La fin de l’homme

La fin de l’homme

Un cauchemar biologique. Les variants P.1 et B.1.1.248 du SARS-CoV-2 pourraient non seulement rendre les vaccins à ARN messager totalement inopérants mais mettre fin à l’immunité collective acquise naturellement par certaines populations.

Un cauchemar géostratégique. La montée de fièvre militariste en Ukraine et le déploiement inédit des forces spéciales de l’OTAN autour du sanctuaire russe peuvent provoquer une violente réaction de Moscou.

Idem au détroit de Formose, où les unités de surface des marines de guerre chinoise et américaine se font face.

Cauchemar économique. La planche à billet n’est plus seulement à plein régime : elle explose avec les pack stimulus à coup de trillions de dollars. L’inflation.

Ainsi donc on se dirige tout droit vers une configuration idéale d’une infection=un décès assuré.

On nous a assuré que l’avenir sera aussi brillant que les feux des explosions des charges à neutrons qui s’abattront à vitesse hypersonique sur d’autres cobayes humains envoyés à une mort assurée.

La guerre des cryptomonnaies fait rage tandis que les économies réelles s’effondrent.

Les populations ne savent pas encore que le monde dans lequel elles vivaient vient de disparaître par effraction. Chaque individu s’accroche a sa bouée de sauvetage ou s’enfonce dans un délire peu déviant par rapport la la diffraction du réel en cours.

Partout ailleurs, c’est la bêtise humaine et les extrêmes, signes manifestes de la débilité, qui l’emportent.

L’Empire s’est suicidé. Thanatos s’est réveillé. Est-ce la fin de l’homme? Ou est-ce le début d’une nouvelle ère avec les incertitudes des débuts? La manipulation des génomes et des monnaies nous ont mené vers ce cauchemar où le mensonge ne pourra éluder la mort.

Pour le commun des mortels qui croient vivre, rien ne changera car ils sont déjà dans la nasse.

Le variant brésilien P.1. serait apparu en Amazonie. La guerre biologique dure depuis plus d’un an. Elle n’a pas encore abouti à une configuration mortelle d’une infection=un décès comme ce fut le cas de la Peste noire au 14ème siècle. Mais certains y rêvent. La nature n’a pas dit son dernier mot.

Reste la confrontation. Celle-ci permettra une redistribution des cartes. La dernière simulation d’un conflit thermonucléaire global laissait entrevoir la possibilité d’une victoire dans un monde où il y aurait plus de six milliards de survivants. Le bilan d’un tel conflit est évalué à 900 millions de victimes directes et indirectes.

Le tabou de l’arme nucléaire était basé sur un mensonge utile. Il ne l’est plus.

Le Grand jeu risque de se transformer en un massacre à la tronçonneuse…

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