Alors que c’est très simple d’être opposé à l’hégémonie d’une grande puissance, les États-Unis en l’occurrence, une certaine gauche, surtout aux États-Unis mais aussi ailleurs, trouve toujours le moyen de fournir les arguments en soutien aux faucons militaires de Washington.
Dans un article dans le Consortium News, Diana Johnstone venait à la défense des journalistes d’enquête anti-impérialistes courageux, notamment du Greyzone, qui ont été pris à partie dans une lettre ouverte signé notamment par des exilés syriens ainsi que Noam Chomsky.
Dans cette entrevue, Diana Johnstone revient sur le très mal nommé « printemps arabe » qui a abouti à la destruction de la Libye et la Syrie. Elle précise que les vraies révolutions sont rares et que manifestations et répression n’égalent pas révolution.
Elle décrit la situation grave dans laquelle se trouve la Syrie en raison de la guerre par procuration qui lui est livrée depuis 10 ans.
Elle termine l’entrevue en expliquant pourquoi on arrive à mobiliser des gens, surtout en Amérique du Nord, au point où ils sont prêts à aller en guerre simplement parce qu’on qualifie un tel dirigeant de « dictateur » et un autre de « tyran ».
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