Le virus SARS-CoV-2 donnant la maladie Covid-19 a t-il été fabriqué ? Partie 1

Le virus SARS-CoV-2 donnant la maladie Covid-19 a t-il été fabriqué ? Partie 1

par Candice Vacle. 

Est-il possible de fabriquer un virus ?

Le Covid-19 est la maladie résultant de l’infection par le virus SARS-CoV-2.

D’où vient le virus SARS-CoV-2 ? Est-il naturel ?

Cette hypothèse n’a pas été vérifiée car, depuis l’émergence du SARS-CoV-2, les scientifiques n’ont toujours pas trouvé le chaînon manquant, c’est-à-dire l’espèce hôte intermédiaire entre la chauve-souris (identifiée comme le réservoir ancestral du virus) et l’espèce humaine. Puisqu’il n’y a pas de preuve que le SARS-CoV-2 soit naturel, on peut se demander : le SARS-CoV-2 a-t-il été fabriqué ?

Peut-on créer un virus ?

La technique de synthèse de gène

Jacques van Helden, bio informaticien, auteur d’une étude intitulée « Retrouver les origines du SARS-CoV-2 dans les phylogénies de coronavirus », étude à laquelle il a participé avec cinq autres scientifiques dont Étienne Decroly, virologue spécialiste des virus émergents, dit dans une vidéo pédagogique de l’Université populaire de Marseille, du 12 octobre 2020 (youtube.com/13cQTG5lhLk), à partir de la minute 7:50 : « Étienne [Decroly, virologue] nous a expliqué […] qu’aujourd’hui, avec les techniques de biologie synthétique, si on dispose d’une séquence biologique complète, on peut très facilement envoyer la séquence, c’est-à-dire la succession des lettres qui est dans un fichier d’ordinateur, on peut envoyer ça à une compagnie qui fait de la synthèse d’ADN ou d’ARN et obtenir le génome, le vrai génome d’un virus qui peut ensuite être activé, infecter des cellules et injecter dans les cellules et faire des vrais virus qui ont la capacité de se transmettre tout seuls. Et, Étienne [Decroly, virologue] vous a dit que dans le cas du SARS-CoV-2, c’est l’une des premières choses qui a été faite. En un mois, il y a des laboratoires qui, sur base de la séquence qui avait été publiée dans les journaux et que l’on trouve dans les bases de données, ont re-généré un vrai virus. […] Dans ce contexte, la question se pose, est-il [le SARS-CoV2] d’origine naturelle ou artificielle ? »

En bref, « aujourd’hui, obtenir ou faire synthétiser une séquence génétique [de virus] est à la portée de n’importe quel laboratoire », dit le virologue Étienne Decroly, directeur de recherche au CNRS au laboratoire Architecture et Fonctions des Macromolécules biologiques (CNRS/Aix-Marseille Université) et membre de la Société française de Virologie.

Y a-t-il d’autres méthodes permettant de fabriquer un virus ?

La technologie de l’ADN recombinant

Jacques van Helden explique qu’une autre méthode permet de fabriquer un virus telle la technologie de l’ADN recombinant, qui existe depuis les années 1970. Pour comprendre d’une manière générale cette technologie de l’ADN recombinant, il est utile de savoir qu’une enzyme de restriction est une protéine capable de couper un fragment d’ADN au niveau d’une séquence de nucléotides caractéristiques, séquence appelée site de restriction.

Jacques van Helden, à partir de la minute 50:20[3], dit :

« Les enzymes de restriction sont utilisées […] comme ciseaux moléculaires, si je puis utiliser une métaphore. Les ciseaux moléculaires c’est ce que les biologistes moléculaires utilisent pour découper l’ADN et le recoller et pour mettre ensemble des morceaux d’ADN qui, d’habitude, ne sont pas ensemble. Donc, c’est un outil extrêmement puissant qui a donné naissance à ce qu’on appelle aujourd’hui les biotechnologies. Toutes les biotechnologies sont basées sur le fait que l’on fait de l’ADN recombinant sauf que l’on recombine à façon, en laboratoire, en utilisant des enzymes de restriction. […] Chaque enzyme de restriction reconnaît une séquence particulière. » Cette « chirurgie génétique », contrairement aux techniques de biologie synthétique, peut laisser des sortes de « cicatrices » au niveau des « sites de restriction ».

Comme le SARS-CoV-2 est un virus enveloppé à ARN, pourquoi utiliser la technologie de l’ADN recombinant puisqu’il s’agit d’ARN (et pas d’ADN) dans le SARS-CoV-2 ? Est-ce qu’une technologie de l’ADN recombinant peut modifier un ARN de virus à ARN ? Un enseignant-chercheur de l’Université de Grenoble Alpes qui préfère rester anonyme et dont j’ai vérifié les compétences (on l’appellera « le scientifique anonyme grenoblois ») répond : « Oui, les technologies d’ADN recombinant peuvent être utilisées pour « produire un virus à ARN », mais pas en une seule étape. Cependant, à l’heure de la synthèse de gène, il est plus rapide de passer par une telle synthèse ».

Des méthodes plus récentes que la technologie de l’ADN recombinant pourraient-elles aussi permettre de fabriquer un virus ?

CRISPR-Cas9 et CRISPR-Cas13 ?

La Française Emmanuelle Charpentier et l’Américaine Jennifer Doudna, deux généticiennes, ont mis au point une technologie appelée Crispr-Cas9 correspondant à des « ciseaux génétiques » capables de modifier des gènes.

E. Charpentier est microbiologiste, généticienne, biochimiste française et directrice de l’Institut Max-Planck d’infectiologie, à Berlin. Lors d’une conférence à l’Académie des Sciences le 22 mars 2016, elle a dit : Crispr-Cas9 « apporte une technologie révolutionnaire dans l’édition du génome. Et c’est donc cette technologie qui permet […] une chirurgie précise de gène dans virtuellement pratiquement toute cellule et organisme qui peut être modifié, éthiquement parlant »,. Cette innovation « permet de cibler une zone spécifique de l’ADN, de la couper et d’y insérer une autre séquence génétique. » Elle « étend les possibilités de retouche génétique à l’infini », s’enthousiasme le journal du CNRS[6]. « C’est un outil extraordinaire, confirme […] Pascale Cossart, professeure à l’Institut Pasteur ». « La méthode est rapide, il [l’outil] est extrêmement précis »,. « Grâce aux « ciseaux génétiques » Crispr-Cas9, il est désormais possible de changer le code de la vie en quelques semaines ».[9]

Pour honorer cette invention Crispr-Cas9, le prix Nobel de chimie 2020 a été attribué à E. Charpentier et J. Doudna, le 7 octobre 2020. L’enthousiasme pour ce prix Nobel s’est largement exprimé dans les médias mainstream sans jamais (pour ce que j’ai pu lire et entendre) se demander si cette invention aurait permis la fabrication du SARS-CoV-2, ou si Crispr-Cas9 ouvrait une boîte de Pandore pour l’humanité ? Modifier des gènes ! Faire du « copier coller » avec des gènes aurait pu inviter à un peu plus de réflexion éthique médiatique. Il est vrai que cette technologie devrait, entre autres, aussi, permettre de « guérir des maladies génétiques ».

Les « ciseaux génétiques » Crispr-Cas9 pourraient-ils permettre de créer un virus ?

Dans l’émission « Crispr-Cas9 : la grande menace de la génétique » de France Culture en 2017, il est écrit : « Les conseillers scientifiques de Barack Obama envisagent ouvertement l’utilisation de Crispr-Cas9 pour créer un virus d’un genre nouveau, mortel pour l’homme ». De ce que je comprends, ces conseillers envisageaient non pas de créer un tel virus, mais ils envisageaient qu’un tel virus puisse être créé par d’autres pays à des fins malveillantes.,

Donc, en se basant sur tout ce qui précède, tout laisse penser que, oui, la méthode Crispr-Cas9, si elle est utilisée à mauvais escient, pourrait permettre de fabriquer un virus et que ce virus fabriqué pourrait être dangereux, voire mortel !

Alors apparaissent des coïncidences historiques.

– E. Charpentier fait sa conférence à l’Académie des Sciences le 22 mars 2016.

– Trois mois plus tard, elle participe à la réunion Bilderberg en juin 2016, lors de laquelle l’un des thèmes était « innovation technologique ». Ce groupe nommé Bilderberg réunit chaque année, en secret, des personnes ayant des postes-clefs des pouvoirs, de la politique, de l’économie, de la défense militaire et de la connaissance.

– Le SARS-CoV-2 perturbe le monde principalement en 2020.

– E. Charpentier obtient le prix Nobel en 2020, année du Covid-19.

Se pourrait-il que Madame Emmanuelle Charpentier ait été consultée lors de la réunion secrète Bilderberg 2016, afin de connaître la faisabilité de la fabrication d’un virus ?

Ce n’est qu’une hypothèse sans grand fondement, il est vrai, puisque les discussions abordées lors de cette réunion, restent secrètes et les membres Bilderberg restent muets concernant leurs activités secrètes.[13]

Le SARS-CoV-2, s’il a été fabriqué, peut-il être issu de la technologie Crispr-Cas9 ?

La technologie CRISPR-Cas9, permettant de modifier l’ADN, devrait permettre la fabrication d’un virus à ADN. Or, il se trouve que le SARS-CoV-2 est un virus enveloppé à ARN. Une autre technologie CRISPR permet de modifier l’ARN, c’est CRISPR-Cas13. La technologie CRISPR-Cas13 pourrait-elle permettre la fabrication d’un virus à ARN, comme le SARS-CoV-2? Le scientifique anonyme grenoblois répond que la technologie CRISPR-Cas13 pourrait probablement être utilisée pour « produire un virus à ARN », « mais les attentes concernant cette technologie très prometteuse sont avant tout de pouvoir développer de nouvelles approches thérapeutiques pour le traitement de maladies génétiques ».[5]

Le virus SARS-CoV-2 a-t-il été fabriqué ?

À partir de la prochaine partie de cet article, nous porterons un regard sur différents points de vue scientifiques traitant de cette question.

Candice Vacle

Source : Lire l'article complet par Réseau International

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À propos de l'auteur Réseau International

Site de réflexion et de ré-information.Aujourd’hui nous assistons, à travers le monde, à une émancipation des masses vis à vis de l’information produite par les médias dits “mainstream”, et surtout vis à vis de la communication officielle, l’une et l’autre se confondant le plus souvent. Bien sûr, c’est Internet qui a permis cette émancipation. Mais pas seulement. S’il n’y avait pas eu un certain 11 Septembre, s’il n’y avait pas eu toutes ces guerres qui ont découlé de cet évènement, les choses auraient pu être bien différentes. Quelques jours après le 11 Septembre 2001, Marc-Edouard Nabe avait écrit un livre intitulé : “Une lueur d’espoir”. J’avais aimé ce titre. Il s’agissait bien d’une lueur, comme l’aube d’un jour nouveau. La lumière, progressivement, inexorablement se répandait sur la terre. Peu à peu, l’humanité sort des ténèbres. Nous n’en sommes encore qu’au début, mais cette dynamique semble irréversible. Le monde ne remerciera jamais assez Monsieur Thierry Meyssan pour avoir été à l’origine de la prise de conscience mondiale de la manipulation de l’information sur cet évènement que fut le 11 Septembre. Bien sûr, si ce n’était lui, quelqu’un d’autre l’aurait fait tôt ou tard. Mais l’Histoire est ainsi faite : la rencontre d’un homme et d’un évènement.Cette aube qui point, c’est la naissance de la vérité, en lutte contre le mensonge. Lumière contre ténèbres. J’ai espoir que la vérité triomphera car il n’existe d’ombre que par absence de lumière. L’échange d’informations à travers les blogs et forums permettra d’y parvenir. C’est la raison d’être de ce blog. Je souhaitais apporter ma modeste contribution à cette grande aventure, à travers mes réflexions, mon vécu et les divers échanges personnels que j’ai eu ici ou là. Il se veut sans prétentions, et n’a comme orientation que la recherche de la vérité, si elle existe.Chercher la vérité c’est, bien sûr, lutter contre le mensonge où qu’il se niche, mais c’est surtout une recherche éperdue de Justice.

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