par Francesca de Villasmundo.
Sexe, drogue, internet, et Maison blanche, c’est le cocktail détonnant qui est en train de faire tomber Hunter Biden, le fils du tout nouveau président des États-Unis, Joe Biden. Les complications politiques pour le 46e président des États-Unis sont assurément à prévoir, tout juste trois mois après son avènement, et ce pour le plus grand bonheur de Kamala Harris.
C’est le célèbre quotidien britannique Daily Mail qui le premier a tiré la salve contre Hunter Biden en révélant, le 8 avril dernier, les dessous de cette histoire de sales draps, sans jeu de mots…
Pornographie, prostitution, drogue, dettes, corruptions, tout y est dans cette enquête à charge menée par le Daily Mail contre le fils prodigue. Soutenant avoir pu avoir accès à un ancien ordinateur de Hunter, authentifié par de nombreux experts, le journal anglais en dévoile le contenu peu ragoûtant, et accablant : des photos explicites du fiston Biden avec des prostitués et en tenu d’Adam, la diffusion de vidéos sur Pornhub de ses ébats avec ces dernières, des échanges de mails mentionnant la venue de femmes au domicile de Hunter ou même des accompagnements tarifés, des preuves de sa consommation de drogue, et de la corruption dont il aurait usé pour obtenir des prestations et des services.
Le Daily Mail affirme que ce sont quelque 150 000 e-mails et messages ainsi que 2 000 photos et une douzaine de vidéos qui ont été découverts sur ce disque dur. Ces éléments témoignent du train de vie et de la débauche du fils de Joe Biden.
Outre la sollicitation de prostituées, il est question de voitures de luxe ou d’une location à 12 000 dollars par mois. Des dépenses malvenues eu égard aux dettes et ennuis financiers récurrents de Hunter Biden ces dernières années. En 2019, il avait été traîné devant un juge de l’Arkansas pour ne pas avoir payé la pension alimentaire destinée à la fille qu’il a eue avec une strip-teaseuse. D’autres messages évoquent ses difficultés financières malgré des revenus de près de 500 000 dollars par mois, ou encore la menace de se servir dans le compte dédié aux études de sa propre fille pour éponger ses dettes.
Le Daily Mail, qui revient sur l’affaire le 9 avril, traite aussi des questions des dents de Hunter détruites par la drogue, d’une protection par les services secrets que Hunter Biden aurait obtenu en 2018 alors qu’il n’y avait pas droit et qu’il « se livrait à une frénésie de drogue et de prostituée à Hollywood », de la pression du fils sur le père pour que ce dernier se présente à la présidence et ainsi sauve la réputation du fils. Les mails laisseraient entendre également que Joe Biden avait peur que ses conversations avec Hunter soient piratées alors même qu’ils discutaient de sa candidature à la Maison Blanche. Toujours d’après le Daily Mail, cet ordinateur de Hunter Biden regorgerait de « preuves d’activités criminelles apparentes de Hunter et de ses associés, y compris le trafic de drogue et la prostitution ».
L’ordinateur en question, un MacBook Pro, raconte le Daily Mail, avait été déposé en avril 2019 dans une boutique du Deleware pour réparations, mais personne n’était jamais venu le chercher. Le propriétaire du magasin affirme avoir fait une copie du disque dur et l’avoir envoyée à Rudolph Giuliani, à l’époque avocat personnel de Donald Trump. Le camp de l’ancien président avait alors soutenu avoir des preuves de conflits d’intérêts entre Joe Biden, alors vice-président d’Obama, et la compagnie gazière ukrainienne Burisma, à laquelle Hunter Biden est lié en tant que membre du conseil d’administration.
À l’époque, pour ne pas gêner la campagne du candidat démocrate, les médias mainstream, tous pro-Biden, avaient fait obstruction à toute recherche de la vérité, tant sur cette affaire ukrainienne que sur les courriels et photos récupérés sur l’ordinateur abandonné et remis au FBI en 2019. Pourtant le New York Post avait bien publié en octobre 2020 un dossier explosif sur la relation entre le candidat à la présidentielle Joe Biden, son fils Hunter et la société énergétique ukrainienne Burisma mais Facebook en avait limité la diffusion sur son réseau social tandis que Twitter en interdisait sommairement à quiconque de publier un lien vers l’histoire, y compris le New York Post lui-même. C’est dire que ces sordides affaires ne devaient pas être portées à la connaissance du public avant l’heure dite, c’est-à-dire après les élections.
Car après avoir été savamment occulté par la presse au collier d’un côté et de l’autre de l’Atlantique afin de préserver la candidature à l’élection présidentielle américaine de la coqueluche du Nouvel Ordre Mondial, et ce malgré des preuves accablantes, le scandale du fils Biden refait surface dans les eaux troubles de Washington. Pour le plus grand malheur du père et l’avantage de la vice-présidente Kamala Harris qui voit ses chances d’accéder plus tôt que prévu au poste de président se concrétiser, grâce à l’aide des médias gauchistes décidés à enfin traiter de cette affaire explosive pour la Maison Blanche. Affaire qui pourrait entrainer la chute du 46e président des États-Unis, déjà embarrassé par des épisodes bizarres qui sèment le doute quant à son état de santé mental et physique, en l’obligeant ainsi à céder sa place à l’ultra-progressiste Harris, le véritable chouchou de l’Etat profond américain.
source : https://www.medias-presse.info
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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