu’“ils choisissent d'investir [leurs gains] dans leur famille et c’est ce que j'ai choisi de faire”. »

• … Sur le même sujet, Jonathan Turley note, dans un article dénonçant avec une mesure sarcastique et une prudence ironique cette étonnante tartufferie blacko-marxiste :
« [La direction du mouvement] BLM a ajouté que les reportages sur [les propriétés de Cullors] “perpétuent une tradition de terreur des suprémacistes blancs à l’encontre des militants noirs.”  Ce qui est néanmoins étrange, c’est que le chef des BLM de New York est l’un de ceux qui demandent une enquête et il semble logique de supposer qu’il ne fait pas partie de cette “tradition de terreur des suprémacistes blancs”. »

• Tamika Palmer, la mère de Breonna, abattue par des policiers en 2020 et dont les BLM firent un temps leur étendard dans la saison 2020 des manifestations-émeutes, se manifeste beaucoup pour attaquer les BLM. Mercredi, sur son compte Facebook, elle a dénoncé les BLM comme “une escroquerie”, ainsi que le député Scott du Kentucky, soutien de BLM et paraît-il de la famille Palmer, également estampillé “escroc” :
« Je pourrais entrer dans une pièce pleine de gens qui prétendent être là pour la famille de Breonna et qui ne savent même pas qui je suis. Je vous ai vu collecter de l'argent au nom de la famille de Breonna, dont nous n’avons pas eu le moindre cent… »

• … Lesquelles “manifestations-émeutes” ont repris, d’abord à Minneapolis, puis à Portland,  Chicago, etc. A Portland, ville de l’Oregon, qui est un État fortement gauchiste, un membre (blanc) des Antifas a été abattu par la police. Plein de bonnes intentions, le quotidien ‘The Oregonian’ a tweeté, semble-il, qu’il était inutile de se lancer dans une émeute (le tweet a été retiré rapidement)… pour cette raison, selon un lecteur assidu : « ‘The Oregonian’ assure la ville de Portland qu’il est inutile de lancer une émeute, du fait que l’homme abattu est un blanc. » Bref, on “riote” [du mot “riot”] sans hésiter pour les Noirs, éventuellement mais en traînant les pieds pour les Latnos, mais pas du tout pour les Blancs, fussent-ils Antifas. C’est une revanche question de chaises musicales.

• A Los Angeles, où l’on est chroniquement agité, ceci qui caractérise bien le type d’agitation : une femme de 70 ans a été attaquée dans un bus par une jeune Noire, pour se retrouver à l’hôpital avec la figure en piteux état. L’attaquante, âgée de 24 ans, a expliqué qu’elle avait pris la vieille “Becky” pour une Asiatique-Américaine alors que “Becky” est une Latino (« Mais on la prend souvent pour une Asiatique », dit son fils) ; bref, ceci explique cela… Donc, scènes ordinaires des étranges conséquences du mélange des genres & des races.

• Enfin, il y a une importante rubrique du désordre du Pentagone, dans ces circonstances politiques échevelées, où les événements les plus anodins se trouvent marqués de la même tension des affrontements raciaux tels qu’ils se trouvent alimentés par une communication échevelée. Sur la question des deux destroyers qui devaient pénétrer en Mer Noire au nez et à la barbe des Russes, et qui ont finalement été détournés pour ne gêner ni le nez ni la barbe, le Pentagone refuse de donner quelque précision que ce soit : on ne communique pas ! Il en reste à sa version héroïque selon laquelle l’entrée des deux unités en Mer Noire était une FakeNews lancée par les Russes pour pouvoir menacer à bon compte toute entrée de navires US en Mer Noire. Il se trouve pourtant qu’un officiel turc a confirmé officiellement, comme c’est son rôle, que les USA avaient retiré jeudi leur demande de passage déposée quatre jours plus tôt. “Cela ne prouve rien”, semble répondre le Pentagone silencieux parce que sentencieux.

Il est alors préférable de s’intéresser à la question de l’Afghanistan après l’annonce que le retrait des forces US, conclu par un accord avec les talibans, est repoussé de mai à septembre (au 11 septembre, préciserait-on, pour ceux qui ont l’amour des chiffres) ; d’où il se déduit :
1) que les talibans sont furieux et promettent un “cauchemar” pour les forces US durant les quatre mois supplémentaires ;
2) que le Pentagone envisage d’envoyer des forces supplémentaires pour encadrer le retrait de ses forces ; car, c’est bien connu, lorsqu’on envisage de retirer toutes ses troupes, on commence par envoyer des troupes supplémentaires. Ce faisant, le Pentagone de l’administration Biden se met tout le monde à dos :
les talibans comme on l’a vu ;
les antiguerres aux USA, qui soupçonnent ce délai accompagné de l’envoi éventuel de troupes supplémentaires de préparer une décision contraire ;
les pro-guerres US, qui dénoncent l’entérinement d’une décision de retrait ;
… quant aux “alliés” présents en Afghanistan (c’est-à-dire l’OTAN), ils feront ce qu’on leur dira, comme d’habitude suivant les inflexions toussotantes (Biden oblige) de la “voix de leur maître”.

Pensées ordinaires sur chaos peu ordinaire

Au plus nous nous enfonçons, – littéralement parlant,  comme l’on s’enfonce dans un marais plein de sables mouvants – dans la présidence de Biden, au plus les événements se contractent en un chaos général, contrairement à tout ce qui nous était promis de source officielle, par la presseSystème et ses commentateurs appointés-Tweeter. La courtitude de la vision des démocrates est largement illustrée par l’affaire du “packing” de la SCOTUS, extraordinairement marquée par les illusions de la victoire préfabriquée et idéologisée ; car non, pas du tout, l’élimination de Trump ne nous suffit pas…

Les démocrates croyaient avoir évidemment le champ libre en tenant la présidence et le Congrès, mais ils découvrent que le paysage constitutionnaliste à Washington D.C. et alentour est bien plus important. La loi sur la SCOTUS-augmentée qui sortira de la commission Biden a bien peu de chance d’être jamais adoptée. Les démocrates, qui auraient besoin de 10 voix républicaines pour la faire passer au Sénat, sont loin de leur compte, – et notre petit doigt nous dit même qu’il y aurait bien l’un ou l’autre démocrate pour rompre les rangs du groupe.

Le résultat de toutes ces sortes de comportement, conduits par un président sénile et mal en point, n’est bien entendu pas un apaisement de la situation, ou un “retour à la normale”, mais une accélération du constat fait par Graham : une “extraordinaire déstabilisation” d’une situation qui se trouvait déjà être celle d’un désordre considérable… Tant il est vrai qu’un Biden élu président dans les conditions qu’on voit est bien plus producteur d’autodestruction que la continuation d’un Trump.

Les péripéties que rencontrent désormais les BLM ont franchi un pas supplémentaire qui les sépare définitivement du mouvement des droits civiques des années 1960 et d’un Martin Luther King. L’entrée du fric et de la corruption dans le débat fait prévoir des ruptures internes, une accentuation du chaos et de la division, des tensions internes chez les démocrates, mais également au sein des structures nouvelles dont le capitalisme prétend se doter en devenant Woke-Capitalisme.

C’est la confirmation par le renforcement du constat que nous faisions lors de la mise à jour des aventures immobilières de Kahn-Cullors :
 

« La différence entre ces deux “révolutions” est que, plus que toute autres, celle des BLM baigne “ignoblement” dans le fric, parce qu’elle est américaniste et capitaliste. Dans ce cas, c’est le fric qui dévorerait ignoblement ceux qui font la révolution. Le destin de Patrisse-BLM jusqu’ici ne dément rien de cette hypothèse.
» Le Woke-Capitalisme nous paraît vraiment trop idéologisé-centré, alors que le fric déferle plus que jamais, pour ne pas rencontrer d’éminents obstacles à cet égard. Développant une extrême surpuissance dans le domaine de la subversion-complice et du désordre-pseudo-révolutionnaire, il pourrait rapidement trouver dans le déferlement de fric qui l’inonde la recette de son dévoiement vers l’autodestruction qui est manifestement son destin. »
 

Il y a donc, en marche, non pas une “révolution” par le pseudo-“racialisme”, mais une déstabilisation générale, renforcée par les éléments semi-externes, avec la crise de l’immigration à la frontière, dont on ne parle plus mais qui se poursuit en bonne vitesse de croisière ; et les éléments externes, avec les crises extérieures activées par une politique extrémiste, surtout en Ukraine pour l’instant, mais possiblement avec le supplément afghan si les talibans tiennent leurs promesses, et dans tous les cas toujours centrées sur l’affrontement avec la Russie et la Chine.

Bien entendu, là-dessus ou tout autour, la crise du Covid  exerce une pression permanente qui exacerbe les psychologies. De ce point de vue, la différence est grande avec la situation française, autre cas-miroir qui nous intéresse, à cause de l’obsession française de la Covid. Mais en France également, la crise “racialiste” (indigénisme, décolonialisme) va bon train et constitue un facteur bien aussi déstabilisant qu’aux USA. A notre sens, cette crise-là est également en train d’atteindre (en France) un point de fusion des contradictions et des vulnérabilités qui l’habitent, par une autre voie que les BLM aux USA, à cause des différences importantes des facteurs constitutifs.

En aucun cas, dans chacun de ces cas, il ne s’agit de “retours à la normale”, que la tenaille de la Covid interdit par ailleurs, mais de l’accélération des déstabilisations avec un passage obligé par un désordre profond où tous les rangements et les standards en place vont subir des tensions considérables jusqu’à des fractures, des ruptures et des éclatements. A notre sens, l’immense remue-ménage social et sociétal sous la bannière principale de l’antiracisme débouchant sur des racismes divers n’est qu’un point de passage qui n’a aucune capacité de fixation, et encore moins d’extension idéologique. Il s’agit, par la voie sublime de la métahistorique bêtise assumée, véritablement de la poursuite accélérée de l’entrée dans la phase de l’autodestruction du Système.

Le plus surprenant, et d’une certaine façon le plus réjouissant en empêchant les défenseurs du Système de mesurer et d’identifier les réels dangers, c’est l’extraordinaire aveuglement de l’Europe (de la France) quant à l’évolution de la situation aux USA. Il est caractéristique de constater qu’en Europe, et en France particulièrement, on n’a jamais autant parlé d’américanisation, de l’influence culturelle des USA, etc., au moment où les États-Unis sont en train de s’effondrer, et le “modèle américain” de se désintégrer.

La capacité de suggestion du système général du simulacre de la communication grimée en information “de bonne source”, au rythme cadencé de la presseSystème et des Big Tech, est en train de rendre un fier service aux forces antiSystème ; et nous ne parlons pas de “forces humaines”-antiSystème, fondées sur divers contre-simulacres (mais simulacres tout de même) et des rationalités imaginatives mais bien prétentieuses. Nous parlons de la résistance naturelle et de la fécondité des événements qui s’opposent au Système, et qui transforment toutes les tensions surpuissantes en pulsion autodestructrice.

Bref, nous sommes sérieux.

Source: Lire l'article complet de Dedefensa.org

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« La crisologie de notre temps » • Nous estimons que la situation de la politique générale et des relations internationales, autant que celle des psychologies et des esprits, est devenue entièrement crisique. • La “crise” est aujourd’hui substance et essence même du monde, et c’est elle qui doit constituer l’objet de notre attention constante, de notre analyse et de notre intuition. • Dans l’esprit de la chose, elle doit figurer avec le nom du site, comme devise pour donner tout son sens à ce nom.

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