par Gontran Paume.
Alors que certains media français prétendent que la situation commence à redevenir normale en Israël, pays où 60% de la population a été « vaccinée » (je mets des guillemets car les « vaccins » de Pfizer et Moderna sont en fait des produits de thérapie génique dont on ne connait pas les effets à moyen et long terme et ont été fabriqués ou/et testés avec des cellules issues de tissus d’embryons humains avortés ; quant aux « vaccins » Astra-Zeneca, Johnson et Johnson et Sputnik V, ils utilisent aussi ce type de cellules : notre époque est décidément très immorale), les chiffres officiels, qui ne sont pas encore définitifs car tous les actes de décès n’ont pas encore été transmis au Bureau central de Statistiques d’Israël, montrent une très forte hausse de la mortalité de la population résidente entre les deux premiers mois de 2020 et les deux premiers mois de 2021.
Voici les données brutes (pour 2020, c’est presque définitif, cela peut encore augmenter de 1%, voir plus pour 2021) :
Janvier 2020 : 4 584 morts. Février 2020 : 3 956 morts.
Janvier 2021 : 5 439 morts (+18,7% par rapport à janvier 2020). Février 2021 : 4 374 morts (+10,6% par rapport à février 2020).
Ces hausses sont plus fortes que la hausse constatée entre 2019 et 2020 (pour l’ensemble de l’année) : de 45 980 à 48 719 morts, soit + 6,0%.
C’est surtout pour le mois de février 2021 que les données vont encore être fortement corrigées à la hausse car les données sont plus récentes et une plus forte proportion d’actes de décès n’a pas encore été portée à la connaissance de l’institut statistique (ou pas encore enregistrée). De plus, février 2021 ne comptait que 28 jours alors que février 2020 en comptait 29. Si on calcule la mortalité par jour, on trouve 156 morts par jour en février 2021 et seulement 136 en février 2020 (+14,5% en données non arrondies).
Bien sûr, une petite partie des morts devait concerner des personnes déjà malades du coronavirus avant le début de la campagne de « vaccination » et d’autres causes de mortalité ont pu jouer défavorablement. Mais les commentaires positifs qu’on entend à propos de cette campagne sont nullement justifiés, bien au contraire, au vu des dernières données de mortalité dont on dispose. Est-ce que les journalistes vérifient l’essentiel, c’est-à-dire les données de mortalité publiées par les instituts statistiques, avant de louer les campagnes de « vaccination » contre le coronavirus ou se contentent t’il d’obéir aux consignes qui leur sont données par les responsables de ces media officiels qui sont, en France, tous liés financièrement aux laboratoires pharmaceutiques fabriquant ces vaccins ? Et, ailleurs en Europe, en Amérique et en Océanie, ces liens financiers sont hélas avérés dans la plupart des cas. Beaucoup de pays africains, au contraire, et ils ont bien raison, résistent à ces campagnes. On attend toujours, en Europe en tout cas, un vaccin conforme aux règles morales.
En attendant, continuons à nous protéger et à nous soigner par les méthodes morales et efficaces et à réclamer sans cesse d’y avoir accès le plus facilement possible.
La crise sanitaire ne doit pas être non plus un prétexte pour gêner le culte catholique. Il faut réclamer la liberté totale de celui-ci, notamment pendant le temps de la Passion qui nous prépare à Pâques. Réclamer cette liberté légitime, en France et partout dans le monde.
source : https://medias-presse.info
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