Par Nicole Delépine
Le théâtre du jeudi soir (de notre temps, c’était du samedi soir…)
Étonnée que les Français soient encore surpris des annonces en yoyo et manifestement délirantes, si on les regarde avec un œil sanitaire.
Mais pas d’étonnement pour tous ceux qui ont quitté la secte covid et ont ouvert les yeux après une sidération plus ou moins longue et la dissonance cognitive associée par les mesures volontairement contradictoires et inutiles, du masque sur la plage ou seul en forêt aux campagnes de tests PCR démontrés non fiables depuis de longs mois et multipliés dans les écoles.
Pourtant, on sait depuis près d’une année aussi que les enfants ne sont ni en danger, ni contaminants.
Alors que penser du scénario du jeudi, comme on regarde un feuilleton aux rebondissements multiples depuis des semaines. Mais le scénario est mauvais, les artistes amateurs et les conséquences tragiques. Ceux qui, curieusement, l’analysent sur le plan sanitaire ne peuvent que constater les incohérences et terminent leur discours par un sempiternel « je ne comprends pas ».
Et même si nos gouvernants ratent quelque peu la mise en scène, force est de reconnaître qu’ils suivent scrupuleusement le rapport 9 de Ferguson et les confinements successifs prévus. Pas de seconde vague en novembre, peu importe : on change la spécificité des tests (plus de CT de cycles d’amplification et donc plus de positifs) et des cas, mais Véran ne parle jamais plus que de malades même quand il ne s’agit que de cas, donc des bien-portants. Et puis, on multipliera les tests plusieurs fois par semaine chez les hospitalisés jusqu’à obtenir un positif, isoler le malade venu pour un cancer ou une infection abdominale. Privé de famille, de compréhension, de soins adéquats puisque transféré en unité covid, beaucoup mourront isolés, mal traités à tous les sens du terme et codés covid, évidemment, donc sans accompagnement ni avant ni après la mort…
De nombreux témoignages se multiplient atteignant même les chaînes télé, car la sidération se tassant, les familles réalisent, culpabilisent et parlent. Bref, la pseudo-seconde vague fut alimentée par toutes sortes de voies, telles les septicémies bactériennes ou à champignons provoquées par le port prolongé du masque, dont il est tabou de dire du mal, nouveau totem du pouvoir sanitaire.
La troisième vague prévue pour le confinement programmé en mars tardait à arriver, donc les tests antigéniques (encore moins fiables que les tests PCR habituels), ont été multipliés largement par notre Véran national qui a pu chaque jour depuis quelques semaines afficher des chiffres en hausse, discordant toutefois avec la courbe plate des décès. Mais qu’importe si – même des Blachier – questionnent sur les ondes officielles. Enfin, lui et d’autres expliquent clairement aussi que si les lits de réanimation se sont remplis, c’est automatique si on en libère par exemple en supprimant les autres activités, on adapte les entrées pour remplir au moins à 90 %, ce qui est impératif pour garder son budget et son personnel.
« Il n’y a PAS de 3e vague !
Depuis le début de l’année seulement 96 morts/jour de plus que en 2019 année sans épidémie sur 2 065 morts/j en moyenne soit augmentation/2019 de + 4,6 % pondéré pour vieillissement population = + 3 % /2019
Vérifier ici :
Peter Elbaz sur tweeter ce 19 mars.
Et cette réflexion de bon sens de dragonduclos :
« Nous sommes dans une situation inédite dans l’histoire médicale selon laquelle une “épidémie mortelle” n’est pas caractérisée par l’augmentation de la mortalité… »
L’application du projet OMS Davos se poursuit tant que les hommes se soumettront…
Que penser donc des mesures de confinement, dites de freinage ? Évidemment, elles ont deux portées majeures, continuer le conditionnement de la population à obéir, mais sans en faire trop car, évidemment, le Président craint à juste titre une explosion. Alors leur rendre une heure le soir, ce qui soulage effectivement, et voilà nos Français contents qui oublient tout le reste et… partent en province. Ils ont bien raison…
La deuxième conséquence majeure est la fermeture des PETITS commerces qui aboutira à la faillite de nombreux d’entre eux avec quelques suicides au passage, et réalisera ainsi l’objectif avoué, écrit dans le livre de Klaus Schwab LA DISPARITION DES TROIS QUARTS DES RESTAURANTS, BARS, ETC. AVANT JUIN 2021. Qu’on ne me parle pas de complot, les participants au forum de Davos ont parlé depuis des décennies de leur plan machiavélique fondé sur la numérisation à outrance et l’obéissance des peuples via les nouvelles technologies, leur nouveau Dieu.
Pour les plus crédules et/ou curieux, lisez le dernier livre paru en juillet 2020 et disponible gratuitement sur le web :
« Covid-19 : LA GRANDE RÉINITIALISATION ».
Vous y trouverez la disparition de la monnaie liquide et, à travers cette mesure, la perte totale de notre indépendance vis-à-vis des banques. Le passeport sanitaire en fera partie.
Ils n’ont pas encore gagné
Mais ils n’ont pas gagné encore, tous les totalitarismes s’écroulent et celui-là disparaîtra probablement avant d’être complètement développé ; il y a toujours des grains de sable qui s’accumulent progressivement pour devenir plage, voire montagne. La seule inconnue est le temps de son renversement et des victimes directes et collatérales induites par leur tentative de coup d’État mondial et sa durée.
Alors, cette épidémie de grippe comme une autre avec son lot de décès inférieur à d’autres grandes pandémies leur a donné l’occasion, provoquée ou non, de tenter d’appliquer leur projet funeste, révisé dans l’Event 2019 en novembre en utilisant leurs armes politiques via l’utilisation de mesures sanitaires que les bons peuples allaient gober, et que le FMI allait aider en donnant des subventions aux pays qui accepteraient les confinements (avouées par certains pays, probables dans les autres).
Ces confinements, couvre-feux et toutes mesures liberticides ruinant l’économie contribueraient donc à la disparition attendue des classes moyennes, transformant les individus de ces classes en esclaves modernes touchant le revenu universel (de l’ordre de 1 000 euros mensuels), ne possédant plus rien et louant appartement, machine à laver etc. avec, comme distractions, des émissions type téléréalité, etc. Certains trouvent d’ailleurs ces hypothèses alléchantes. Mais la sécurité et police à la chinoise qui l’accompagnent (car surveillent si on mérite bien ces avantages) ne nous enthousiasment guère. D’où beaucoup de grains de sable résistants.
Et le vaccin ?
Le Premier ministre a évidemment ressassé son obsession du vaccin, et innocenté l’AstraZeneca de tout péché, dont il savait que la commission de l’agence du médicament l’absoudrait… au moins un certain temps, celui d’augmenter largement les ventes. Notons que le 19 mars la HAS a précisé qu’il ne fallait pas utiliser ce vaccin chez les moins de 55 ans.
La présidente de l’EMA ne risquait pas beaucoup a priori de contrarier les labos dont elle est issue.
« Avant d’être directrice générale de l’Agence européenne des médicaments (EMA) qui vient de donner le feu vert à Astra Zeneca. Emer Cooke a travaillé à l’association européenne des groupes pharmaceutiques à Bruxelles, principal lobby de l’industrie pharmaceutique auprès de l’UE ».
Alors, évidemment, en 48 heures (comment analyser des milliers de signalements en si peu de temps, l’EMA a tranché : “circulez il n’y a rien à voir”. Les médias devenus rapidement spécialistes de l’embolie pulmonaire nous l’ont bien expliqué. Il y en a autant chaque jour chez les citoyens normaux et les vaccinés : alors pourquoi chercher la petite bête.
« Le comité est parvenu à une conclusion scientifique claire : il s’agit d’un vaccin sûr et efficace », a déclaré la directrice exécutive de l’EMA, Emer Cooke, lors d’une visioconférence.
« Le régulateur européen, basé à Amsterdam, “a également conclu que le vaccin n’était pas associé à une augmentation du risque global d’événements thromboemboliques ou de caillots sanguins », a précisé Mme Cooke. « Ses avantages dans la protection des personnes contre le Covid-19, avec les risques associés de décès et d’hospitalisation, l’emportent sur les risques possibles ».
Curieux, déjà, ce commentaire qui devrait alerter les naïfs volontaires :
« les risques associés de décès et d’hospitalisation l’emportent sur les risques possibles ».
Sont-ils conscients, nos candidats que même, à moins de 55 ans, on peut mourir d’un vaccin alors que la maladie ne tue que les personnes âgées de 84 ans en moyenne et moins de 0,05 % de la population au total ?
Le problème est qu’il existe toujours des gens pour empêcher la terre de tourner en rond. Et, hop, un caillou de plus dans la chaussure de l’EMA :
Le chef de l’enquête norvégienne et médecin Pal Andre Holme, qui a examiné les trois professionnels de santé hospitalisés, a confirmé que c’est bien le vaccin Covid-19 d’AstraZeneca qui a provoqué les caillots sanguins rares dus à une réaction immunitaire inattendue.
Auparavant, l’un des trois agents de santé admis au Rikshospitalet de Norvège est décédé. Ils ont tous été traités pour une maladie très rare. Ils sont arrivés avec une douleur aiguë ; ils avaient des caillots sanguins dans des endroits inhabituels, comme l’estomac et le cerveau.
« De plus, ils avaient des saignements et un faible nombre de plaquettes. En collaboration avec le département d’immunologie avancée des plaquettes de l’UNN, nous avons maintenant détecté des anticorps spécifiques contre les plaquettes qui peuvent provoquer une telle réaction, dont nous avons déterminé la cause », explique le chercheur.
« Nous avons la raison. Et il n’y a rien d’autre que le vaccin qui puisse expliquer la réponse immunitaire que nous avons observée. »
Holme insiste sur le fait que ce ne sont pas les anticorps présents dans le sang en général qui posent un problème. « Nous parlons d’anticorps très spécifiques ».
« On prend le vaccin pour obtenir une réponse immunitaire à ce contre quoi on doit être protégé. On obtient alors, entre autres, le développement d’anticorps. Certains anticorps peuvent alors réagir de manière à activer les plaquettes, comme dans ces cas-là, et provoquer un caillot de sang. Et comme ces anticorps sont à la surface, ils sont éliminés de la circulation, d’où un taux de plaquettes trop faible. »
Bref, en nous gardant bien de conclure dans une affaire aussi complexe de spécialistes, il est clair que le vaccin AstraZeneca n’est pas un bonbon sans risque et qu’il serait bien qu’on prenne le temps d’attendre. Mais la Bourse est pressée.
Bien d’autres sont inquiets sur l’avenir des vaccinés, au-delà des effets immédiats.
Et des twittos s’alarment :
Pourquoi les #média ne parlent-ils pas des décès dû aux #vaccin après #vaccination du #Pfizer #AstraZeneca #Moderna
Dernière mise au 21/03/21 4.574 décès « officiels »
Soit +15,38% par rapport au dernier relevé
UK non inclus#France #Paris #COVID#StopCouvreFeu #StopConfinement pic.twitter.com/KT6fDFcQ81— L’Aile à Stick (@AileaStick) March 21, 2021
En tous cas, si vous aimez les vôtres, dites-leur qu’il est urgent d’attendre… pour les quatre vaccins actuellement injectés en France… Qui vivra verra…
source:https://nouveau-monde.ca/
Source : Lire l'article complet par Réseau International
Source: Lire l'article complet de Réseau International