par Jacques Henry.
Lorsque je suis allé demander de l’ivermectine à la pharmacie où je vais faire mes emplettes depuis plus de dix et qu’un refus catégorique m’a été opposé je me suis posé de multiples questions. Ma démarche était motivée par une éventuelle infection par de la gale, une maladie parasitaire de la peau parfaitement bien traitée avec ce macrolide initialement décrit comme antiparasitaire, les acariens étant justement des parasites sensibles à ce produit. Or mes problèmes épidermiques récurrents n’étaient pas provoqués par la gale puisque le traitement auquel je me soumis, par curiosité scientifique, n’eut aucun effet. J’en ai donc déduit que je souffrais toujours de troubles provoqués par le coronavirus dont j’ai été victime il y a maintenant une année. Bref, mes « bobos de vieux » n’intéressent personne mais ce qui m’a interpellé est cette interdiction stricte de vente de l’ivermectine en Espagne.
Pour quelle raison un médicament connu depuis 40 ans, distribué dans le monde entier pour traiter des maladies parasitaires, n’ayant jamais présenté d’effets secondaires si la posologie est respectée, est-il interdit à la vente en Espagne ? Depuis quand ce médicament est-il interdit ? Outre le fait que cette interdiction prive les médecins de leur droit fondamental de prescription d’un médicament dont ils estiment en leur âme et conscience être susceptible d’améliorer les conditions cliniques de leur patient conformément au Code de Nuremberg (1947), elle est donc contraire aux lois fondamentales que doit respecter toute démocratie, si tant est que l’on parle bien de démocratie.
Le gouvernement français s’est distingué au cours du printemps 2020 en interdisant la vente d’hydroxychloroquine, du jour au lendemain devenue toxique, alors que des milliers de Français utilisent quotidiennement ce produit pour traiter la polyarthrite rhumatoïde ou le lupus, deux maladies auto-immunes. Les gouvernements français et espagnol ne respectent donc pas le Code de Nuremberg ni la liberté de prescription des médecins. Pour l’ivermectine j’ajouterai que ce produit est interdit en France pour traiter l’infection parasitaire provoquée par les poux (Pediculus humanus) dont souffrent chaque année 15% des enfants des écoles. L’administration française lui préfère des pyrethroïdes genre malathion ou permethrine, toxiques, alors que l’ivermectine ne présente aucun effet toxique si la posologie est respectée.
L’explication qui me vient à l’esprit pour expliquer ces interdictions tant en France qu’en Espagne, au moins deux pays européens parmi d’autres, est le véritable diktat imposé par le lobby pharmaceutique occidental pour ouvrir la voie à la vaccination massive afin de maîtriser les épidémies de SARS-CoV-2 puisque ces deux produits, ivermectine et hydroxychloroquine, présentent des propriétés antivirale maintenant non contestées, toujours niées par les politiciens qui nous gouvernent. Si mes lecteurs disposent d’une autre explication je suis impatient d’en prendre connaissance.
L’Espagne et la France ne sont donc plus des démocraties. Ces pays ne respectent plus les libertés individuelles. Ces pays ne respectent plus le Code de Nuremberg. Comme beaucoup d’autres pays occidentaux ils ont politisé la science et la médecine. Cette attitude est lourde de conséquences car elle ouvre toute grande la porte à une multitude de dérives contraires aux principes de base sur lesquels sont fondées les démocraties. Ceci signifie que beaucoup de pays occidentaux sont sur le point de basculer dans des systèmes politiques de type totalitaire avec toutes les privations de liberté individuelle sur lesquels ces régimes reposent. Bienvenue en Corée du Nord …
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