par Marie-France de Meuron.
La vague du Great Reset soufflant dans notre atmosphère, comment la concevoir au niveau de la conscience de notre santé ? Quelle « grande réinitialisation » sommes-nous invités à mettre en œuvre ? Ce ne sont pas les incitations qui manquent actuellement !
Alors qu’un enfant passe par la tutelle de différents adultes, une bonne éducation (étymologie : conduire hors de) lui permet de développer la souveraineté de son être, donc de sa santé, autrement dit en être responsable (étymologie : répondre de). Il semblerait que les pouvoirs dirigeants veulent revenir aux temps anciens, s’octroyant des pouvoirs impériaux sur le peuple, du temps où il était proféré : « Quod licet Iovi, non licet bovi » (ce qui est permis à Jupiter, n’est pas permis au bœuf). Sauf qu’aujourd’hui, on nous prend pour des moutons soumis plutôt que pour des bœufs ! Effectivement, je n’ai jamais vu de bœufs avec une muselière ! Le souffle est à l’origine de la vie, le réduire ainsi avec les effets si bien décrits dans cet article exige que l’on réinitie l’acte de respirer en l’expansant plutôt qu’en le réduisant.
À maintes reprises, nous constatons que nous ne sommes pas considérés comme des êtres humains avec nos individualités propres mais entrons dans des statistiques comme des cas étiquetés et comptabilisés selon des critères très limités. De plus, certains font des pronostics comme si la santé et l’avenir dépendaient d’une seule mesure par conséquent d’une unique décision : « Dès que les patients à risques seront vaccinés, environ trois quarts des hospitalisations disparaîtront ». Quel simplisme ! Quand on sait que tant de facteurs interfèrent avec la santé définie par l’OMS comme un : « État de complet bien-être physique, mental et social ». Ce site explicite largement la notion de santé et affirme pertinemment que « les connaissances récentes montrent à quel point la santé est le produit d’une interaction complexe d’un sujet avec son environnement, d’un patrimoine génétique avec son milieu écologique, social et culturel (épigénétique).
De ce fait, lorsqu’un être humain tombe malade, il s’agit d’étudier les différents facteurs qui participent à la faillite de son homéostasie. De plus, il est nécessaire d’estimer également son énergie vitale afin de le soutenir dès qu’il présente des symptômes pour ne pas attendre leurs effets délétères. Le diagnostic ne se limite donc pas à une pathologie codifiée selon la médecine officielle. Quand on constate à quel point la politique sanitaire s’est contentée de confiner les habitants chez eux en les privant de plusieurs sources vitales et même de fermer des lieux de soins, on peut fermement décréter qu’il faut une réinitialisation de l’élaboration de la santé.
Comme le dit si bien le site mentionné supra : La santé est un droit pour tous. Ce droit est contenu dans le préambule de la Constitution de 1958, et dans la Déclaration des Droits de l’Enfant de 1959. L’OMS s’était fixée en 1977 pour objectif de faire accéder en l’an 2000 tous les habitants du monde à un niveau de santé leur permettant « de mener une vie socialement et économiquement productive ». Est-ce vraiment à une organisation mondiale de décréter ce qui est bon ou non pour la santé ? En tous cas, on voit bien que les objectifs fixés par déductions mentales ne correspondent pas à la réalité concrète. Ainsi, au lieu d’étudier les différents facteurs qui permettent au coronavirus de se développer et de stimuler des études sur les thérapies relatives aux différentes contrées, l’OMS investit des efforts et des sommes colossales
- en accélérant la mise au point de vaccins sûrs et efficaces contre la COVID-19 ;
- en contribuant au développement des moyens de production ; et
- en collaborant avec les gouvernements et les fabricants pour garantir une répartition juste et équitable des vaccins entre tous les pays, seule initiative mondiale visant cet objectif.
Ainsi, il n’y a aucune incitation pour que chaque individu, chaque communauté, développe ses voies vers une santé renforcée et corrige ce qui laisse de nouveaux virus se répandre. De plus, les vaccins à ARNm sont des thérapies géniques qui modifient la santé plutôt que de la renforcer.
La santé obéit à différents processus qui mériteraient d’être observés et respectés. Avec la course aux vaccins, qu’est-il advenu du principe de précaution ? Globalement le ratio profit/risque des vaccins reste très positif… En théorie, car sur le futur à plus de six mois il reste encore très aléatoire comme le ministre de la Santé lui-même en est convenu. De plus, cette énorme investissement alors que d’autres secteurs mériteraient d’être tant soutenus ou développés en faveur de la santé ne tiennent pas compte que : Les effets des vaccins sur l’épidémie restent totalement imprévisibles et les vaccins ARNm sont peut-être inutiles, confesse Véran devant le Conseil d’État.
Au lieu d’inciter chaque citoyen à développer sur différents plans ses capacités d’attention aux divers facteurs de santé, la politique le contraint à des mesures très focalisées qui, en outre, sont de plus en plus dénoncées. La dernière en cours, qui va encore beaucoup alourdir les dettes publiques et les assurances maladies est mise en avant avec les auto-tests. Évidemment, le citoyen aura l’impression de jouer un rôle mais en réalité il ne fait qu’entrer dans un jeu où sa créativité ne va pas du tout être développée ni stimulée ! De plus, l’investissement de son attention le focalisera encore plus sur cette covidémie qui est brandie à tout instant. En fait, cela servira au temps de s’écouler pour permettre aux vaccins de s’implanter plus largement, tout en se posant la question : « Les autotests, un pari perdu d’avance ? ». En outre, question de développement de bénéfices pour la santé, on peut avoir quelques doutes sur un autre plan : « Covid-19 : les tests naso-pharyngés « ne sont pas sans risque, prévient l’Académie de Médecine ». Si la plupart des prélèvements sont bénins, « de graves complications commencent à être décrites dans la littérature médicale depuis quelques semaines », rapporte le collège scientifique.
Le grand reset autrement dit la grande réinitialisation de la conscience de la santé se fera par les individus qui s’informent, se forment et développent leurs moyens de se prendre en main. Des médecins sont en chemin depuis plusieurs décennies et perçoivent que « la santé est un tout et est notre bien le plus précieux. Le corps fait un tout avec l’âme, et il est difficile de bien soigner une personne si on ne la considère pas dans sa globalité ».
Bien des ouvrages peuvent nous instruire et nous permettre de découvrir ce qui est susceptible de nous correspondre, selon nos maux, notre tempérament, notre environnement, notre culture. Voici par exemple : « Le guide de la médecine globale et intégrative ».
Des centres permettent à différents médecins et thérapeutes de collaborer dans un esprit de médecine globale qui permet différents systèmes de diagnostics des signes des patients et de traitements appropriés.
source : https://mfmeuron.blog.tdg.ch
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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