Marlène Schiappa est ce qu’elle est – une opportuniste ordinaire et cela a été prouvé quand, au lieu de démissionner de son poste lors du énième remaniement du gouvernement Macron, elle a accepté de travailler en binôme avec un gars accusé d’harcèlement sexuel et de viol. C’était l’ultime humiliation faites aux femmes et les causes que Schiappa était sensée défendre.
N’empêche, parmi les membres du gouvernement, elle n’est ni la pire, ni la plus nuisible. Une femme française, de la race blanche, dans la force de l’âge, mariée et mère de famille et qui dans sa jeunesse a écrit quelques romans érotiques, a été mise à des postes gouvernementaux tel un torchon rouge qu’on agite devant le troupeau, bref pour jouer le rôle de cible mouvante des piques des frustrés de tout genre.
Par contre, celle qui l’a succédée, une illustre inconnue, parachutée de Johannesburg et qui ne fait rien à par à se rendre à des cocktails, elle n’est point attaquée, car étant une Noire, personne ne voudrait se retrouver en prison pour cause de racisme et autres pêchés mortels.
Idem pour les hommes ministres de ce gouvernement. Je suis curieuse d’apprendre si quelqu’un se risque de les menacer de mort.
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