Le « certificat vert numérique » censé permettre la circulation en toute sécurité dans l’UE a été présenté ce 28 mars par Thierry Breton, commissaire européen en charge des vaccins. Il contiendra des informations sur la vaccination, les tests réalisés ou la guérison du Covid-19 et devrait être disponible d’ici mi-juin.
Une dizaine de jours après la présentation du projet de passeport vaccinal par la Commission européenne, le document a enfin été présenté au public. C’est dans le cadre de l’émission Grand Jury RTL, Le Figaro, LCI, ce 28 mars, que le commissaire européen en charge des vaccins Thierry Breton a montré ce document qui devrait être disponible vers mi-juin.
« À partir du moment où nous pourrons être sûrs que chaque Européen qui souhaite se faire vacciner aura un accès équitable au vaccin, comme ce sera le cas dans les deux à trois mois qui viennent, il sera bon que l’on puisse avoir un certificat sanitaire qui démontre votre état. »
Versions numérique et papier
En expliquant à quoi ressemblera le document validé par les 27 États de l’Union européenne, Thierry Breton a évoqué des versions numérique et papier.
« Dessus, il y a un QR code, l’État qui est le vôtre, si vous êtes immunisé ou non en ayant eu le vaccin. On y trouvera votre nom, votre date de naissance, le numéro de votre passeport certifié avec le QR code, le fait que vous ayez été vacciné ou non, le type de vaccin, si vous avez été porteur de la maladie », a détaillé le commissaire européen.
Si beaucoup craignent que ce passeport vaccinal, ou la vaccination elle-même, devienne obligatoire, M.Breton a tranché :
« C’est important que ce [certificat sanitaire] ne soit pas obligatoire », a-t-il tenu à souligner, tout en indiquant qu’il ne fallait « absolument pas » rendre la vaccination obligatoire.
« Pour ceux qui n’auront eu ni le vaccin, ni la maladie et pour lesquels on demandera un test PCR, on trouvera l’état de votre test PCR », a ainsi expliqué le commissaire européen.
Tandis que le certificat sanitaire prend en compte les quatre vaccins contre le Covid-19 autorisés dans l’UE (Pfizer/BioNTech, Moderna, AstraZeneca/Oxford et Johnson & Johnson), « les États membres peuvent décider d’accepter également d’autres vaccins », selon le communiqué de la Commission européenne.
Une annonce qui correspond au planning de l’Union européenne,
comme rappelé par Xavier Poussard lors du Grand Reset #2 :
Cliquez sur l’image
pour découvrir le plan officiel de la Commission européenne :
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation