par Alain Nicolaï.
« Je ne veux pas me mentir, il est vrai que je suis un pécheur qui a eu le privilège d’être aimé par la miséricorde de Dieu ».
« Mais, j’insiste, j’ai toujours été aimé par Dieu, qui m’a relevé après chaque chute tout au long du chemin… »
« Mais le moment où je vis le plus intensément l’expérience religieuse, c’est quand je reste un temps indéfini devant le tabernacle. Parfois je m’endors, assis, en me laissant regarder. J’ai l’impression d’être entre les mains de quelqu’un comme si Dieu me prenait par la main » ~ Bergoglio
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Quand vous avez en face de vous une personne qui est persuadée d’avoir le privilège d’être aimée et regardée par Dieu vous pouvez être sûr que celle-ci n’a rien compris à la Religion et notamment au Christianisme. DIEU est Amour et nous aime tous, tel est l’enseignement de Notre Seigneur Jésus Christ, c’est ce qu’avaient compris les premiers chrétiens, et c’est pourquoi ils ne craignaient pas le martyre, or il s’avère que celui qui a prononcé ces paroles n’est autre que le Cardinal Jorge Bergoglio, le futur pape François qui dirige actuellement l’Église. Ces textes se trouvent dans l’ouvrage, Je crois en l’homme, aux pages 52 et 53 de l’édition française du livre, Le pape François, « Je crois en l’homme, Conversations avec Jorge Bergoglio, Francesca Ambrogetti et Sergio Rubin », Éditions de Noyelles, 2013.
De plus, ce texte qui a été publié d’abord à Buenos Aires en 2010, et qui est la transcription d’une conversation avec Francesca Ambrogetti et Sergio Rubin, met en relief la conduite pour le moins équivoque de l’Église en Argentine. Dans les chapitres 13, Le dur chemin vers une patrie de frères et 14, Plongée dans une nuit obscure, ces deux journalistes interrogent le futur pape sur son comportement à cette époque, et pour le moins ses réponses ne sont pas claires ! Il faut savoir qu’une grande partie de la carrière de Bergoglio en Argentine se passa pendant la dictature de Jorge Rafael Videla Redondo responsable de nombreuses exactions dans ce pays et qui dirigea l’Argentine après le coup d’État militaire du 24 mars 1976 qui destitua Isabel Perón. Les auteurs de cet ouvrage font comprendre aux lecteurs que le futur pape s’en est très bien accommodé, et même, après qu’il fut intronisé cardinal, le 21 février 2001 par Jean Paul II, dans son homélie à l’occasion du premier Consistoire public ordinaire du XXIe siècle.
Ce livre étant à la disposition de tous, comment les Cardinaux ont-ils pu être amenés à élire un tel personnage ? Ils portent donc aussi une très lourde responsabilité sur le devenir de l’Église catholique.
Mais concernant Bergoglio, il y a encore beaucoup plus grave, voici un article publié en novembre 2013 par Courrier International :
Après c’est très lourdes accusations, passons à d’autres très graves problèmes qui entachent définitivement le pontificat de Bergoglio. Henri Sire, qui était l’historiographe de l’Ordre de Malte, a publié en 2018 un livre « Le Pape dictateur », au titre sans équivoque :
Dans cet ouvrage l’auteur démasque avec de nombreux arguments irréfutables cette face plus que sombre de Bergoglio. Il révèle la mentalité autoritaire de cet homme, qui en fait, ne croit qu’en ses décisions, puisqu’il est persuadé, comme on l’a vue au début de cet article qu’elles lui viennent directement de Dieu. Aussi, il n’hésite pas à les imposer avec l’aide des êtres démoniaques qui ont infiltré l’Église depuis des décennies et qui sans doute l’influencent d’une manière ou d’une autre.
La lecture de l’ouvrage d’Henri Sire est extrêmement pénible, tellement est sinistre ce que l’on apprend sur le fonctionnement d’une institution qui devrait être un modèle de vertu. On est littéralement transporté au cœur d’un milieu sordide où les bons sont rabaissés et les mauvais encouragés. C’est révoltant et écœurant jusqu’à la nausée…
Après la publication de cet ouvrage Henri Sire fut suspendu par l’Ordre de Malte :
Si nous devons évoquer qu’un seul être démoniaque pour illustrer nos propos citons simplement Peter Sunderland, décédé début 2018, qui fut pendant plusieurs années, donc sous Bergoglio, Conseiller de l’Administration du Patrimoine du Siège apostolique et directeur de la Commission Internationale Catholique sur la Migration (ICMC) :
Ce mondialiste fut sans doute introduit au Vatican par quelques « âmes bien intentionnées ».
Se pose maintenant la question :
Le cas Bergoglio est-il du domaine de la psychiatrie ou simplement révèle-t-il une malignité fondamentale ?
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Petit complément pour enfoncer quelques clous
Sur l’idolâtrie au Vatican :
Sur la crèche du Vatican en 2020 :
Sur le capitalisme inclusif :
Conclusion : Une vertigineuse descente aux enfers…
« Tout arbre qui ne porte pas de bons fruits est coupé et jeté au feu » ~ Matthieu 7.19
source : https://nouveau-monde.ca
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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