En mai 2020, les 7 millions d’habitants de Santiago étaient confinés, confrontant, comme l’écrit France Culture « les habitants des quartiers les plus pauvres au désoeuvrement, à la faim et à la colère ».
Contrairement à la France, les travailleurs indépendants et les petites entrepreneurs chiliens n’ont rien touché de l’État (même si chez nous il faudra rembourser de manière indirecte, par exemple par l’inflation, déjà visible sur les étiquettes). Un an plus tard, les autorités récidivent, et pourtant, le pays est le plus vacciné au monde, avec un habitants sur trois…
« Le Chili est le pays le plus avancé en Amérique latine pour la vaccination anti-Covid, mais il fait face à une brutale recrudescence des infections qui a forcé le gouvernement à imposer un nouveau confinement dès ce samedi 27 mars.
Dans ce pays de 19 millions d’habitants, une campagne particulièrement efficace a déjà permis à six millions de personnes de recevoir au moins une dose de vaccin et à plus de trois millions d’être vaccinées.
Mais dès ce samedi, plus de 80 % de la population sont soumis à un nouveau confinement total, sans même la possibilité de sortir pour acheter des produits de base le week-end. »
On notera dans l’article du HuffPost, que les autorités demandent toujours « un dernier effort » à la population, autrement dit un « dernier » sacrifice. Qui en appelle un suivant, puisque la situation ne s’améliore jamais…
Combien de derniers efforts avant la prise de conscience générale ?
Certains parleront de malchance devant une maladie qui nous échappe avec ses variants et ses recombinants, le dernier élément de langage à la mode repris par la presse aux ordres, d’autres d’ingénierie sociale.
Et maintenant, mesdames et messieurs, le concept d’« évasion immunitaire », le vaccin qui provoque la formation de variants plus dangereux, mais heureusement, une vaccination rapide devrait en venir à bout !
Un scientifique belge affirme que les vaccins pourraient aggraver la pandémie, en provoquant des variants + infectieux.
Ce risque « d’évasion immunitaire » existe, mais il est évitable par des campagnes de vaccination rapides, selon des experts #AFP https://t.co/ZgD5okq5Qf 1/4— AFP Factuel (@AfpFactuel) March 26, 2021
La promesse du gouvernement chilien, c’est que les effets de la vaccination de masse ne se feront sentir qu’en avril (2021), mais heureusement, variants et recombinants sont là pour relancer la machine à psychose (et à cash pour le Big Pharma), qui n’a pas de fin, comme le disait avec lucidité Monsieur K chez nous il y a un an.
« La présence de nouveaux variants du virus, le relâchement de la population face à la progression rapide de la vaccination et la fin des grandes vacances dans l’été austral ont contribué à l’augmentation des infections, selon les experts. » (HuffPost)
L’exemple chilien est important pour nous Français ou Européens : les autorités ne nous lâcheront pas comme ça, surtout si nous obéissons, marche par marche, aux injonctions de la politique sanitaire, qui crée de plus en plus de dégâts : sociaux, économiques, mentaux et sanitaires au bout du compte. Le bout du tunnel ne sera atteint que si une majeure partie de la population comprend de quoi il retourne, pas en continuant à se soumettre à des ordres irrationnels.
Comme le clame la psychologue Marie-Estelle Dupont sur LCI, les autorités punissent la population pour une épidémie qu’elles n’ont pas envie de soigner. Les médecins de ville, rappelons-le, ont eu interdiction de soigner les gens qui présentaient des premiers symptômes – pas encore graves – de cette grippe plus ou moins naturelle, et les moyens classiques d’y faire face ont été en plus retirés par la loi (hydroxychloroquine, ivermectine et compagnie).
« Jeudi, plus de 7000 contaminations ont été enregistrées en 24 heures, soit le deuxième chiffre le plus élevé depuis le début de la pandémie. Au total, le pays a enregistré 962 321 cas déclarés, dont 22 587 mortels. »
Les Chiliens ont accepté le confinement dur, puis la vaccination de masse, ils se retrouvent un an plus tard avec des chiffres officiels négatifs, et sont donc considérés comme de mauvais sujets. Ils ne doivent pas comprendre ce qu’il leur arrive.
Cela fait penser à la trop fameuse phrase de Churchill : Vous aviez le choix entre le déshonneur et la guerre, vous avez choisi le déshonneur (c’est-à-dire l’obéissance aux autorités) et vous aurez la guerre. La guerre que les autorités, chez nous Macron, ses sbires des médias et du Conseil politique déguisé en Conseil scientifique, sans oublier ses puissants sponsors (GAFAM, BlackRock, réseaux de pouvoir occultes), ont déclarée au peuple français.
Source: Lire l'article complet de Égalité et Réconciliation