Par Olivier Bault (Présent)
Une fois de plus, la gauche LGBT a affiché au Parlement européen son mépris pour la démocratie et le pluralisme des opinions, mais cette fois elle a été mise en échec.
Après la nomination d’un Polonais conservateur au Comité économique et social européen (CESE), qui est un organe consultatif de la Commission, du Conseil et du Parlement européen, un groupe d’eurodéputés d’extrême gauche, de gauche et de centre-droit conduits par les Polonais Robert Biedroń (extrême gauche LGBT) et Sylwia Spurek (extrême gauche LGBT et végane) a exigé son exclusion. Car le Polonais Tymoteusz Zych, docteur en droit, est vice-président d’une ONG de juristes et avocats pro-vie et pro-famille, l’Institut Ordo Iuris. Il est aussi vice-président de la Confédération polonaise des initiatives non gouvernementales.
Au grand dam des « progressistes » bruxellois, le docteur en droit Tymoteusz Zych avait rejoint le groupe « Diversité Europe » du CESE composé de représentant des agriculteurs, des consommateurs, de l’économie sociale, des artisans, des PME, des ONG sociales et environnementales et des professions libérales. Une diversité s’étendant aux conservateurs qui défendent la famille et le droit à la vie de la conception à la mort naturelle, voilà une idée qui déplaît profondément à ces « progressistes » apôtres de la tolérance, mais uniquement pour ceux qui pensent dans les limites d’un cadre qu’ils ont eux-mêmes défini et qui se rétrécit d’année en année.
Derrière les deux députés polonais à l’origine de l’attaque contre leur compatriote, il y avait « l’intergroupe LGBTI » qui rassemble 151 députés de différents groupes parlementaires du Parlement européen : PPE (centre-droit), Renew Europe (libéraux centristes), S&D (socialistes), Verts/ALE (extrême gauche verte), GUE/NGL (extrême gauche rouge).
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