par Marie-France de Meuron.
Il n’est certes plus nécessaire de parler des personnes confinées tant l’expérience est vécue par chacun, de façon plus ou moins intense selon l’âge, le milieu professionnel ou environnemental. Mais à quoi sont réduits nos esprits quand nos mouvements sont contenus et nos relations affectives réduites ?
J’entends ici par « esprit » le souffle d’énergie qui nous anime. Dans l’ambiance que les mesures sanitaires nous imposent, que devient cette force vitale ? Quelle créativité nous insuffle-t-elle ?
Faisons d’abord le bilan de quelques occasions qui illustrent combien ce souffle a été limité ou dévié de son élan spontané et de sa puissance authentique.
– Dans l’exemple d’une mère canadienne qui, accompagnée de ses quatre enfants et de leur grand-mère, se voit condamnée à une amende de 3 000 dollars après que des agents frontaliers canadiens ont refusé d’accepter les résultats de leurs tests COVID, parce que les résultats étaient périmés depuis deux heures. Ainsi non seulement la sortie en famille se fait doucher glacialement mais encore la condamnation dénote à quel point les agents de l’État ne sont plus que des zombies au service des décrets.
– L’esprit, c’est aussi ce qui nous permet d’être alerte et conscient de ce que nous ressentons. Quand des jeunes en bonne santé cherchent à se faire vacciner, de quoi sont-ils animés si ce n’est par la soumission qu’un vaccin leur permettra de circuler plus librement, sans conscience que leur santé dépend de beaucoup d’autres facteurs que l’injection d’une thérapie génique ?
– Le bon sens requiert une certaine dose de vivacité d’esprit. Qu’en reste-t-il à ceux qui se croient puissants en envoyant « Des flics partout, du bon sens nulle part : l’improvisation continue ». Ce qui s’avère bien plus tragique et fondamental, c’est à quel point le confinement imposé suite à des raisonnements mentaux plutôt que sur une connaissance profonde des êtres humains conduit au déclin cognitif : C’est en Écosse encore qu’une autre étude vient de dévoiler une autre conséquence, plus inattendue et inquiétante, du confinement. Menée par les universités de Glasgow et de l’ouest de l’Écosse, elle révèle que le confinement a eu un profond impact sur nos capacités cognitives. Il aurait fait décliner, sur l’ensemble de la population :
- Notre mémoire ;
- Notre aptitude à la concentration ;
- Notre capacité à prendre des décisions.
Plus les personnes confinées étaient isolées, plus ces ravages étaient importants.
Pire encore, à un degré encore plus incarné : Lorsque l’on sait que le déclin cognitif augmente le risque de maladies neurodégénératives comme Alzheimer, et réduit l’espérance de vie… le « jeu » du confinement en vaut-il la chandelle ?
– Sur un tout autre plan, l’esprit déserte l’être humain quand celui-ci croit s’en sortir avec une pirouette mentale : « Le vaccin AstraZeneca change de nom » et, de plus, contamine l’Agence européenne du Médicament qui a validé ce changement.
– C’est méconnaître la puissance de l’esprit et de la créativité de l’univers que de décréter : COVID-19 : PAS DE RETOUR À LA NORMALE « AVANT LA FIN DE LA DÉCENNIE », SELON LE PROFESSEUR DJILLALI ANNANE. Il doit être bien fatigué pour ne plus étudier toutes les possibilités de renforcer la santé et de soigner les êtres humains, ce qui l’incite à décréter : Premier facteur (soulevé par le scientifique), le manque de vaccins disponibles qui se fait particulièrement sentir dans les pays pauvres, auquel s’ajoute la reprise des déplacements qui, immanquablement, fera repartir la pandémie de plus belle. Or, les pays pauvres savent justement mieux utiliser les inspirations de leurs esprits, comme on le voit à Madagascar ou en Inde ; et là où un remède ou un médicament est efficace, il n’y a nul besoin de vaccins.
– Il est d’usage d’évoquer aussi la lucidité de l’esprit. Dans ce vocable, nous avons lux = la lumière. Quelle clarté manque à ceux qui pensent préserver les personnes âgées par des vaccins, alors que leur état de santé est fragilisé après tant d’années d’épreuves ? Ainsi on peut trouver quelques explications aux « Morts inexpliquées de personnes âgées après les vaccinations contre le Covid ».
– Ce genre de lucidité manque aussi quand on exige le port de masque pour les enfants : les tests d’oxymétrie sont en cours d’évaluation « scientifique » mais la perception sensible fait bien ressentir que les masques ne sont pas anodins. De plus la réalité que les cerveaux en croissance nécessite une bonne aération est une évidence.
– L’esprit anime aussi le sentiment de souveraineté nationale, alors que « L’UE est une machine qui permet de déresponsabiliser les élites françaises, qui, en passant par l’échelon européen, n’ont plus besoin de décider et d’assumer leurs décisions, ce qui est pourtant l’essence même du pouvoir », écrit le spécialiste en géopolitique Jean-Loup Bonnamy. Ainsi, les gouvernants des états en perdent l’esprit qui anime tout être attaché à son terroir.
– Quel esprit éveille ceux qui réécrivent le code génétique pour imposer un nouveau logiciel de vie ? Ils répondent à un calcul très logique mais ne perdent-ils pas le lien avec l’esprit cosmique qui anime l’univers et, par là, les micro-univers que nous sommes chacun ?
– La présence d’un nouveau microorganisme suscite bien des activités cérébrales. Lesquelles sont animées par un souffle de vie englobant la totalité de l’être humain ? Je suis perplexe quand je constate l’investissement de milliards d’euros ou de francs focalisés sur des mesures limitées qui se renouvellent dans un espace restreint comme le sont les tests. Nous arrivons maintenant aux auto-tests. Fallait-il focaliser les gens encore plus sur le covid plutôt que d’élargir leurs connaissances sur les facteurs de santé qui servent à renforcer divers organes et pas seulement à faire la chasse à un virus qui, de plus, mute facilement ?
– La même observation est flagrante au sujet des « Tests salivaires dans les écoles et tests naso-pharyngés dans les collèges et les lycées ». Les jeunes ne sont-ils pas suffisamment plongés dans la coronafolie sans encore distraire leurs attentions sur ces tests qui ont leurs poids de signification tant concrète qu’abstraite ?
– Il semblerait aussi que l’esprit soit sous-développé dans certains milieux politiques afin de ne pas se confronter avec la globalité d’un thème. Ainsi : « Certains interviennent sur l’OMS pour qu’on ne parle pas des traitements ! »
– Dans le même ordre d’idées, en ce qui concerne les « Lits (de) réanimation : la Cour des Comptes dénonce les bidonnages ». …bidonnages utilisés par les autorités pour noircir la situation, afin de pouvoir justifier les mesures liberticides et dictatoriales.
– Le système officiel embrouille aussi les esprits quant à la gravité de la covid au sujet des vrais chiffres de la mortalité où trop souvent la référence absolue est la mortalité toutes causes confondues.
– La vastitude de l’esprit est aussi bien escamotée quand « Le « passeport sanitaire » vient d’être voté d’urgence » sans débat ni amendements au Parlement européen. Noyé dans d’autres débats et pris à la va-vite. À quel niveau des droits de l’homme est-on arrivé en Europe ? L’esprit humain n’a-t-il plus sa place souveraine dans notre ontologie ?
Attention de rester vigilants sinon, comme le chante si clairement Pierre Perret, nous deviendrons tous des confinis ….
source : https://mfmeuron.blog.tdg.ch
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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