par Philippe A. Jandrok.
Comme de nombreuses personnes et de biens médiocres sonneurs d’alerte ne l’ont pas compris et n’ont pas voulu comprendre, nous allons tenter en quelques mots de vous expliquer la réalité de ce monde, et tous ceux qui vous diront le contraire de ce que nous allons vous révéler seront, soit des ignorants, soit des soldats au service de ces corporations et entreprises qui ont pris le pouvoir sur nos démocraties.
Chacun sait que la France, la République française est une société de commerce inscrite au registre du commerce, « Sous la présidence du socialiste Vincent Auriol en 1947, au début de la IVe République, gouvernement Ramadier (Parti socialiste), la France est devenue une entreprise de droit commun avec un numéro de siret comme toutes les autres entreprises, spécialisée dans le secteur d’activité de l’administration publique générale ».
Tous les présidents depuis bien avant Pompidou sont issus directement de la Banque Rothschild, et sont liés aux banques qui ont conçu ce système pervers de sociétés commerciales basées sur la Common Law, la loi maritime, pour protéger leurs acquis et ceux qu’ils ne cessent de voler aux citoyens du monde entier.
Les prétendus citoyens ne sont, et n’ont jamais été des citoyens à part entière, comme ils l’entendent, ce sont avant tout des marchandises, du premier jour de leur naissance jusqu’au dernier, et leur devoir est non seulement de se laisser manipuler comme telles sur les quais des Républiques du monde entier, et d’obéir comme des marchandises qu’elles sont, fidèles à leurs maitres qui exercent un contrôle sur leur vie.
Les citoyens des démocraties croient qu’ils sont libres, qu’ils ne sont pas comme ces êtres humains qui subissent la traite d’esclave, eh bien, ils se trompent, nous nous sommes tous trompés, car ils nous ont trompés. Voilà en réalité qui nous sommes, nous tous, toujours des esclaves.
Alors, qui ça ils ? Ce sont Ceux qui organisent nos vies et nos désespoirs.
Tout ce qui les entoure sont des entreprises, la République française, le Sénat, le Parlement, le Ministère de la Santé, de la Culture, de l’Intérieur, de la Jeunesse, les services sanitaires et sociaux… de la Police à l’Armée à la Gendarmerie, tous sans exception sont des entreprises, des corporations commerciales obéissant aux lois maritimes et aux Banques.
Mais elles n’ont aucun pouvoir sur les êtres souverains, c’est pour cette raison que nos détracteurs sont fous de rage, ils sont disposés à tous les mensonges, à toutes les tricheries pour nous salir, pour nous humilier, pour nous détruire, car, ils risquent leur tête s’ils ne parviennent pas à nous ridiculiser afin que la vérité sur la Common Law Court n’éclate au grand jour.
Pourquoi avoir si peur que l’humanité s’éveille ?
Personne jusque là, ne peut contredire ce qui est écrit à cet endroit.
La majorité de la population est donc une marchandise obéissante à des lois iniques et incohérentes, mais qui font sens lorsque l’on réalise la monstrueuse escroquerie que l’on impose au genre humain depuis des siècles et la période actuelle est propice à cette révélation au regard des incroyables incohérences de la crise sanitaire.
Chers lecteurs, comprenez-vous dès lors pourquoi certains prétendus sonneurs d’alerte sont secrètement au service de ces entreprises et s’acharnent à nous attaquer pour nous empêcher de vous offrir les clefs de votre cage.
De votre cage en effet, car c’est dans celle-ci que vous, que nous avons tous été placés dès le premier jour de notre naissance. Souvenez-vous de la définition de l’esclavage par le dictionnaire Larousse :
L’esclavage :
- Fait pour un groupe social d’être soumis à un régime économique et politique qui le prive de toute liberté, le contraint à exercer les fonctions économiques les plus pénibles sans autre contrepartie que le logement et la nourriture.
Cela ne vous rappelle-t-il pas quelque chose ?
Nous vivons sous une domination tyrannique, faite d’asservissement et de servitudes
Cette domination est graduelle, pyramidale ; bien sûr, il y a les esclaves qui constituent le trafic humain, qui sont au bas de l’échelle, puis, il y a les esclaves des sociétés modernes, les ouvriers, les pauvres qui se rendent esclaves des crédits bancaires qui leur font miroiter les merveilles de la société de consommation, puis nous avons le peuple, esclave d’une autre illusion, le mensonge médical, le mensonge sanitaire, le mensonge des vaccins pour continuer à enrichir toujours les mêmes organisateurs de cette farce immonde du COVID. Ils créent des monnaies, de fausses monnaies, et à présent, ils créent des monnaies virtuelles faites à partir de déjà rien pour aller vers un rien de contrôle total de l’humanité.
Tout est question de contrôle et d’esclavage.
Mais aujourd’hui, nous avons la solution, celle que nous avons cherchée depuis de très longues années d’esclavage imposé, cette solution, c’est la Common Law Court !
Giuseppe Amaniera, Philippe A. Jandrok, Éric et Séverine, quatre êtres souverains à la Common Law Court, nous vous guidons gracieusement, afin d’aider nos frères humains à prendre enfin conscience de ce crime commis contre notre humanité d’une part, mais nous vous permettons également de vous affranchir de vos chaines d’esclaves, de ces entraves trop lourdes à porter et qui n’ont pas de place sur votre corps ni en votre âme, tout en vous offrant la possibilité d’adhérer à la Common Law Court, comme nous l’avons fait, pour briser cet engrenage infernal.
Enfin, avec cette monnaie fabriquée par des démons, vous pouvez racheter votre nom de marchandise, votre nom fictif, en créant votre certificat de naissance qui n’appartiendront tous les deux, plus jamais à ces sociétés qui nous ont mise en esclavage.
Votre nom d’esclave deviendra le vôtre, celui d’un être humain souverain incontestable et cela, pour ne plus jamais appartenir à cet horrible système qui nous oppresse et qui réduit nos vies à des marchandises de service.
Quelle est la différence entre une femme forcée de se prostituer par la mafia, et un être humain privé de sa souveraineté dans une démocratie ?
Aucune !
Quel sentiment éprouverez-vous lorsque dans vos mains, vous aurez la petite carte qui matérialisera votre nom d’être souverain ?
Quel sentiment éprouverez-vous lorsque les services sociaux sonneront à votre porte pour vous retirer vos enfants sous ces prétextes ahurissants que nous connaissons, et que vous leur répondrez que vous êtes souverain, et que personne à part vous ne peut saisir votre enfant contre votre gré ?
Si vous êtes souverain, personne désormais ne peut plus vacciner votre enfant contre votre gré, ni vous ni personne d’autre souverain comme vous.
Avec la Common Law Court, nous mettons fin à la dictature des banques et des entreprises qui nous traitent comme des marchandises, comme des esclaves, et qui empoisonnent nos vies et la nature elle-même, aujourd’hui, nous disons : Non !
C’est terminé, grâce à votre aide, à votre volonté d’être souverain, nous pourrons battre en brèche cette monumentale escroquerie qui nous a mis en esclavage.
Nous devons pour cela nous inscrire à la Common Law Court et adapter notre souveraineté à tous les domaines de la vie pour défier l’arbitraire qui nous a été imposé depuis de nombreuses années.
Mais le fait qu’il s’agisse de notre Loi souveraine, celle de la grande majorité de l’humanité, cela signifie qu’elle doit être pratiquée de manière cohérente par un nombre suffisant d’entre-nous pour permettre aux officiers du shérif et aux autorités compétentes de l’appliquer dans un monde qui a tout fait pour vous la cacher.
Alors, comment pouvez-vous légalement vous déconnecter, vous, votre famille et votre entreprise des gouvernements et des institutions chargées de faire respecter la loi et ne plus vous conformer au fascisme « Covid ».
L’écrivain David Icke s’entretient avec l’expert en droit commun John Smith sur Commonlawcourt.com.
Une émission incontournable pour ceux qui choisissent la liberté et qui souhaitent mettre fin à cette folie.
Merci de partager partout et de traduire pour ceux qui ne parlent pas anglais.
et la vidéo suivante qui peut disparaitre à tout moment
source : https://cogiito.com/societe
Source: Lire l'article complet de Réseau International