Madrid, la capitale qui a décidé de vivre avec le virus

Madrid, la capitale qui a décidé de vivre avec le virus

À Madrid, bars et restaurants sont ouverts jusqu’au couvre-feu à 23 heures. Six personnes par table maximum, distanciation à l’intérieur, un privilège malgré tout, dont chacun en a bien conscience. La capitale espagnole a fait le choix de ne fermer aucun commerce ni même ses lieux culturels.

Au musée de la Reina Sofia, les visites continuent avec des jauges pour chaque salle. Là où habituellement une foule se presse devant Guernica, c’est désormais 30 minutes de tête-à-tête avec Picasso.

Le virus n’a pas disparu du paysage pour autant. Difficile de trouver un visage non masqué. Impossible de s’agglutiner dans les magasins. Les capacités d’accueil sont limitées et la prise de température quasi systématique. Avec 230 cas pour 100 000 habitants, le taux d’incidence à Madrid est deux fois moins élevé qu’à Paris. Pour les Madrilènes, l’explication est simple : liberté ne veut pas dire absence de responsabilité. En lieu clos, à défaut de pouvoir mettre le virus KO, tout est fait pour limiter au maximum sa transmission ».

Toutes ces libertés en pleine pandémie, les Madrilènes ne sont pas les seuls à en profiter. Il suffit de tendre l’oreille pour s’en rendre compte. Beaucoup de touristes étrangers, et notamment des Français venus s’offrir quelques jours de répit », révèle notre correspondante, Sophie Chevallereau. Madrid n’est pas pour autant exemptée des restrictions nationales. Tous les Espagnols ont interdiction de quitter leurs régions. Les TGV sont quasiment vides et le restaurant pour les vacances de Pâques la semaine prochaine.

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À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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