J’ai trouvé cet article via le « plan d’intelligence stratégique » du Forum économique mondial, sous l’onglet VACCINATION. La « vaccination » n’est qu’UN onglet du plan…
Vous comprendrez la véritable visée de la déclaration de l’OMS à l’effet que les États sont incompétents pour gérer la crise sanitaire : un gouvernement fédéral mondial est la seule réponse aux enjeux et aux problèmes suscités par la « pandémie » mondiale [déclencheur] et par des « systèmes nationaux désuets et corrompus »…
Vous comprendrez aussi le prétendu litige entre l’Angleterre et l’Union européenne concernant l’approvisionnement du vaccin AstraZeneca : de la poudre aux yeux !!!
Voici quelques extraits qui en disent long sur la rhétorique qui est et sera utilisée pour ériger l’édifice de la gouvernance mondiale ~ Isabelle
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par Arvind Ashta.
La « pandémie de Covid-19 » est une crise mondiale, mais elle a été largement gérée par des États agissant de manière indépendante. Arvind Ashta soutient qu’à la lumière de la pandémie, nous devrions sérieusement considérer les avantages potentiels de la transition vers un gouvernement fédéral mondial.
Dans un précédent article d’EUROPP écrit pendant la première vague de la « pandémie » en Europe, j’ai examiné les moyens de financer des mesures pour lutter contre Covid-19 et la relance de l’économie mondiale. Dans le dernier paragraphe, j’ai proposé un gouvernement fédéral mondial.
Le fédéralisme présente de nombreux avantages, comme l’expliquaient les Federalist Papers il y a plus de deux siècles, notamment la paix et la libre circulation des personnes et des capitaux à l’intérieur de frontières définies. L’incapacité des États à faire face à la « pandémie » devrait nous encourager à explorer de nouvelles approches de la gouvernance, en nous appuyant sur nos connaissances de ce qui a fonctionné dans le passé. Dans cet esprit, il y a au moins sept raisons pour lesquelles nous devrions maintenant envisager de passer à un gouvernement fédéral mondial.
Si un gouvernement fédéral mondial était élu démocratiquement, ce gouvernement serait aussi légitime qu’un gouvernement national. Il aurait le pouvoir de négocier avec les gouvernements nationaux et locaux et de l’emporter sur eux dans les domaines de sa compétence. Ce pouvoir réduirait les zones de corruption possible pour les gouvernements nationaux.
S’il y avait un gouvernement fédéral mondial et une autorité monétaire fédérale, il serait possible d’avoir une seule monnaie, éliminant ainsi le risque de change. Cela rendrait donc la circulation des capitaux plus libre. Cette monnaie unique pourrait être une crypto-monnaie. Cependant, la crise grecque a montré que lorsque la dévaluation n’est pas possible, comme dans le cas de l’euro, il est difficile pour les pays plus faibles d’atteindre le seuil de rentabilité. Pour résoudre cette tension, un mécanisme de péréquation est nécessaire pour garantir une répartition uniforme des gains issus du commerce.
Un troisième problème est celui de l’environnement – problème qui affectera également les générations futures.
Le même problème est également vrai pour toute autre taxe sur le capital, comme la taxe Tobin sur les transactions financières, dont on parle tant. Si la compétence des impôts sur les sociétés était transférée à un gouvernement mondial, cela réduirait la capacité des propriétaires de capitaux à négocier avec leurs pieds. Peu importe où se trouve le siège social, l’impôt sur les sociétés serait le même et la comptabilité de transfert créative ne donnerait plus un avantage fiscal. Des taxes destinées à freiner la spéculation et les transactions financières inutiles pourraient également être perçues au niveau mondial, avec des résultats avantageux similaires. La tension sous-jacente est que les entreprises peuvent bloquer le passage à un gouvernement mondial précisément parce qu’elles anticipent cette évolution.
Récemment, grâce à la nécessité de financer la relance de l’économie après la « pandémie », l’Union européenne l’a reconnu et a commencé à collecter des fonds avant de les distribuer aux États membres. Un gouvernement mondial aurait un avantage encore plus grand dans ce processus de négociation et de redistribution.
Une perspective démocratique, en revanche, partirait du principe que tous les humains sont égaux. Si les mesures de santé relevaient du gouvernement mondial, et s’il était élu démocratiquement, il serait dans l’intérêt de ce gouvernement de s’assurer que les gens partout dans le monde reçoivent les vaccins de manière équitable.
Enfin, dans un monde international, avec un accès mondial aux médias numériques, de nombreuses personnes dans les pays en développement aimeraient migrer vers les pays développés. Ils sont actuellement empêchés de le faire, ce qui a entraîné d’énormes pertes en vies humaines, ainsi que d’énormes paiements aux trafiquants d’êtres humains. Dans un monde fédéral, il y aurait libre circulation des travailleurs et ce problème serait résolu.
Les innovations majeures en matière de gouvernance reposent souvent sur un changement d’exigences déclenché par un événement particulier. Si le monde n’est pas déjà passé au fédéralisme mondial aujourd’hui, c’est en partie parce qu’il n’y a pas encore de déclencheur pour pousser les États dans cette direction.
Dans le passé, des crises telles que les deux guerres mondiales du XXe siècle ont agi comme des déclencheurs de changement. Aujourd’hui, nous sommes confrontés à une guerre contre un virus. Peut-être que la situation créée par Covid-19 pourrait servir à mettre en évidence les avantages particuliers du passage à un gouvernement fédéral mondial. Cela pourrait déclencher un changement qui non seulement aiderait à atténuer les dommages causés par la « pandémie », mais offrirait également une solution à nombre des autres défis auxquels l’humanité est actuellement confrontée.
source : http://conscience-du-peuple.blogspot.com
Source : Lire l'article complet par Réseau International
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